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LA FINE LIGNE ROUGE, par Zébu
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À propos de ROOSEVELT 2012, vite fait, un dimanche
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Au commencement est le désir. Son projet est l’infini…, par Christian Maurer
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ÉRIC CHARDEN (1942 – 2012)
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LE GRAND TOUR(nant) – ITALIE – SUISSE – FRANCE
J’ai commencé d’écrire mon livre qui s’appellerait Comment la vérité et la réalité furent inventées (Gallimard), en 1984. Il fut fini d’être rédigé en 2004. Au tout début 2007, avec l’aide inlassable de Marcel Gauchet, Pierre Nora et Olivier Salvatori, commença le travail de réécriture et de finition, qui devait déboucher sur…
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ALTERÉCHOS.be, Paul Jorion : La crise, l’économie sociale, N° 335, mars 2012
Dans la revue belge AlterÉchos.
Julien Winkel : Le sociologue, anthropologue et économiste Paul Jorion était à Bruxelles début mars. Il a accepté de répondre à quelques questions à propos de la crise, de l’économie sociale.
Paul Jorion commence à être bien connu du public belge. Né à Bruxelles le 22 juillet…
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Dans les allées du pouvoir, les banquiers à la manœuvre, par Marie-Jeanne Pasquette
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Non ! Il n’y a pas qu’une seule politique économique européenne possible, par Jean-Pierre Pagé
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Comment les carences du rêve débilitent le réel, par Bertrand Rouziès
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BONJOUR MONSIEUR JORION, par Pascal Aulagner
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LE TEMPS QU’IL FAIT, LE 27 AVRIL 2012
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APPEL D’AVRIL
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ATLANTICO.fr, Comme l’ex-premier ministre islandais l’a été, il faudrait juger les responsables de la crise des subprimes !
Un entretien avec Franck Michel sur Atlantico.fr
Atlantico : Geir Haarde, l’ex Premier ministre islandais a été traduit en justice pour l’effondrement du système financier du pays en 2008. Le tribunal spécial qui le jugeait a finalement annoncé lundi qu’il ne serait pas sanctionné même s’il a été reconnu coupable de l’un…
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UNE INITIATIVE SYMPATHIQUE, LANCÉE PAR UNE VIDÉO SYMPATHIQUE
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Parrhèsia, par Panagiotis Grigoriou
Billet invité. Le blog de Panagiotis Grigoriou est greek crisis
Pour Cornélius Castoriadis, notre société n’est pas une démocratie, mais une oligarchie dominée par la bureaucratie des partis, et suivant ce même motif, les élections sont une illusion de choix, car nous sommes tellement loin de la parrhèsia, cette obligation de dire…