La preuve serait désormais faite que La jeune fille à la flûte n’aurait pas été peinte par Vermeer. Ah oui ? Et par qui d’autre dites-moi ?
@Hervey Addiction ! Vous y allez peut-être un peu fort, non ? 😉 En fait, dans un premier temps, je…
*Godot est mort !*
La preuve serait désormais faite que La jeune fille à la flûte n’aurait pas été peinte par Vermeer. Ah oui ? Et par qui d’autre dites-moi ?
Bonjour,
Par une IA!
Le hollandais Van Meegeren a défrayé la chronique comme faussaire, (petit faussaire car même à l’écran d’un ordinateur la photo reproduisant ses copies se confirment à l’oeil nu comme détestables copies ) notamment de Vermeer à une époque où le savoir et les techniques étaient défaillantes face aux gangsters du pinceau …
Nous vivons dans un monde qui doit récompenser l’investissement, crapuleux ou pas.
C’est une vérité qu’il ne faut pas perdre de vue. Après ….
Pas d’accord du tout : les faux Vermeer de van Meegeren (pas des copies d’œuvres existantes) étaient d’excellente facture (voir ci-dessous). Un oncle et une tante à moi possédaient dans leur collection un très beau « vrai » van Meegeren (signé de lui !).
Je ne saisis pas très bien.
Si ce tableau représente un tableau peint à la manière de Vermeer et signé Van Meegeren, c’est loin d’en faire un Vermeer.
Bonne facture je veux bien mais non acquittée.
🙂
Par contre le tableau de l’article du Washington Post, « la demoiselle à la flute », malgré la faiblesse de la main tenant l’instrument, le flou de la tenture du fond, la main droite … est probablement un vrai Vermeer.
L’humanité qui se dégage du visage penché de 3/4 est CHOSE D’EXCEPTION.
Mais j’ai un défaut, je m’avance toujours trop devant, je suis un imprudent.
Un vrai Vermeer, mais inachevé ?
@Ermisse
Se pose alors la question de qu’est-ce qu’un tableau inachevé.
Bonnard allait retoucher de ses tableaux accrochés dans des musées … estimant que, ben ma foi, ils n’étaient pas fini.
Pour « la demoiselle à le flute », il faudrait connaitre avec précisions la genèse du tableau, la période du peintre au jour le jour lorsqu’il travaillait sur cette peinture… toute une série d’informations sur son quotidien, une enquête quasi policière.
Je suis démuni sur ces sujets là… et ne peux répondre à cette question d’inachèvement.
Ma conviction de lui attribuer la paternité Vermeer est de l’ordre de « l’émotion artistique ».
Ou une « tronie » : une étude de « trogne », le tableau est sur panneau et petit, 20 x 17,8cm. On ne fait pas ça pour devenir riche.
Ce faussaire n’a pas respecté l’expression authentique, ce n’est pas du 17ième siécle, mais du 20ième. Ca frappe au premier regard. Par contre techniquement il était au point.
J’ai lu l’article en question (traduction DeepL) et les arguments m’ont paru convainquant.
Si apprenais que le tableau « la jeune fille à la perle » n’est pas de la main de Wermeer, je ne pense pas que je le trouverais moins beau.
Finalement jusqu’à quel point la paternité d’une œuvre nous importe à nous simples spectateurs ? Mais on devine l’importance du sujet pour le marché de l’art, que se soit en salle des ventes ou en fréquentation des musées.
Une autre polémique, au sujet de Van Gogh:
https://www.lalibre.be/culture/arts/2016/11/15/le-choc-de-65-dessins-inedits-de-van-gogh-P4Q34ZVGPBFDNNK65RQMUH6NFA/
Ça ne ressemble même pas à du van Gogh. Des tas de maladresses dans ces croquis, qui pourraient s’expliquer encore à l’époque où il est l’élève d’Anton Mauve (1881), mais pas quand il est à Saint-Rémy (1889), un an avant sa mort.
C’est aussi ce que je me suis dit à l’époque.
Il est curieux qu’on s’intéresse plus à la signature qu’à l’oeuvre.
