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Sénat des États-Unis, Pièces à conviction, Audition sur les opérations « baleine » de JP Morgan Chase, le 15 mars 2013
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Bruno Iksil : « Un régulateur, une banque, une VaR et une seule », nouveau feuilleton à paraître
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Bruno Iksil, surnommé « La baleine de Londres », nous dit ce qui s’est vraiment passé (texte complet)
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Bruno Iksil : ce qui s’est vraiment passé (XIII) Conclusion : $25 milliards de capital tangible pour la banque
Billet invité. Ouvert aux commentaires. P.J. : j’ouvrirai bien entendu volontiers les colonnes du blog à d’autres acteurs de cette affaire s’ils le souhaitent.
Le véritable gain est une création historique de $25 milliards de capital tangible pour la banque
Le site web mentionne un gain de $25 milliards ou plus…
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Bruno Iksil : ce qui s’est vraiment passé (XII) En guise de pertes, la banque retira un profit
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Bruno Iksil : ce qui s’est vraiment passé (XI) Tout le contraire d’une perte
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Bruno Iksil : ce qui s’est vraiment passé (X) La lumière n’est pas faite sur cette fraude comptable
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Bruno Iksil : ce qui s’est vraiment passé (IX) L’organisation des rôles était pourtant claire et rationnelle
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Bruno Iksil : ce qui s’est vraiment passé (VIII) Le protocole du CIO différait sur deux règles de comptabilité fondamentales
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Bruno Iksil : ce qui s’est vraiment passé (VII) Les différences de prix étaient voulues
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Bruno Iksil : ce qui s’est vraiment passé (VI) Le Chief Investment Office ne gérait pas son mark-to-market
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Bruno Iksil : ce qui s’est vraiment passé (IV) Ce portefeuille très particulier avait un protocole de valorisation unique
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Bruno Iksil : ce qui s’est vraiment passé (III) Le « trader » était un quatuor : Dimon, Drew, Macris et Artajo
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Bruno Iksil : ce qui s’est vraiment passé (I) Iksil n’est pas le « trader »
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Bruno Iksil, dit « La baleine de Londres », nous dit ce qui s’est vraiment passé