Le 22 juillet dernier, sous le titre Sages asiatiques, théologiens… au sommet des « consciences » sur le climat, le quotidien La Dépêche expliquait :
François Hollande a réuni hier des Sages et des autorités religieuses du monde entier afin de favoriser la prise de conscience écologique dans la perspective de la Conférence sur le climat à Paris en décembre. C’était une journée œcuménique en faveur de l’environnement. Dignitaires chrétiens, sages asiatiques, Indiens d’Amazonie, guide musulman soufi… Des dizaines d’autorités morales du monde entier sont réunies hier à Paris pour un « sommet des consciences » sur le climat, quatre mois avant la cruciale conférence COP21 en France.
Le journal ajoutait :
Le climat, « why do I care » (« pourquoi je m’en préoccupe »), c’est le mot d’ordre de ce sommet, auquel participent l’ex-secrétaire général des Nations unies Kofi Annan, le Bangladais Muhammad Yunus, pionnier du microcrédit et prix Nobel de la paix 2006, ou encore le primat orthodoxe de Constantinople Bartholomée, surnommé le « patriarche vert ».
« Why do I care » est effectivement le nom de l’organisme qui préside au « Sommet des consciences », le conseil des sages de la COP21. Petite remarque cependant, l’expression « Why do I care » ne signifie pas « pourquoi je m’en préoccupe », ce qui serait : « Why I do care », son sens est plus brutal et elle n’est jamais dite très poliment. Elle signifie (de même que « Why should I care », « What do I care »), « que voulez-vous que ça me fasse », « je m’en fiche ».
Un mot d’ordre significatif ?
Ils se sont adaptés, ou sont devenus moins visibles comme Nicolas Hulot https://www.radiofrance.fr/franceinter/podcasts/affaires-sensibles/affaires-sensibles-du-lundi-02-septembre-2024-6095154, ont vu leur affaire classée sans suite…