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« Aucun rêve jamais ne mérite une guerre », par Bertrand Rouziès-Léonardi
Billet invité. Otto Dix, L’émeute, 1927 (détruit). « Aucun rêve jamais ne mérite une guerre. » Quel est le doux naïf qui emboîte si volontiers le pas du philosophe Alain, auteur de Mars ou la guerre jugée (1921) ? C’est Jacques Brel, dans sa chanson La Bastille. « Tendons une main qui ne soit pas fermée », enchérit-il. Qu’est-ce donc…