Imaginez que dans un pays imaginaire un candidat populiste ait été nommé président au grand dam des représentants du parti sur la liste duquel il s’était présenté.
Imaginez que ce président nomme comme ministres moitié de milliardaires et moitié de généraux mis au rencard par l’armée pour leurs opinions délirantes.
Imaginez que ce président nomme comme conseiller principal son propre gendre.
Imaginez qu’à chaque fois que la question de l’éthique est posée à ce nouveau président il réponde : « Ne cherchez pas à politiser le débat ! »
Imaginez que ce président se soit aliéné, avant même sa prise de fonction, le chef de la police et celui des services secrets, les ayant publiquement traités de menteurs.
Ne vous demanderiez-vous pas ce que va faire l’armée de ce pays imaginaire ?
Souvent une étrange culpabilité vient visiter les vivants et les perturber comme cette mauvaise synchronisation du son à l’image. Etrange,…