@Pascal (suite) Mon intérêt pour la renormalisation est venu de la lecture d’un début d’article d’Alain Connes*, où le « moi »…
*Godot est mort !*
… et la technologie dans tout ça …
… eh bien … elle accélère les impacts !
Dans le secteur minier avec Aurore Stephant
https://www.youtube.com/watch?v=i8RMX8ODWQs
N’ayant construit que des chateaux de sable, j’avoue néanmoins, qu’il est rassurant de deviner que l’extrême droite néo-fasciste n’a pas pollué les bâtisseurs de l’avenir. Bravo les Archi(s) !
Formidable !
J’adore les jeunes, il y en a toujours eu autour de moi avec mes filles puis avec mon petit dernier qui aurait pu être le fils de mes filles. Mes maisons étaient des maison des jeunes et de + internationales, génial ! Ils m’ont appris bien plus de choses que la littérature sachante ou nombriliste.
Ils sont de + en + intelligents, et pas comme une IA ! Oh non ! Bien plus malins !
S’en moquent de savoir, ils n’aiment que comprendre. Je me reconnais en eux au moins pour ça (qui suis ainsi depuis des lustres) mais ils comprennent bien plus vite que moi et plus intelligemment ; je ne suis pas jeune donc je reste encore un peu coincée dans quelques vieilles habitudes conventionnelles inculquées à coups de baton (c’est une image) .
Ils ne sont pas comme certains bouffis de suffisance : « posez question, moi savoir, hugh »
Ils se moquent des codes imposés qui formatent, ils créent les leurs, ils peuvent en changer au gré de leurs besoins.
Aussi ils sont détestés par les vieux grincheux convaincus de leur grand savoir figé dans le temps, loin derrière, parce qu’ils se sentent devenus inutiles.
Dommage pour eux ! Si ces derniers échangeaient avec des jeunes en toute simplicité (comme le fait Paul Jorion), leur savoir ne serait plus inutile mais précieux.
Et ils resteraient jeunes ! Tant pis pour les rhumatismes, ils en deviendraient moins douloureux.
Les jeunes pour la plupart ne sont pas si ingrats qu’il n’y paraît, quand bien même ils ne se lèvent pas spontanément dans un tram pour laisser une place assise aux anciens : il suffit de leur demander gentiment et ils se lèvent sans problème avec le sourire (bon hélas il y a aussi des cons de part et d’autre, comme il y en a toujours eu, mais quant aux jeunes bcp moins me semble-t-il, j’ai tjrs eu une place quand j’ai été très mal en point)
Au hasard, allez, un autre exemple (il y en a plein, plouf plouf) :
https://www.youtube.com/watch?v=yZHdIpDazJQ
(bon, je n’ai écouté que le début et un peu d’une oreille plus distraite tout en écrivant ; il dit peut être ce que d’autres jugerons conneries, à tort ou à raison, peu importe)
Ha oui les jeunes – c’est pas comme si ça avait pas existé avant hein 🙄 – les jeunes ils sont formidables car d’abord ils sont pleins de vie, sont pas usés, pas cyniques, sont gentils mais pas conformistes, sont tolérants, sont intelligents, sont optimistes, sont créatifs, sont libres….bon puis à un moment et là c’est dommage quand même, ils vieillissent – heureusement d’autres jeunes les remplacent et on peut redevenir optimiste 😁
naroic
réponse tardive
Vous remarquerez dans l’histoire que ce sont nombreux « jeunes » (célèbres et/ou riches certes) qui ont amenés progrès. Ecoutant vieux Sages instruits pour s’inspirer de leurs préceptes. Certes quand bien même comme Alexandre le Grand ils ont été ce qu’on dirait aujourd’hui « criminels de guerre ».
Faut reconnaître que depuis un moment déjà il n’y a plus bcp de vieux Sages qui enseignent. Les études sont majoritairement technologiques (maths et sciences à l’honneur) ou commercial, droit, finance, management etc pour les accompagner.
Et quand on a comme philosophe star BHL il y a de quoi pleurer (après un bon coup de rigolade)
Alors les jeunes d’aujourd’hui sont philosophes comme ils peuvent…. Et ne s’en sortent pas si mal avec si peu de moyens (et d’instruction)
L’enquête
La désertion est-elle un privilège de classe ?
