Auteur/autrice : Paul Jorion

  • TÉLÉRAMA, LES JOUEURS, « AU GRAND CASINO DE LA FINANCE » par Paul Jorion, un entretien avec Vincent Remy, le 18 décembre 2013

  • « Coups de midi des Riches Claires », Rencontre littéraire animée par Jacques De Decker avec Paul Jorion

    Voici la vidéo de mon intervention à la bibliothèque des Riches Claires (Bruxelles) le 29 novembre 2013.

    Quand je parle du scolastique Duns Scot, c’est une erreur : il s’agit en réalité de Bernard de Cluny.

  • Les Amis de Beppe Grillo à Paris, Austérité, crises, … : comment s’en sortir, par qui et dans l’intérêt de qui ?, à 19h

  • Le scandale de la NSA à la lumière de 1789, par Cédric Mas

  • J’ai reçu ça

  • « C’est seulement une affaire de 15 milliards ! », par Zébu

  • L’Encyclopédie au XXIème siècle :

    APPEL À CONTRIBUTIONS

  • Parti de Gauche : Colloque sur le coût du capital, le 23 novembre 2013

  • MON WOODY GUTHRIE À MOI

    Bon, bien sûr dans mon pays à moi, nous avons aussi notre Woody Guthrie, nous avons même aussi notre hymne national officieux : notre propre « This Land Is Your Land », qui s’appelle « Le plat pays ». Enfin, quand je dis « dans mon pays à moi », je repense aussitôt à l’anecdote suivante : un…

  • Procès Kerviel : le sursaut possible de la démocratie européenne, par Pierre Sarton du Jonchay

    Billet invité

    Dans son appel à un sursaut de fierté de la magistrature dans l’affaire Kerviel, Paul Jorion décortique le déni de justice dans lequel le gouvernement de la République Française engage le citoyen français. La réalité financière des marchés globalisés, de la banque dérégulée et des privilèges fiscaux d’extra-territorialité…

  • JOAN FONTAINE (1917 – 2013)

  • AFFAIRE KERVIEL : VERS UN SURSAUT DE FIERTÉ DANS LA MAGISTRATURE ?

  • PETER O’TOOLE (1932 – 2013)

  • THIS LAND IS YOUR LAND

    L’hymne national américain officieux « de gauche » : « This Land Is Your Land » de Woody Guthrie pour les paroles, dont j’ai longuement parlé l’autre jour à Liège.

    Avec un très beau finale dans le style cajun, et Bono chantant l’un des deux couplets « communistes » :