Catégorie : Cinéma

  • Alphaville ou Godard qui dit : « Regardez ! Sans les mains ! »

    Quand Alphaville sort en 1965, chacun s’interroge : « Qu’est-ce donc que ce film étrange ? ». Personne ne semble se souvenir que… Vous devez être connecté pour lire le contenu complet de l’article. Vous pouvez vous abonner ici

  • « Le respect » (1963) de Jean-Luc Godard

    Après les échecs d’Une femme est une femme et des Carabiniers, les producteurs ont perdu le bel enthousiasme qu’avait soulevé À bout de souffle. Aussi Godard se sent obligé de dire à la cantonade qu’il est capable de mettre en scène autre chose que des blagues de potache au scénario « fantaisiste » – au cas où…

  • Après Antonioni, Godard

    Après avoir revu à la suite, tous les Antonioni (vous m’avez vu mettre en ligne quelques vignettes : Des goûts et des couleurs, et L’homme qui dit : « Les femmes sont comme ça »), je suis passé à Godard, du moins celui des années soixante. Je les regarde dans un ordre arbitraire ou, plus précisément, l’ordre…

  • Deleuze : « Antonioni, cinéaste anti-freudien », par Phil Gill

    Aussi, pourquoi Monsieur Jorion s’intéresse-t-il, entre autres, à l’œuvre d’Antonioni ? Je suppose que l’une des raisons principales est que les films de ce cinéaste sont au croisement des « trois regards, philosophique, psychanalytique et cinématographique ». Et pourtant, selon la lecture deleuzienne des films d’Antonioni par Daisuke Fukuda dans « Savoirs et clinique », le philosophe…

  • L’homme qui dit : « Les femmes sont comme ça »

    Dans Identification d’une femme (1982), le moins connu sans doute des films de Michelangelo Antonioni, un adulte improvise à l’intention d’un enfant un conte de science-fiction où un astéroïde a été creusé et sculpté pour en faire un vaisseau spatial. Il conclut son récit par ces mots : « Nous aurons compris l’univers tout entier et…

  • « Nous nous reverrons, j’ignore où, j’ignore quand… »

    Je viens de parler à une amie – au téléphone. Nous avions du mal à nous quitter. Au moment de nous séparer, je lui ai redit les vers ci-dessus : ceux de Vera Lynn quand elle soutenait le moral des filles et des gars de la RAF en 1943. Hier soir, j’ai regardé le film…

  • Jeanne Moreau

    Ce qu’il y a de sympathique chez les gens morts, c’est qu’on aime bien repenser à eux.

  • Des goûts et des couleurs…

    Je n’avais jamais vu L’Éclipse d’Antonioni. Je l’ai regardé ce soir. Mais avant, j’ai voulu lire quelques critiques. Plusieurs se… Vous devez être connecté pour lire le contenu complet de l’article. Vous pouvez vous abonner ici

  • Les traductions. De qui se moque-t-on ?

    Je deviens semble-t-il un vieux ronchon avec l’âge. Ne vous inquiétez pas : il s’agit paraît-il d’une sorte de loi… Vous devez être connecté pour lire le contenu complet de l’article. Vous pouvez vous abonner ici

  • Césars 2021 – Ave Corinne ! par Chantal Montellier

  • Autres temps, autres mœurs…

    J’ai acheté un coffret de films de Gabin. J’ai fait allusion l’autre jour au fait que j’avais revu le French Cancan (1955) de Jean Renoir. Pour ceux qui ne connaissent pas, c’est l’histoire d’un patron de revues (Jean Gabin) qui couche avec toutes les jeunes filles qu’il recrute et quand il y en a une…

  • Hommage à Jacques Offenbach (1819-1880)

    J’ai revu hier le « French Cancan » (1955) de Jean Renoir, avec Jean Gabin, Maria Félix, Françoise Arnoul, Philippe Clay, Jean-Roger Caussimon et Giani Esposito, quelle meilleure occasion de rendre hommage à Jacques Offenbach ? Bonus :

  • Nelly Kaplan (1931 – 2020)

  • Sean Connery (1930-2020)

    Cela se passe l’après-midi d’un samedi ou d’un dimanche paresseux dans ce parc perché sur la falaise longeant la plage de Santa Monica, banlieue littorale de Los Angeles. Il fait, faut-il le dire, un temps splendide. Un de ces temps resplendissants qui tuent aujourd’hui à petit feu la Californie tout entière. Je ralentis le pas,…

  • La pudibonderie n’est pas de gauche

    À propos de Le Monde, Le cinéma indépendant américain saisi par le puritanisme, par Jean-François Rauger, le 12 octobre 2020. Sous-titre de l’article : « Le souci des cinéastes semble aujourd’hui de ne pas être soupçonnés de vouloir rassasier un regard masculin qui, par essence, serait suspect. » J’abonde dans le sens de l’article : ni le…