Il y a quelques semaines, les discours d’étudiants d’une grande école d’ingénieurs agronomes, déclarant ne pas vouloir suivre la voie royale qui leur été tracée, ont eu un grand retentissement. La revue Frustration juge que « si la désertion d’une petite frange de nos élites est un événement, elle masque trop souvent la désertion d’en bas, moins flamboyante mais parfois plus héroïque, des membres de la classe laborieuse », et donne la parole à des « démissionnaires d’en bas (…), de la restauration à l’informatique en passant par l’Éducation nationale ou l’associatif ». Yann, par exemple a quitté plusieurs emplois successifs, dans la manutention puis le bâtiment « à cause de la violence généralisée ». Pour lui, le problème venait tout autant de hiérarchies « maltraitantes » que de l’ambiance générale entretenue au sein des entreprises qu’il a connues, rapporte Frustration : « L’ambiance “stupidement viriliste” au travail ne lui convenait pas et il n’a pas trouvé de possibilités d’améliorer les choses » (accès libre). Politis , qui consacre son dossier d’été à ces jeunes qui bifurquent, se demande aussi si « changer de voie » est « un privilège de classe ». Car « les cadres et les hauts diplômés ont bien plus de possibilités de « bifurquer » pour des raisons éthiques ou de sens du travail que les catégories populaires, qui le font davantage par contrainte » (accès sur abonnement).
Ceci est une citation de la « Newsletter des Médias libres » que Basta me transmets chaque semaine. Je vous mets les liens des deux articles cités et de la newsletter, que je recommande :
https://www.frustrationmagazine.fr/enquete-desertion/
https://www.politis.fr/articles/2022/07/changer-de-voie-un-privilege-de-classe-44700/
https://portail.basta.media/forets-en-feu-privilege-de-la-desertion-l-ecologie-en-champs-de-mines
@Chabian
Finalement j’ai été un précurseur en refusant de travailler pour le nucléaire et le BTP dans les années 1980!
Je m’auto congratule 😘😘😘😘
Bon maintenant j’en bave parce que j’ai une pension riquiqui riquiqui mais c’est pas grave mon nom 🦤🦤🦤🦤 sera inscrit au panthéon de ceux qui ont dit non ! 😂🤣😂🤣😂🤣
L’autre jour un blogger demandait de dire ce qu’on faisait pour la planète , bin voilà c’est fait .
Bravo !
oh je n’ai aucun mérite , j’ai juste écouté autour de moi des personnes qui « sentaient » que nous étions dans la mauvaise voie ; que voulez vous quand on a fricoté avec des personnages comme Claude Marti (chanteur Carcassonnais) des activistes du Larzac et j’en oublie je me demande ce que je suis allé faire dans ces études .
Khanard (message personnel )
J’ai connu C. Marti ! fin 90, grâce à une amie. Mais surtout connu début 70, un de ses amis (Norbert) qui m’a appris bcp sur les origines de l’occitan. C’est peut-être depuis que je m’intéresse tant aux « origines » de…. autant qu’il m’est possible, lol. C.Marti devait être dans la bande, mais je ne le connaissais pas directement. Puis repartie par monts et par vaux. Très chouet souvenir jamais oublié.
sans entrer dans nos vies privées respectives le nom que vous affichez -Subias- ne m’est pas inconnu . j’ai eu un grand copain qui s’appelait Alain Subias , fils d’un entrepreneur du bâtiment. Si ça se trouve nous nous sommes croisés lors d’un des concerts de Claude. Originaire de L’Aude mon dada ce sont les Cathares , l’occitan etc….
Khanard Bingo !
Un très bon ami de ma profession, styliste très doué qui a fait le renom d’une marque de jean’s italienne (avant son arrivée connue uniquement en Italie) , lequel ami (jamais cité) les a rendu très riches jusqu’à l’international encore aujourd’hui, est retourné dans son ancien métier après avoir claqué la porte en 2000 ; sa première profession retrouvée ? maçon. Et rares les cultivés dans le milieu du jean’s : lui était passionné par les Cathares et sa passion débordait sur moi.
Comme quoi….
Congratulations, Je n’ai été qu’un pauvre militant anti-nucléaire vers 76 et après. Et fait venir en conférence Paul Lannoye, physicien, qui vient de nous quitter et qui fonda la branche belge des amis de la Terre et le parti Ecolo. Mais si tout cela a pu aider à la démarche de gens comme vous… j’en serais congratulé indirectement !
