Avec Le dernier qui s’en va éteint la lumière, il n’est pas question de politique au jour le jour, pas question d’élections particulières, fussent-elles même présidentielles. Il n’y a ni enjeu politique immédiat, ni enjeu « de société », ni même « enjeu de civilisation » : c’est de la survie même de l’espèce qu’il est question. Cela, vous lecteurs, l’avez bien compris.
Les journalistes ont eu leur tour pour parler du livre, et je les remercie de la manière dont ils et elles l’ont fait, mais ce qui assure la remontée des ventes constatée ces jours-ci, c’est le bouche à oreille : le conseil donné de lire Le dernier qui s’en va éteint la lumière, prodigué par vous mes lecteurs. Soyez-en, vous aussi, remerciés !
Thom : « La voie de crête entre les deux gouffres de l’imbécillité d’une part et le délire d’autre part n’est…