Je lis votre blog depuis quelques années déjà, et j’essaie comme vous de trouver des solutions aux problèmes de notre temps. La chose n’est pas simple, et puisqu’il faut commencer quelque part, on débute généralement par élaborer des plans là où notre instruction et nos talents sont suffisamment vifs pour y voir clair et bâtir quelque chose. Je n’entends pas par là qu’il suffise de bonnes volontés individuelles pour pallier les grandes lacunes systémiques de notre monde. Si l’on entend souvent les partisans de « l’intelligence collective » affirmer avec poésie que l’océan n’est rien d’autre qu’une multitude de gouttes d’eau, dans la situation qui est la nôtre, un million de cailloux ne fait pas un pont, mais simplement un tas de cailloux. Je pense avoir déjà relevé dans vos articles votre approbation sur ce point : pour effectuer un changement de paradigme, la participation volontaire d’une multitude d’acteurs ne peut se dispenser d’une structure permettant de tirer le meilleur parti des efforts fournis.
Moi non plus. C’est une vision anglaise. « L’idée tordue de la paix de Trump – céder un quart du territoire…