Quand Geneviève et moi nous sommes rendus pour la première fois en Irlande, en 1977, nous étions à la recherche de la « pub music » et nous sommes tombés sur ce type de vieux de la vieille dont chaque pays a ses propres représentants et qui, après avoir craché à une distance respectable le jus de sa chique, vous dit d’un ton péremptoire : « La chanson irlandaise est morte le 16 septembre 1945, le jour où John McCormack a rendu son âme à Dieu ! »
Alors voici, un petit hommage à ceux avec qui la chanson est morte, respectivement en Irlande (vous constaterez que la vraie chanson irlandaise rend fou), en Angleterre et en France.
5 réponses à “Ceux avec qui la chanson est morte”
Je viens de voir la vidéo de l’irlandais, et c’est à François Leclerc que je pense : c’est vrai que l’éternité c’est long.
Là je suis en train d’écouter l’anglaise et je pense aux Beatles et à la cuisine anglaise.
Le français me fait penser à Gainsbourg.
Pour se détendre toujours mais sans abandonner la musique de fond, je recommande la plaisante lecture du journal d’un économiste trés sympathique ici, http://www.radiofrance.fr/franceinter/blog/b/blog.php?id=12
Pourquoi si peu connu en France? Dorival Caymmi (1914-2008), chanteur brésilien, compositeur, un grand parmis les grands artistes brésiliens
Par bonheur, Sean O Riada a rescucité la musique irlandaise!
Pour un gars qui vante tant la Bretagne, et qui a bien d’autres sujets mortels en tête,
Tino mérite une inoffensive réhabilitation :
Tino Rossi – Venise et Bretagne