Jules Pongron de La Ferté-Alais m’écrit pour me dire : « Mes cinq chansons préférées de Charles Trenet sont : 1) Que reste-t-il de nos amours ? ; 2) Mes jeunes années ; 3) L’âme des poètes ; 4) Quand j’étais petit ; 5) Un rien me fait chanter ».
Merci Jules de nous faire partager vos préférences ! Que de nostalgie dans ces quelques titres !
Alors, voilà : pour vous faire plaisir et par la magie de la technique moderne !
Et … nos compliments à Madame !
21 réponses à “CE SOIR ON SE SOUVIENT !”
Ca fait du bien Charles Trenet
« Ménilmontant » et « Revoir Paris« , c’est beau aussi – ça peut s’écouter ici
Didier, vous m’otez le titre de la bouche: j’ai immediatement pense moi aussi a « Menilmontant ». Mais bien sur bcp d’autres sont franchement bien!
Crise des
dettes publiques ou pourquoi la zone euro va exploser …..
Superbe!
Cependant:
Bien que les noms propres n’aient pas d’orthographe il doit s’agir de la Ferté Alais.
Comment ne pas admirer le swing français du fou chantant.?
Il est un des seuls avec Francis Cabrel à fournir des toniques sur les barres de mesure in french!
Bien vu Tartar, corrigé.
Quelqu’un se souvient-il lequel de nos grands amuseurs aimait de se référer à Jules Pongron de La Ferté-Alais ? Était-ce Francis Blanche, Jean Yanne ?
@Paul
Oui oui je connais et je me souviens trrrrrrès bien: on l’appelait P. J.
Vous connaissez comment, vous ?
Je n’ai pas trouvé qui était Jules Pongron.
Il y a une seule chose que je suis sûr c’est qu’il n’est pas jeune.
Que se passerait-il si Trenet revenait aujourd’hui?
Quel succès aurait-il?
Dans mon dernier article qui traite de l’Amérique, je me posais la question de ce qui arriverait à la chanson de Joe Dassin « L’Amérique ».
L’Amérique
by Joe Dassin
Mes amis, je dois m’en aller
Je n’ai plus qu’à jeter les dès
Car elle m’attend depuis que je suis né
L’Amérique
J’abandonne sur mon chemin
Tant de choses que je craignais bien
Cela commence par beaucoup de chagrin
L’Amérique
L’Amérique, l’Amérique, je veux la sauver et j’y arriverai
L’Amérique, l’Amérique, non ce n’était pas un rêve, mais ce qu’ils en ont fait
Tous les traders et les délocalisations , toutes les sirènes disparues des haut fourneaux
M’ont chanté cent fois la chanson de la fin de l’Eldorado
De l’Amérique
Mes amis, je ne vous dis pas adieu
Je m’en vais vous pleurer un peu
Pardonnez-moi si je n’ai dans mes yeux
Que l’Amérique
Je reviendrai je ne sais pas quand
Couvert de gloire et plus riche que d’argent
Ou inconnu, mais j’aurais tenté avant
que disparaisse l’Amérique
L’Amérique, l’Amérique, Obama n’a rien fait
L’Amérique, l’Amérique, je ne veux plus la voir assasiné
Tous les financiers, toutes les guerres, tous ces Monsanto
M’ont chanté cent fois la chanson de la fin de l’Eldorado
De l’Amérique
L’Amérique, l’Amérique, si c’est un cauchemar, je la changerai
L’Amérique, l’Amérique, même si c’est perdu, je veux tenter
Bravo Liervol.
🙂
Je viens de prendre conscience de la terrible injustice portée aux non-voyants dans leur privation à la participation aux débats, donc à la démocratie, sur le NET puisque les blogs, sans exception, leur sont inaccessibles ! … Ne les oublions pas, Merci.
Que faut-il faire pour les non-voyants ? Que chaque billet de Paul Jorion ou d’invité soit présenté avec un lien audio ? Qui parmi nous est doté d’une excellente diction et d’un peu de temps libre ?
En espagnol existe un logiciel, SodelsCot, qui lit les textes écrits (avec 8 voix synthétiques différentes).
A quand les ecrans qui affichent en Braille? Hmm ca sonne comme une blague, mais est-ce si fou?
C’est drôle, ce n’est pas la première fois que quelqu’un nous renvoie à ce grand Monsieur de la chanson. Et plus drôle encore, cela se passe au moment où les tensions se font plus fortes …
Nostalgie d’une époque où la gentillesse pouvait encore s’exprimer sans faire jaser. (Jazzer à la rigueur…).
Si l’on me demande mon avis, j’ai un faible pour « bonsoir, jolie Madame ».
Et bonsoir à tous,
A voir la maison de Monsieur Trenet à Narbonne.
Cette évocation musicale m’a renvoyé au Cantique de Jean Racine de Fauré, car je l’ai découvert dans un pays dont la devise est « Je me souviens » à cette époque et sous la neige il ya quelques années.
En voici une interprétation inspirée dans ce lien.
» Répands sur nous le feu de ta grâce puissante ;
Que tout l’enfer fuie au son de ta voix ;
Dissipe ce sommeil d’une âme languissante
Qui la conduit à l’oubli de tes lois! «
l’âme des poètes :
…oui, mais…
http://www.youtube.com/watch?v=K0h7LGq0WIA
…
…Et puis ma préférée …
http://www.youtube.com/watch?v=C1d84Q3vlbM
à cette époque, on pouvait fumer dans les bars, rouler bourré, et il n’y avait pas de « contrôle parental » … … sur le chemin !