J’avais un ami en Amérique qui s’appelait Paul comme moi. Quand la conversation languissait, il retombait systématiquement sur Neil Young. Il se mettait à citer quelques vers d’une chanson de Neil Young, comme : « Il y avait une fanfare qui soufflait à la face du soleil, qui flottait sur la brise, regarde Mère-Nature en fuite dans les années 1970… », et il ajoutait : « Qu’est-ce qu’il était toujours pété ce gars-là ! ». Paul, beaucoup plus jeune que moi avait découvert Neil Young sur le tard, quand il était entré à l’université. Il avait vu Neil Young en concert et, bien des années plus tard, il restait fasciné par les harangues incohérentes que le chanteur proférait en bougonnant entre deux morceaux.
Un de mes chanteurs nord-américains préférés (en fait, Canadien), comme vous l’avez compris.
56 réponses à “NEIL PERCIVAL YOUNG”
Neil Young, meilleur compagnon de route…et puis on s’arrête pour écouter « on the beach »
…La réponse du berger à la bergère…
http://www.youtube.com/watch?v=bng3agUOYiI..
Oui… les Canadiens possèdent une sensibilité différente…
modeste hommage à deux autres grands song writers..
Félicitations pour votre blog passionnant que je lis régulièrement …je regrette de ne pas disposer de connaissances suffisantes en économie pour l’ apprécier pleinement mais je salue bien bas votre patient et utile travail…