Je me disais mercredi que si je devais faire la liste de ce que je ne fais pas pour la planète, ces mauvais « compromis », elle serait longue ! Et cela m’incite à agir : couper la box dès que possible, rouler moins vite en auto et apprendre à bientôt s’en passer (j’ai échoué), changer mon vieux frigo (il était en tête de liste, il est livré demain), etc…
Le ¨Panthéon de ceux qui ont dit non » : chouette idée !
voir réponse à Jacqueline
Enfin!!
C’est très rare d’entendre des architectes tenir des propos impertinents et sans concessions, en rupture avec l’Ordre.
Bravo à Versailles!
Mais qu’attendent les autres écoles pour se faire entendre?
Les grandes écoles doivent poursuivre ce mouvement dans tout les domaines. Il faut continuer à critiquer la logique d’un système devenu moribond et ce à tout les niveaux.
Non non Runy. Tout dépend où on se met pour les écouter. Ayant la chance d’habiter un centre historique où tous les jeunes de tous horizons viennent consommer en terrasse, dont de jeunes futurs architectes (ENSA.) en tendant un peu l’oreille j’entends des conversations et débats formidables qui me réjouissent (ils ne refusent même pas que inconnu(e) participe au débat) ; ils ne cherchent pas à être discrets, ils sont sans complexe, tout le monde qui consomme près d’eux peut les écouter, no problem. Et cela doit être ainsi partout où il y a des écoles prépa archi ou d’architecture (comme tous autres étudiants en d’autres formations).
Par contre sur internet, où il y a tant de fouilli, il faut les chercher mais ils se trouvent.
Je suis architecte. Pendant mes études, si l’intelligence des étudiants était palpable, les problématiques environnementales commençaient à peine leur diffusion de manière marginale.
Le corporatisme ne laissait pas de place à la critique. Il y avait encore de nombreuse années sans insouciance. Pour les autres, dont je faisais partie, il fallait s’accrocher et se conformer pour pratiquer.
Le racisme que ne me met pas au niveau sexisme étaient tout deux présents. Dans de nombreuses agences, le racisme est réel. Le sexisme, un trait de caractère…
Runy
« Le corporatisme ne laissait pas de place à la critique. »
Est-ce ce qui a permis la construction des maisons préfabriquées peu chères mais très mal faites (de vraies passoires) à partir des années soixantes ? Ainsi que des immeubles &maisons identiques par milliers sur des km et km enlevés à l’agriculture (variée) aux abords des grandes villes ?
Certes il est vrai qu’il y avait encore bcp de bidonvilles et que la reconstruction d’après guerre a duré très lgtps, puis il fallait accueillir les rapatriés d’Agérie.
Mais pourquoi avoir continué ensuite ces « villes champignons » sans âmes « vite fait mal fait » ? Pour construire plein de maisons (même chères) pour plein de rabais et le prix d’un seul architecte ?
Construire construire construire pour le bohneur des promoteurs avides de mêche à coups de pots-de-vin juteux avec plusieurs élus. Ce qui ensuite est devenu de la spéculation qui fait monter monter monter les prix de l’immobilier jusqu’à des montants immondes et non justifiés qui mettent tant de gens sur la paille ( « subprimes » partout).
je crois me souvenir qu’on appelait cela les maisons « Chalandon » https://fr.wikipedia.org/wiki/Albin_Chalandon
en aparté j’aime bien la nouvelle police d’écriture des commentaires
Les politiques!!
Ils se cachent derrière les architectes (simple exécutant, mais il faut reconnaître qu’ils ont vendu leurs âmes et celles des générations futures sur l’autel de la construction bon marché pour tous à la période que vous évoqué).
Mais derrière l’architecte il y a toujours une volonté politique, qui d’autre voudriez vous que ce soit? Les politiques et leurs amis (promoteurs, banquiers, groupes industriels), le cahier des charges est écrit par les promoteurs et non par les architectes, les coûts d’investissement par les banquier,…. Aujourd’hui la pratique de l’architecture relève du miracle, les grands groupes souhaitent prendre ce dernier bastion: la qualité des espaces produits… c’est ça qu’ils veulent. Pour cela il faut que d’autres architecte vendent à nouveau leurs âmes. Pas sûr que le métier résiste.
