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Bruno Iksil : ce qui s’est vraiment passé (IX) L’organisation des rôles était pourtant claire et rationnelle
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Bruno Iksil : ce qui s’est vraiment passé (VIII) Le protocole du CIO différait sur deux règles de comptabilité fondamentales
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Bruno Iksil : ce qui s’est vraiment passé (VII) Les différences de prix étaient voulues
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Bruno Iksil : ce qui s’est vraiment passé (VI) Le Chief Investment Office ne gérait pas son mark-to-market
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Bruno Iksil : ce qui s’est vraiment passé (V) La Value At Risk était la clef de voûte du protocole de valorisation du portefeuille du CIO
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Bruno Iksil : ce qui s’est vraiment passé (IV) Ce portefeuille très particulier avait un protocole de valorisation unique
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Bruno Iksil : ce qui s’est vraiment passé (III) Le « trader » était un quatuor : Dimon, Drew, Macris et Artajo
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Bruno Iksil : ce qui s’est vraiment passé (II) JP Morgan ne fit aucun effort pour rassurer les marchés
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Bruno Iksil : ce qui s’est vraiment passé (I) Iksil n’est pas le « trader »
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Bruno Iksil, dit « La baleine de Londres », nous dit ce qui s’est vraiment passé
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L’actualité de demain : DU DANGER D’ÊTRE EXEMPLAIRE, par François Leclerc
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LA « BALEINE DE LONDRES » : HYPOCRITEMENT MAIS DÉONTOLOGIQUEMENT
Vous vous souvenez de la « baleine de Londres » ? C’est une affaire dont on parlait, y compris ici, au printemps 2012.
Au centre de cette affaire, Bruno Iksil, trader chez J.P. Morgan Chase à Londres, qui avait laissé gonfler une position, officiellement de couverture, dont la taille était devenue telle (d’où la…