Mon préféré, dans les aventures d’Alix, c’était Le Sphinx d’Or : ah ! ces méchants masqués, dont l’identité est enfin révélée dans les dernières pages ! À moins qu’il ne s’agisse encore que d’un masque, d’un sosie, d’une greffe de visage, d’une illusion ! Le meilleur frisson n’est-il pas toujours celui d’une terreur rétrospective ? Et à ce propos, le sommet du genre n’avait-il pas été atteint par Willy van der Steen dans Lambique chercheur d’or où l’ennemi à la fois mortel et masqué de nos héros s’avère n’être autre que… Fanfreluche, la poupée de son de Bobette, devenue géante et mue par un noir ressentiment ! Quelle horreur !
Alix, Lefranc, Jhen, Arno, Keos… Adieu Marleb, et merci pour ces si belles aventures.
5 réponses à “Jacques Martin (1921 – 2010)”
Je lisais les aventures d’Alix dans le supplément de « Nous Deux » que ma grand-mère mettait précieusement de côté chaque semaine pour que nous puissions avoir de la lecture quand nous venions en vacances .
Je viens de l’ apprendre sur votre site. J’ aimais particilièrement GUY LEFRANC ( je dois tous les avoir) et il y avait tout de même dans ses aventures quelque chose à mettre en rapport avec aujourd’hui ( L’ouragan de feu, les portes de l’ enfer,…etc…).
un monstre sacré de la BD vient de disparaître, quel dommage
j’espère que les jeune redécouvrirons cet auteur génial
RIP, Monsieur Jacques
Alix ! C’était la récréation après les cours de latin.
A cette époque les scouts avaient des culottes courtes , les légionniares la cuisse virile et les femmes des allures de garçons. En définitive Martin était un esprit libre n’hésitant pas à enseigner aux jeunes les plaisirs romains d’avant les interdits judéo-chrétiens. la collaboration avec l’occupant n’était pas un péché .Un vrai plaisir.Proche d’Hergé au racisme non dissimulé…La gauchede cette époque moins pudibonde que l’actuel faisait ses délices des anciens de la collaboration..Impensable aujourd’hui..
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Traduction:: »J’adore me baigner en compagnie de mes petits dauphins qui me font des taquineries sous l’eau »