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Après Antonioni, Godard
Après avoir revu à la suite, tous les Antonioni (vous m’avez vu mettre en ligne quelques vignettes : Des goûts et des couleurs, et L’homme qui dit : « Les femmes sont comme ça »), je suis passé à Godard, du moins celui des années soixante. Je les regarde dans un ordre arbitraire ou, plus précisément, l’ordre…
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La maman et la putain , par Jeanne Favret-Saada
Billet invité. J’ai revu il y a quelques semaines La maman et la putain (1973) de Jean Eustache. Quelle claque ! Bernadette Lafont apportait une générosité personnelle, toujours profondément engagée, à la libération sexuelle. Cet état d’esprit était rare dans les pratiques de l’époque, et ensuite, il a été carrément absent. J’ai appris avec surprise…