Vous ne signez jamais vos chèques Hadrien ?
Piqûre de rappel : Picasso, le 22 août 2017
Success story-telling 2015 – 130×70 cm – cadre en bois, peinture à l’huile et acrylique sur toile.
Ce n’est pas parce que l’on produit un chef d’œuvre qu’il se vend. En fait, pour se vendre, une peinture doit respecter la règle des trois S (« the Three S rule ») : « Subject, Style, Signature ».
Règle des 3 S :
1. Sujet : on choisira un sujet simple qui ne soit ni choquant, ni critique, ni provoquant … et qui sera agréable à contempler dans un intérieur urbain. Par exemple un paysage de campagne conviendra parfaitement.
2. Style : il faut choisir un style facilement reconnaissable par le public et qui lui plait : comme on constate que les expositions les plus fréquentées sont celles qui concernent les impressionnistes, cette technique et ce style sont donc à privilégier.
3. Signature : la signature doit être bien visible et bien lisible car c’est finalement l’élément déterminant la valeur et le désir d’acheter un tableau. Attention : les signatures du type « Renoir », ou « Dali », sont nettement plus attractives que les signatures du type « Martin » ou « Dupont ».
Afin de tester la pertinence du protocole celui-ci a été testé sur eBay avec l’annonce suivante : ARTSPECULATION : PEINTURE ORIGINALE – PAYSAGE IMPRESSIONNISTE SIGNE PICASSO
N.B. : La recette ne fonctionne évidemment que si l’on y croit.
Tableau de Ben (né en 1935). Au moins il annonce la couleur.
https://www.artprecium.com/images/photos/14/53705f02335bb.jpg
Picasso dessinait souvent sur les nappes des tables au restaurant où il descendait.
Ensuite les nappes en papier vivaient leur vie, soit elles disparaissaient soit elles étaient mises de côté.
J’ai connu deux personnes qui ont récupérer des nappes en papier avec des dessins de Picasso.
L’un a fait encadré le dessin pour l’accrocher au mur, l’autre a voulu rendre visite à Picasso pour le faire signé … et ça lui a couté bonbon.
Le peintre ayant jugé que la démarche méritait sanction.
A vous de juger.
@Hervey
J’ai toujours jugé que Picasso était un escroc a tous les points de vue 😉
Cher arkao, dans l’anecdote 2 rapportée, je lui donne raison.
Avoir un dessin gratuitement, et aller demander qu’il soit signé, je trouve ça gonflé ou niais. Puis le peintre était peut-être de mauvais poil ce jour là et s’est permis d’appliquer le tarif en vigueur (?).
Mais il y a d’autres exemples comme cet homme qui vient lui demander de signer une toile. Picasso lui dit qu’il n’est pas l’auteur du tableau mais le signe tout de même …
Quelque chose me dit que ça ne va vous plaire.
Bonne soirée tout de même.
Cher Hervey, dans l’anecdote n°2 on peut lui donner raison mais c’est aussi la conséquence de la notoriété et de la marchandisation de son travail qu’il a lui même orchestré en tapinant où il fallait aux bons moments.
Bon, il se trouve que je n’ai jamais éprouvé aucune émotion en regardant ses œuvres, ce qui n’aide pas à un jugement compatissant envers l’auteur.
Bonne soirée à vous aussi, en espérant que demain nous ne soyons pas vitrifiés par les maboules qui dirigent cette planète.
😉
La « Jeune fille à la flûte » a-t-elle pris sa flûte pour un pinceau, ou serait-ce là un indice pour découvrir qui est le véritable auteur de ce tableau ?
