Voter FN, pour ceux qui votaient socialiste ou communiste autrefois, c’est quand il ne reste plus que la colère.
Pour un élu démocrate sincère, refuser le front républicain entre les deux tours, c’est quand il ne reste plus que la colère.
Vouloir régler les problèmes du monde et/ou les questions que l’on se pose sur soi-même, à la kalachnikov, c’est quand il ne reste plus que la colère.
« La colère est mauvaise conseillère », nul ne l’ignore, honte alors à ceux qui, par intérêt et/ou par calcul, nous acculent à la colère : ils ouvrent ainsi une boîte de Pandore et rien ne garantit qu’ils ne seront pas eux aussi emportés par le vent mauvais qui s’en échappe.
Vous nous dites qu’il n’y a eu, jusqu’à présent, que moment Pearl Harbor à rebours. Il me semble, à la…