Le G20
L’exception de jeu
George Bush et la torture
*Godot est mort !*
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Rectif : Poutine (pas Cicéron) : i
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153 réponses à “LE TEMPS QU’IL FAIT, LE 5 NOVEMBRE 2010”
On devrait tous ici se réjouir que l »on découvre (enfin!) à l’OMC que l’économie et que les échanges commerciaux qui y sont associés sont de nature humaine. Que l’on s’interroge donc enfin à l’OMC sur les racines humaines de l’économie. C’est effectivement donc bien à une anthropologie que l’économie doit se référer si elle veut être repensée valablement et durablement sur le plan humain. Ceci dit Monsieur Lamy doit savoir que Max Weber (« esprit du capitalisme ») et aussi Fernand Braudel (« les racines du capitalisme ») ont tenté en leur temps d’éclairer la question. Nous invitons Pascal Lamy à lire ce qu’en dit aujourd’hui l’anthropologie de l’Humanisme Méthodologique. Le temps est effectivement bien venu de travailler aux racines humaines de l’économie si l’on veut refonder une nouvelle pensée économique et sortir des mystifications et dénonciations stériles habituelles qui n’apportent rien au débat. Pour en savoir plus lire l’article de Roger Nifle anthropologue français auteur de cette anthropologie « Le renversement économique : pour une autre pensée économique ».
Merci de faire suivre à qui de droit pour ceux qui ici disposerait d’entrée à l’OMC
http://journal.coherences.com/article59.html
Ainsi, il faudrait faire passer l’espèce humaine à la vitesse supérieure.
Cela semble si beau, si utopique aussi, sur le papier.
Mais pour quelle raison le faudrait-il au fait ? Pour le bien ? Pour le bonheur ? Pour la morale ? Pour se sentir meilleur, plus adulte et plus « grand » ?
Le dire c’est bien, mais n’est rien comparé à l’ampleur incommensurable de la tâche. Tâche d’une si infinie difficulté qu’elle frôle l’irréel.
Comment faire basculer l’humain dans une ère où la Morale et les symboles du bien ne seraient plus des inventions artificielles ni des outils ni des prétextes à la réalisation de ses bas instincts mais deviendraient de véritables objectifs réalisés et maintenus en tant que finalité ?
Cela n’a jamais existé, si ce n’est quelques rares cas d’individus isolés qui n’ont pas été retenus comme modèles de comportement par notre sélection sociale naturelle et qui n’ont pas plus de poids ni de valeur dans la réalité que les idéaux communiste ou autres…
Si je devais me fixer pour but de ne plus jamais nuire à personne ni à ma planète, que ce soit directement ou indirectement, je n’aurais plus qu’à me figer sur mon séant là où il se trouvait au moment où j’aurais embrassé cette étrange résolution, et m’en tenir à cette condition jusque la fin des temps.
La vie et la raison d’être de toutes choses, naturelles et artificielles, puisent leur équilibre dans le changement, dans les bouleversements.
La souffrance, l’inconfort, la frustration ne se ressentent que si l’on est soumis à des variations d’état. Ces variations sont inévitables, puisqu’elles caractérisent le vivant et la nature même de notre monde physique (énergie et vibrations…).
La nature nous juge-t’elle ? Nous qui ne sommes que l’un de ses fruits après tout ?
Connait-elle seulement le bien et le mal ? Le beau et le laid ? La vertu et le vice ?
Le jugement humain est ce qui est le plus nuisible à a race humaine.
Il l’empêche de percevoir correctement la réalité des choses et l’induit systématiquement en erreur, tout en lui offrant le doux mais cruel réconfort de ses belles Croyances.
En cela, le cerveau humain est un outil vicieux et sanguinaire : prenez l’idée de « mourir pour un idéal » par exemple.
Si au moins la réalisation d’un seul Idéal pouvait mener à la satisfaction de toutes nos frustrations humaines voir même à l’immortalité (pour les plus assoiffés de vie).
Tout état de constance fera toujours naître en nous une insatisfaction irrépressible.
Notre seule capacité à percevoir ce qu’est l’infini réside dans notre perception du temps présent. Un Présent en perpétuel changement. Et une perception qui trouve toujours et bien heureusement un dénouement salvateur.
Car l’humain ne pourra jamais rien faire d’autre que de subir sa propre nature et son cadre naturel (même transformé, même gâché, même édulcoré, même transformé, il s’agira toujours d’atomes et de matière).
Si la nature profonde de l’être humain, ce singe soit disant évolué, était virtuelle et non pas physique et matérielle, il en serait peut-être autrement.
Mais ce n’est pas.
L’énergie Humaine n’est décidément pas programmée pour se tenir figée et inactive.
Dès que l’Homme bouge, agit ou ouvre sa grande gueule, c’est pour faire ou dire une connerie.
Regardez : moi !
Ne dites pas cela, on trouve toujours un con plus con que soi il n’y a qu’à faire le choix à l’antenne,
Dans l’être humain il y a différentes énergies, et plus nous sollicitons le monde à vivre dans les mêmes énergies et moins le monde se rend de moins en moins apte à y croire, à s’en passer.