Il se trouve que les pinceaux à flûte (brosses plates), ça existe ! On dit même qu’ils sont très confortables dans la main. Cette flûte ne doit donc pas être considérée comme un simple objet. Car l’instrument du musicien tout comme le pinceau du peintre apparaissent comme un seul élément susceptible de distinguer deux mondes. François Icher (les outils du compagnon) : « d’un côté, le monde profane où l’outil n’est qu’un objet parmi tant d’autres, où l’ouvrier exécute une tâche (le fameux tâcheron) sans véritablement la penser, utilisant les outils mis à sa disposition par son employeur, sans chercher à en maîtriser toutes les subtilités. De l’autre, le monde des ouvriers initiés – les compagnons – qui pensent leur ouvrage avant de l’exécuter et qui, contrairement au tâcheron, accordent à leurs outils une dimension, une valeur et un regard particuliers. »
Outil tu es le symbole de nos corps maladroits
Qui peuvent tout détruire, ou faire des exploits
Suivant ce que décide l’esprit qui te maîtrise
L’œuvre devient chef-d’œuvre et l’homme créateur !
Or, il est justement précisé dans l’article en pièce jointe, qu’on a trouvé des fragments de poils dans les couches superficielles du tableau, « ce qui laisse penser que l’artiste a utilisé un vieux pinceau ou un pinceau de mauvaise qualité ». Ce qui ne pourrait arriver avec « un artiste expérimenté », et qui « saurait comment mélanger ses pigments pour que cela ne se produise pas ». En effet, les poils des brosses s’accrochent parfois aux bavures ou sur des surfaces rugueuses… Par ailleurs, d’après un vieux proverbe, on dit que les bons outils font les bons ouvriers ; l’homme de métier averti aimant posséder son propre outillage de travail, sachant mieux que quiconque que la qualité de son ouvrage en dépend beaucoup.
Alors, comment retrouver la piste de qui était cet artiste, associé, peut-être étudiant, apprenti en formation ou amateur qui avait accès à l’atelier et utilisait beaucoup des mêmes matériaux que le Maître de Delft ?
Comme on sait fort peu de choses sur la vie de Johannes Vermeer, contentons-nous alors d’observer d’un peu plus près ces deux minuscules tableaux peints sur bois, (ce qui est unique dans l’œuvre du peintre) : la « Jeune fille au chapeau rouge », œuvre désignée comme la plus proche de la « Jeune fille à la flûte », et reconnue enfin comme une œuvre authentique, selon les dernières analyses picturales des chercheurs de la National Gallery of Art.
En fin de compte, ils ont constaté que l’application de la peinture sur la « Fille à la flûte » était relativement maladroite et grossière en raison principalement d’une inversion dans la manipulation des couches picturales : « Au lieu d’utiliser des pigments grossièrement moulus dans les sous-couches et des pigments finement moulus pour les couches finales (comme Vermeer), celui qui a peint la « Fille à la flûte » a fait le contraire, donnant à la surface une qualité granuleuse. » Cependant, d’autres spécialistes, dont notamment Albert Blankert, ont observé que « les positions du dossier de la chaise et de la « Jeune fille au chapeau rouge » paraissent incompatibles : les têtes de lion sont, au XVIIe siècle, toujours tournées vers l’intérieur du fauteuil. » Or une telle fantaisie, nous dit Blankert, et comme nous le rapporte le critique d’art Olivier Cena, est impensable à cette époque où les artistes comme Vermeer cherchent « un grand souci de cohérence spatiale et d’exactitude dans la représentation de l’action ». Donc, cela remettrait plutôt en cause l’authenticité de la « Jeune fille au chapeau rouge », et non point celle de la « Fille à la flûte ».
https://upload.wikimedia.org/wikipedia/commons/a/a3/Vermeer_-_Girl_with_a_Red_Hat.JPG
À moins que…
Et si le « sphinx de Delft » se jouait de nous, avec finesse ?
Et si cette inversion était intentionnelle, avec une signification symbolique et cachée ?
De plus, ce ne serait pas la première fois que Vermeer remettrait délibérément en question ses réalisations antérieures, jouant sur le côté « négatif » de leurs conceptions, en relation avec d’autres aspirations profondes.
Enfin, Vermeer ou pas Vermeer, qui demain mangera son chapeau ?
Une flûte ? Un pinceau ? … Des baguettes, vu son chapeau.😂
Vous blaguez mais je vois deux cylindres au-dessus de la main, un seul en-dessous.
