Les altesses effarouchées du gouvernement ont épuisé le vocabulaire pour décrire l’ultra-, l’extrême-, le factieux des factions éco-terroristes et leur ultra-violence, on se croirait dans les rues de France comme dans Orange Mécanique.
Les mêmes, prêtres et apôtres de la religion féroce qui nient la pénibilité du travail, restructurent tout ce qui fonctionne à l’infini jusqu’à écraser chaque être humain et le dégoûter, quel que soit le secteur d’activité, de participer au commun.
Rien n’est oublié, éducation, transport, agriculture, énergie et surtout santé.
Comment décrire le fait de pousser à changer de métier des milliers de personnels de santé ? Comment décrire la précarité qui atteint dans bien des cas la maltraitance de nos aînés dans les EHPAD ? Comment décrire la fermeture de services d’urgences qui va entrainer des milliers d’heures dans le couloir avec un calcul rénal, une fracture ouverte ? Comment décrire tout cela, sinon comme la pire violence qui soit ?
La foule est bien calme, en fait, et trois pavés plus deux poubelles qui brûlent ne sont rien face à la violence structurelle que les Macrons et consorts mettent en place pour chacun de nous, avec le sourire.
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