J’ajoute, et tant de maisons § immeubles anciens qu’on a laissé croupir jusqu’à la ruine qui auraient pu être restaurés. Certes cela coûte bien plus cher que la construction rapide à répétitions, et dans l’urgence des années 60 ce n’était pas possible. Mais ensuite, c’était possible même si moins rentable donc plus coûteux, mais bien moins cher que le coût de la spéculation.
Aujourd’hui dans les villes ou leurs abords ceux qui les restaurent à grand frais le font pour la plupart pour en faire des maisons d’hôtes pour touristes aisés au plus haut prix qui ne résolvent pas les problèmes de mal-logement. Et les quartiers populaires des centres villes se transforment en zones chics pour riches investisseurs qui louent à prix dépassant l’entendement de petits appartements ou échoppes ou garages dans de vieux immeubles à peine remis en état par non architectes, ou « bon état factice » avec trompe-couillons pour cacher moisissures et termites. Quand ce n’est pas pour du airbnb qui rapporte plus aux investisseurs parce que les impôts sont bien moins chers que pour les hôtels.
Alors les fauchés, on les relègue loin de la vue, loin des touristes (ils font « sales »), dans des cités dortoirs pas chères où les petits enfants deviennent des guetteurs.
Quel milieu pourri !
J’ajoute brièvement :
Je trouve que le monde du savoir associé au pouvoir est devenu vulgaire. Pas à cause des jeunes qui ne le sont pas du tout, malgré leurs tenues débraillées ou excentriques et leur aisance naturelle à s’exprimer.
Je veux parler de ceux qui exploitent ces jeunes et leur intelligence pour se faire encore plus de fric, ces Silicon Valley and co, sans scrupule de broyer cette jeunesse enthousiaste et intelligente voire de la rendre aussi vulgaire qu’eux.
C’est ce qui me met le plus en colère.
@Jacqueline
Quand on a pressé le citron, faut jeter la peau. Un grand principe néolibérale !
Hélas, je suis bien d’accord Pascal. Et je le constate depuis longtemps.
« J’en suis encore à m’demander
Après tant et tant d’années
A quoi ça sert de vivre et tout
A quoi ça sert en bref d’être né »
Merci Sandor
Je ne connaissais pas cette version, seulement celle récente de Léotard
https://www.youtube.com/watch?v=9fpljZF_WEI
Pour revenir au sujet du billet, avec l’évolution climatique, l’europe aura peut-être intérêt à regarder de plus près ce qu’il y a à apprendre de l’architecture africain notemment en matière de bioclimatisme :
https://www.alvaroruizarquitectura.com/architecture-et-adaptation-climatique-lenvironnement-les-batiments-bioclimatiques-n-32-fr
Ah, ils sont allés étudier L’ARCHITECTURE à VERSAILLES et ont l’air surpris de pas avoir eu un UV sur les yourtes ou les constructions en terre crue…
Vu d’ici c’est un peu comique…
Mais c’est bien oui, de rappeler aux diplodocus ce qu’ils sont.
Un grand principe de l’architecture anté-moderne c’est d’utiliser les matériaux locaux par soucis d’économie. Voir le château de Guédelon (https://www.guedelon.fr).
Oui, je sais Arkao, sauf quand on est très riche comme à Versailles où les matériaux viennent des 4 coins de la France 😉.
Avec le modernisme technologique, faut afficher un max de matériaux technologiques, voire intelligentsur (https://fr.m.wikipedia.org/wiki/Matériau_intelligent). Alors pour sûr, les yourtes, l’adobe de terre crue et la botte de paille, vue de Versailles, ça a un petit goût révolutionnaire, voire sans culotte !😁
Pascal
Concernant les matériaux locaux, je me souviens de jeunes architectes , je crois aux Pays Bas et dans les années fin 90 ou 2000 (à confirmer ou corriger) qui ont construit des logements étudiants (qui manquaient énormément) avec des conteneurs « locaux » entrain de pourrir et déversant de la rouille abondante.
Ils les ont décapés, assainis, supperposés, organisés remarquablement pour en faire un bloc architectural formidable plein de couleurs , et biensûr isolés, étanchéisés, le plus écologiquement possible.
Bravo les artistes !