« Est-ce que le schmilblick est-il … ? »
Une IA ne s’y tromperait pas : elle lirait dans les deux regards, la patte « Vermeer », même si ces deux « études de trognes » (à usage privé essentiellement pour le peintre) sont bâclées. Par ailleurs, un copieur n’inventerait pas ces deux couvre-chefs invraisemblables : il s’efforcerait d’être discret – comme le fut van Meegeren.
P.S. C’est d’ailleurs la même femme dans les deux (flûte et chapeau rouge), non ?
On dirait bien.
Oui.
De plus ce visage et ce regard sont pour moi chargés d’histoires car ils ressemblent étrangement à une personne du cercle familial qui a vécu une vie où se sont côtoyés le tragique, le banal et le pas de chance.
Si j’étais écrivain j’aurais toutes les raisons de m’engager dans une fiction habitée par cette personne qui nous regarde et cette cousine.
C’est vrai ce que dites. L’histoire du fauteuil retourné m’a frappé aussi. Mais peut-être était-elle accoudée sur haut du siége. Mais bizarre quant même. Vermeer était un perfectionniste et esthète sans compromis. Il s’est néanmoins permis quelques caprices: il a peint des étoffes en lapis-lazuli (outremer naturel), chose impossible en réalité, ce pigment valait de l’or.
La réalité dît que le tableau à été peint.
Quel importance de savoir par qui ?
Serait il plus beau signé de la main de Weermer que d’un autre ?
Ou bien est-ce une question spéculative sur sa valeur pécuniaire ?
Encore une question d’identité ! Quand je vous dis que ça nous magne.😂
En fait, on sait bien que ce tableau n’est pas de Weermer. Il est d’un autre mec qui s’appelle aussi Weermer.
Il y a des familles dans lesquelles plusieurs personnes exercent le même « métier » de peintre. Le prénom peut les différencier ou bien ils peuvent changer de nom.
Un faussaire qui fait bien les choses se préoccupe autant des documents qui accompagnent l’oeuvre et sont censés en établir la provenance que de l’œuvre elle-même.
Une solution à ce problème et qui semble avoir bien fonctionné à plusieurs occasions est d’obtenir la coopération de l’artiste ou de ses ayants droit.
Dans l’antiquité il n’y avait apparemment pas de problème à copier les oeuvres les plus appréciées d’artistes célèbres qui constituent maintenant il me semble l’essentiel des statues qu’on peut voir dans les musées.
Je ne suis pas sur d’avoir tout compris à propos des explications telles que « Les jetons non fongibles sont utilisés pour attester une forme de rareté, représenter une forme de propriété symbolique et en faire un actif, et permettre l’interopérabilité de ces actifs sur diverses plates-formes » mais ce que je comprends c’est qu’au lieu de vous vendre une oeuvre d’art (qui peut être copiée) on vous vend une attestation (NFT) en prétendant qu’elle est beaucoup mieux sécurisée.
L’authenticité de ce tableau est discuté depuis des décennies. On ne le sait, on y n’était pas. On peut juste en rajouter que même les grands peintres ont fait des tableaux moins réussis; généralement les oeuvres de Vermeer sont d’une parfaite exécution. Les grands peintres flamands de cette époque étaient à la fois des philosophes et des penseurs.
Vermeer n’était pas Flamand mais Hollandais : « Vermeer de Delft », Delft entre Rotterdam et La Haye.
Marcel Proust a défini La Vue de Delft dans une lettre à son ami Jean-Louis Vaudoyer comme « le plus beau tableau du monde ». Il décrit le tableau dans le cinquième tome de son roman À la recherche du temps perdu, La Prisonnière, après l’avoir lui-même découvert au Jeu de Paume, à Paris, en 1921. Dans son roman, il met en scène la découverte de la toile par Bergotte en ces termes :
« Il remarqua pour la première fois des petits personnages en bleu, que le sable était rose, et enfin la précieuse matière du tout petit pan de mur jaune. Ses étourdissements augmentaient ; il attachait son regard, comme un enfant à un papillon jaune qu’il veut saisir, au précieux petit pan de mur. « C’est ainsi que j’aurais dû écrire, disait-il. Mes derniers livres sont trop secs, il aurait fallu passer plusieurs couches de couleur, rendre ma phrase en elle-même précieuse, comme ce petit pan de mur jaune »»
https://fr.wikipedia.org/wiki/Vue_de_Delft
Veuillez aussi regarder attentivement la présence des nuages, le bleu du ciel, le tout occupant une place considérable dans la composition du tableau.
