Death Knocks, « La mort frappe », est une courte bouffonnerie de Woody Allen, parodie du Septième Sceau » (1957) d’Ingmar Bergman. Elle fut publiée dans le New Yorker, le 27 juillet 1968 (reprise ensuite en 1972 dans le recueil intitulé Getting Even).
En juillet 2007, au tout début du blog, à une époque où je publiais en parallèle en anglais et en français, j’ai consacré à cette parodie d’un film-culte, une parodie de critique, prétendant prendre au sérieux – comme le mériterait une œuvre classique – cette farce où un petit tailleur new-yorkais roule dans la farine la Mort venue le chercher – l’un et l’autre n’ignorant aucune des subtilités du yiddish.
Mon petit texte se rappelle régulièrement à mon bon souvenir depuis que nous avons lancé l’aventure de (P)ièces (J)ointes parce que j’établis la première liste des textes à retenir pour paraître dans la version imprimée du Blog à partir du classement des pages les plus vues qu’établit l’outil d’analyse statistique Google Analytics. Ma critique humoristique de « La mort frappe » se retrouve toujours en bonne position. Il y a quelques années, des étudiants américains m’avaient consulté à propos de la mise en scène qu’ils envisageaient du sketch drolatique Woody Allenien.
1) On peut utiliser des bombes nucléaires pour stériliser l’entrée d’abris souterrains (au sens galeries bien bouchées, comme au sens…