Portrait par Stable Diffusion
Joe Biden va prononcer tout à l’heure son discours-programme « The State of the Union » : l’état de la nation.
Que peut-on espérer ? Qu’il s’emmêle à ce point les pinceaux que son parti, le Parti démocrate, soit forcé de reconnaître la sénilité de son candidat désigné à la présidentielle de novembre et le remplace par un autre, ce qui nous éviterait quatre nouvelles années de Donald Trump exerçant sa vengeance sur ses ennemis, s’efforçant de purger les États-Unis de tous ses Amérindiens et dénonçant les alliances militaires de la nation.
Pourquoi ce parti n’a-t-il pas déjà écarté Biden ? Parce que « ça ne se fait pas » d’interdire à un président sortant de se représenter. Mais s’il devait se faire qu’il y ait un « regrettable incident » ce soir ou dans les jours qui viennent ? On entend chuchoter que Michelle Obama ferait un bon joker. Ce qui est vrai.
Quand même, cela la fout mal qu’un pays soit dans un tel état qu’on prie d’une part pour que son président ne dise que des conneries dans son allocution majeure, et d’autre part que des généraux félons préparent déjà un coup d’État militaire au cas où son challenger accéderait au pouvoir.
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