@Jacqueline Subias
Plusieurs expériences de logements en containers recyclés, aux bilans très contrastés et équivoques:
http://geoconfluences.ens-lyon.fr/actualites/veille/breves/habiter-dans-un-conteneur
arkao
On peut aussi dire que les tout premiers de ces jeunes archi que j’ai évoqué étaient bien fait, on peut le supposer, d’où le fait qu’ils aient créé tant d’angouements et que les CROUSS et autres en ont demandé.
Mais j’ai évoqué il y a quelques billets en arrière le problème des appels d’offres au moindre coût qui font que des entrepreneurs trichent par des malfaçons sans graves conséquences, hors normes imposées, pour s’en sortir (pas forcément pour s’enrichir comme promoteurs peu scrupuleux) ou pour les moins honnêtes par malfaçons des normes imposées mais invérifiables (type plomberie) qui causent vite de gros dégats.
En gros, en conteners ou en dur, c’est le même problème que pour les HLM (et pire, même problème pour les logements privatifs bien plus chers construits à la va vite de manière très rentable)
Bonjour Jacqueline,
« Ils les ont décapés, assainis, supperposés, ….isolés, étanchéisés, le plus écologiquement possible. »
Ils ont vraiment fait ça eux-mêmes avec leurs petits bras ?
Si oui, chapeau !
Je me souviens de ma grand-mère qui à 70 ans allait chercher de l’argile avec sa brouette (je devais avoir 7-8 ans), la mélangeait à de la paille et colmatait les trous que les rats avaient fait dans les murs en torchis de ses dépendances.
Elle ne faisait pas faire, elle faisait … ce n’est pas la même chose.
Cordialement
Pascal
« Ils ont vraiment fait ça eux-mêmes avec leurs petits bras ? »
Et pourquoi pas ? Avec plusieurs jeunes du bâtiment éventuellement….
Vous savez ma grand’mère maternelle très pauvre faisait cela aussi ! Ma mère aussi réparait, de par son éducation, alors que mon père était entrepreneur du BTP.
Moi aussi je le fais avec de la récup, mes enfants aussi… Et vous savez quoi ? Vous ne pouvez imaginer tous ceux qui font pareil bien que n’y connaissant rien parce que (vous ne le voyez peut-être pas ils savent se montrer dignes) ils sont tellement fauchés ! Des gens bien ! d’où qu’ils viennent qui un jour ont peut-être été riches mais pressés comme des citrons….
J’aime aussi beaucoup la démarche d’un architecte comme Shigeru Ban qui s’inscrit à la fois dans une volonté de construire de manière durable, puisque ses constructions sont à base de carton donc recyclable, avec un soucis esthétique japonais que j’aime beaucoup et aussi une démarche sociale.
https://www.youtube.com/watch?v=bggBAnuXC-I
Décidément je ne pensais pas devoir me dévoiler de la sorte : https://fr.wikipedia.org/wiki/Jacques_Ferrier
rassurez vous je ne suis pas Jacques mais nous avons usé nos fonds de culotte sur les mêmes bancs de l’école . Jacques, si tu nous lis je te bise .
Pascal
Shigeru Ban est un architecte bourré de talent. Les artistes « toute catégorie » japonais (dont architectes) sont très créatifs depuis des temps immémoriaux et ont la culture du perfectionnement. C’est pourquoi, quant à la créativité, nombreux stylistes vont s’inspirer au Japon (j’y suis allée souvent années 80 puis 91).
Pour la perfection, j’ai eu la chance de voir travailler sur mon lieu de travail en France le très talentueux modéliste de Yohji Yamamoto (pour des jean’s ! Pas de la haute couture!). Lequel ensuite a mangé un pot-au-feu chez moi avec mon équipe ; il ne parlait pas français, mon equipe et moi ne parlions pas japonais, mais pas besoin (ni besoin de l’anglais) : pour me signifier qu’il l’aimait, outre qu’il en a repris plusieurs fois, il me l’a assuré avec le rituel ancestral parfait des japonais par lequel ils s’expriment en se servant de leur corps et de leur visage, pour saluer, dire bonjour ou merci, montrer leur respect ou se soumettre, dire qu’ils aiment et à quel point etc. etc: Tous ces codes aussi parfaits que le théâtre No qui servent aux rapports humains pour éviter toute incompréhension et ambiguïté. C’est magnifique ! Ils peuvent se faire comprendre dans le monde entier sans ne parler aucune langue étrangère.
