Étiquette : Jean-Pierre Mocky

  • Le bénévole (2007) de Jean-Pierre Mocky

    Quand en 1952 le cinéma nous fait voir la lutte d’influence drolatique entre le curé d’une petite paroisse et le maire communiste du village, les spectateurs en masse se bousculent pour voir Le petit monde de don Camillo. Quand en 2007 (tourné en 2005) le cinéma nous montre un archevêque provoquant dans une joute nautique…

  • Les saisons du plaisir (1988) de Jean-Pierre Mocky

    « Les saisons du plaisir » (1988) est un film où tout le monde, les jeunes, les vieux, les hétérosexuels, les homosexuels, les zoophiles, ne pense qu’à baiser, ce qui le rapproche du documentaire plutôt que du film de fiction où l’on rencontre en général ce qu’on appelle des « sentiments plus élevés ». Ceci permet au spectateur transporté…

  • Divine enfant (1989) de Jean-Pierre Mocky

    Dans un supplément qu’on trouve sur le DVD, Mocky explique qu’à cette époque il en avait marre que les femmes qu’il avait finissent toujours par partir avec les enfants qu’ils faisaient ensemble. Du coup, il cherchait à adopter, mais c’était trop compliqué. On comprend alors que c’est par frustration avec la vraie vie, qu’il a…

  • « Paul Jorion est un homme raisonnable (il n’est pas fou) », le 9 août 2019 – Retranscription

    Retranscription de « Paul Jorion est un homme raisonnable (il n’est pas fou) », le 9 août 2019. Ouvert aux commentaires. Bonjour, nous sommes le vendredi 9 août 2019 et aujourd’hui, ma petite vidéo s’intitulera « Paul Jorion est un homme raisonnable (il n’est pas fou) ». Qu’est-ce qui m’a fait penser à vous faire un petit exposé de…

  • Un couple (1961) de Jean-Pierre Mocky

    C’est une leçon de choses, en noir et blanc, avec de très beaux éclairages, sur par exemple quatre visages dans un ascenseur. C’est l’histoire d’un couple, où il découvre lui au bout d’un an, ou de trois (ça dépend à quel moment on est du film), que ce n’est plus la même chose. Elle découvre…

  • Jean-Pierre Mocky (1933 [ou 1929] – 2019)

    Jean-Pierre Mocky, qui nous a bien fait rire – mais d’un rire tout particulier : celui du cancre, de l’insolent, du rebelle-à-tout faire. Il tournait tout ce qui lui passait par la tête, dans un style puis dans un autre, ça plaisait ou pas au public, il s’en foutait, trouvant son inspiration dans sa foi…