Étiquette : la Nature

  • Quinzaines – « C’est la Nature, qui rend les coups », le 1er février 2020

    Ouvert aux commentaires. « C’est la Nature, qui rend les coups » Squier : Je ne sais absolument rien. Voyez-vous… Vous devez être connecté pour lire le contenu complet de l’article. Vous pouvez vous abonner ici

  • Montrer parfois à notre mère que nous sommes ses dignes enfants

    Ouvert aux commentaires. Je ne sais pas si ça vous parle de voir cela : ce sont deux gars qui sont restés chez eux dans la fournaise du Carr Fire en Californie, à sauver leur maison. Je ne suis pas fana de risquer de se sacrifier pour des objets, mais moi ça me parle :…

  • VIVE LA NATURE !, par Écodouble

    Billet invité. Ma commune vient d’acheter un bois, très riche environnementalement parlant, à coté de chez moi, afin de l’ouvrir au public. « C’est normal ! Les gens veulent voir ! », elle a dit la conseillère municipale, lorsque je l’avais prévenue que l’ouverture au public s’accompagnerait de dégâts sur la biodiversité. Pour fêter l’acquisition, on a…

  • « QUI BIEN SE VOIT ORGUEIL ABAISSE », par Bertrand Rouziès-Léonardi

    Villard de Honnecourt, Carnet de dessins, vers 1230, BnF, Français 19093, fol. 3v : « orgieus si cume il tribuche », « l’Orgueil à l’instant où il trébuche ». Billet invité. « Qui bien se voit orgueil abaisse. » La devise (motto) est de Maurice Scève, poète lyonnais. Elle est extraite de Délie, objet de plus haute vertu, un épais recueil…

  • UN TRUC TORDU

    Je m’étais approché du panonceau au bord du chemin vicinal qui expliquait pourquoi on s’amusait à couper la molinie bleue et les saules marsault (qui n’avaient fait de mal à personne). La raison, j’eus l’occasion de l’apprendre, c’est de permettre le retour de la gentiane pneumonanthe qui hantait autrefois ces parages. Non pas qu’on se…

  • Un gros rocher bourru et parfois très méchant

    Cette fois, la poussière volcanique est bloquée sur la Manche. Les Français ont toujours beaucoup de chance avec les nuages. C’est cette inclination propice qui me permet de vous écrire de Roissy, attendant l’heure d’embarquement (45 minutes encore à tirer). Contrairement à ce que j’imaginais, l’aéroport est étonnamment désert. Les nouvelles à la télé parlent…