Ici le temps s’est arrêté.
Des résonances chez Proust.
Ah, le fameux pan de mur jaune soleil.
Je suis plus émoustillé par les petites touches de peinture blanche sur les lèvres de ses jeunes femmes signifiant qu’elles sont humides en plus d’être entrouvertes. D’un érotisme torride pour l’époque.
Une démo de l’appli qui peut faire ça ou presque.
infographie Midjourney, Dalle e, Stable diffusion
Le nombre de tableaux de Vermeer ne cesse de décroitre au rythme des avancées de la science.
Cela a permis également le nettoyage complet de la Liseuse dont le fond uni est maintenant présenté tel que Vermeer l’avait peint, c’est à dire avec un tableau accroché au mur sur le fond.
D’après les restaurateurs, ce serait l’œuvre des marchands d’avoir repeint ce fond uni, plus vendeur certainement et d’une lecture plus aisée.
L’association pour le respect et l’intégrité du patrimoine artistique (ARIPA) a soulevé à plusieurs reprises le problème que pose la restauration intrusive. D’un coté, la science permet une lecture d’une précision incroyable, découvrant ainsi plus de 385 couches de glacis sur un tableau de Léonard de Vinci, mais le décapage des vernis au coton tige avec un produit dont j’ai oublié le nom, ne peut garantir qu’en ôtant les vernis (le premier très dur, puis plusieurs mois plus tard un second vernis plus tendre qui puisse être changé en cas de salissures) le restaurateur n’entame pas également les glacis dont l’utilité était une harmonisation et une atténuation des teintes parfois très fortes et surtout peu nombreuses à l’époque.
Difficile de juger entre la réalité d’une époque lointaine car personne n’a vu le tableau tel qu’il a été livré et la patine du temps.
@Hervey Addiction ! Vous y allez peut-être un peu fort, non ? 😉 En fait, dans un premier temps, je…
Ce photon a une tronche de citron !
par Fock (https://fr.wikipedia.org/wiki/Espace_de_Fock), si on dit qu’il n’y a qu’un et un seul photon, il n’a point de phase, tant…
Oups : lire « Thétis »
« C’est beaucoup plus économique ! On n’a pas besoin de mettre des milliards de dollars » dites-vous à la 3ème…
Pascal Suivez le conseil de Paul : « Mettez des bottes » (de sept lieues) ! C’est à 36 enjambées de chez…
» Le comportement violent, agressif et dangereux de Poutine – non seulement envers l’Ukraine mais aussi envers l’Occident et l’ordre…
» L’assouplissement public de la doctrine nucléaire russe par Poutine , qui permet désormais hypothétiquement à Moscou de détruire un…
@François M C’est effectivement une gesticulation, en espérant que la chorégraphie soit comprise. Il ne semble pas que la logique…
@ François M « L’OTAN n’intervient pas en Ukraine. » Toute l’aide, toutes les armes et beaucoup de conseillers militaires occidentaux…
Allemagne Aristote BCE Bourse Brexit capitalisme ChatGPT Chine Confinement Coronavirus Covid-19 dette dette publique Donald Trump Emmanuel Macron Espagne Etats-Unis Europe extinction du genre humain FMI France Grands Modèles de Langage Grèce intelligence artificielle interdiction des paris sur les fluctuations de prix Italie Japon Joe Biden John Maynard Keynes Karl Marx pandémie Portugal psychanalyse robotisation Royaume-Uni Russie réchauffement climatique Réfugiés spéculation Thomas Piketty Ukraine ultralibéralisme Vladimir Poutine zone euro « Le dernier qui s'en va éteint la lumière »
Laisser un commentaire