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La femme selon Godard
La femme veut un enfant : Une femme est une femme (1961) La femme n’est pas loyale (elle trahit Jean-Paul Belmondo) : À bout de souffle (1960) ; Pierrot le fou (1965) La femme n’est pas une marchandise : Le mépris (1963) La femme qui n’est pas sur ses gardes tombe aux enfers : Vivre…
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Vivre sa vie
Tout à l’heure, après avoir écrit le billet que j’avais écrit, j’étais d’humeur à revoir le film le plus triste du monde.
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Alphaville ou Godard qui dit : « Regardez ! Sans les mains ! »
Quand Alphaville sort en 1965, chacun s’interroge : « Qu’est-ce donc que ce film étrange ? ». Personne ne semble se souvenir que… Vous devez être connecté pour lire le contenu complet de l’article. Vous pouvez vous abonner ici
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Anna Karina et la chanson
Oui, après avoir vu tout Antonioni, et terminé ce qu’il me restait à voir chez Sautet (dont le splendide Un mauvais fils), j’en suis à revoir tout Godard.
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Anna Karina (1940-2019)
J’écrivais ici en 2010, à la mort de Jean Ferrat : Nota bene : Une proportion significative d’hommes de mon âge ont été amoureux d’Anna Karina (ici dans « Vivre sa vie » de Jean-Luc Godard). On sait quoi faire : on peut pleurer.