Billet invité.
Le phénomène qui s’observe habituellement sur le bassin méditerranéen, remonte vers le nord de l’Europe.
En résumé par Air normand :
« Une augmentation des concentrations d’ozone est attendue aujourd’hui (24/08) dans l’après-midi, en lien avec la chaleur et le bel ensoleillement. L’ozone se forme à partir de polluants dit précurseurs que sont les oxydes d’azote et les hydrocarbures, eux-mêmes d’origines très variées : routière, industrielle, agricole, naturelle. »
Des journées particulières… ?
Les concentrations d’ozone atteignent le seuil « d’information et de recommandations aux personnes sensibles » mais restent, pour le moment (24/08), en dessous du « seuil réglementaire d’alerte« …
Ce qui risque d’arriver assez rapidement, vu les estimations d’ozone en moyenne journalière de Prév’air pour demain 25/08.
C’est d’ailleurs très intéressant, il suffit que les relevés de mesures soient un chouïa inférieurs à ces seuils pour que tout semble aller pour le mieux !
On peut se rassurer un peu plus en sachant que, certains effluves de végétaux suscitent l’apparition d’ozone.
On ignore à quoi peut leur servir d’en laisser échapper (l’isoprène) , peut-être qu’à petite concentration, un rôle protecteur contre la lumière intense, la chaleur ou les oxydants…? (La Cité des Plantes, Marie-Paule Nougaret, p 62)
On ignore beaucoup de choses, en fait…
Mais la nocivité du surplus d’ozone de basse atmosphère semble bien provenir essentiellement des activités humaines.
Des personnes perspicaces feront remarquer qu’il faut bien choisir des seuils aux normes d’alertes…
Certes, mais imaginons un peu le nombre de jours dans l’année où les indices de pollutions sont
plutôt moyens voire très moyens, sans toutefois passer la barrière médiatique de l’alerte ou à minima
de l’information publique.
Pas tout à fait notre lot quotidien, mais des journées devenues quasiment normales, tant nous
sommes habitués à respirer cet air là…
En parlant de ‘milliards de dollars’ … un trou de serrure indiscret avec vue sur l’intimité du clan TRUMP… C’était…