Pour le traditionel, j’ai mangé à Tokyo chez un ami professionnel dans sa maison aux techniques de fabrication ancestrale avec cloisons en papier comme on en voit par ex. dans des vieux films de Kurosawa Akira, entre autres.
Le Japon est confronté à de très nombreux séismes (j’ai moi-même ressenti l’effet d’un tout petit séisme, déjà très flippant) ce pourquoi ils ont dû depuis toujours utiliser des matériaux de construction très légers pour leur survie, et quoi de plus léger que le papier ? ****
Ils en sont devenus des inventeurs géniaux et en cela ils sont atypiques. J’ai envie de dire : inimitables dans leur sens de la perfection et donc de la qualité.
Tout ce que les Japonais font avec du papier et carton depuis toujours est impressionnant. Quelques fabricants de meubles s’en sont inspirés. Mais en architecture je ne sais pas, sauf en déco intérieure, beaucoup.
Comme tout créateur de moindre ou haute importance, en toute matière art ou design, les stylistes japonais vont s’inspirer à Paris, Londres, Milan, etc, et aux States, partout où chacun de toutes ces nationalités allons (allions?) pour nous inspirer et …. vice-versa (bizarre ? Vous avez dit bizarre?) mais ce qu’ils font des échantillons récoltés (« idées ») n’a plus rien à voir avec originaux.
C’est pour cela qu’ensuite on va (allait?) au Japon s’inspirer de ce qu’ on a fait devenu qui les a inspiré …
c’est ça la Culture, non ? Depuis des temps immémoriaux…. : Les échanges internationaux en vice-versa qui au lieu de détruire les « âmes » (qui font personnalités, spécificités) les enrichissent.
Mais sommes nous encore en Occident si cultivés ?
Pour les accros au fric les voyages coûtent cher ce qui diminue les bénéfices. Pour les écologistes ils polluent… Dilemme.
Et internet ne remplace pas le visu, le touché, le senti, l’écoute au sein de chaque pays… tout ce qui leur donne une âme propre et qui inspire.
Les occidentaux se sont standardisés, business oblige (mais moins les Anglais, ce qui pourrait peut-être expliquer le brexit)
Les Japonais manifestement sont toujours cultivés. Il n’y a qu’à voir dans les mangas…
**** Détail important pour tout architecte :
En ces temps torides de feux intensifs généralisés : papiers et cartons brûlent très très très vite…… à l’inverse du bois massif qui brûle lentement (ce qui peut sauver des vies.) Au Japon en revanche, les maisons traditionnelles avec cloisons en papier brûlent comme des torches. Et l’ami à Tokyo chez qui j’ai mangé a vu sa famille décimée brûlée vive en un rien de temps, suite à mini incendie accidentel. Ce qu’il a enduré ! Difficile à imaginer…
le texte complet est juste dessous
Pascal
Shigeru Ban est un architecte bourré de talent. Les artistes « toute catégorie » japonais (dont architectes) sont très créatifs depuis des temps immémoriaux et ont la culture du perfectionnement.
C’est pourquoi, quant à la créativité, nombreux stylistes vont s’inspirer au Japon (j’y suis allée souvent années 80 puis 91).
Pour la perfection, j’ai eu la chance de voir travailler sur mon lieu de travail en France le très talentueux modéliste de Yohji Yamamoto (pour des jean’s ! Pas de la haute couture!). Lequel ensuite a mangé un pot-au-feu chez moi avec mon équipe ; il ne parlait pas français, mon equipe et moi ne parlions pas japonais, mais pas besoin (ni besoin de l’anglais) : pour me signifier qu’il l’aimait, outre qu’il en a repris plusieurs fois, il me l’a assuré avec le rituel ancestral parfait des japonais par lequel ils s’expriment en se servant de leur corps et de leur visage, pour saluer, dire bonjour ou merci, montrer leur respect ou se soumettre, dire qu’ils aiment et à quel point etc. etc: Tous ces codes aussi parfaits que le théâtre No qui servent aux rapports humains pour éviter toute incompréhension et ambiguïté. C’est magnifique !
Ils peuvent se faire comprendre dans le monde entier sans ne parler aucune langue étrangère.
Pour le traditionel, j’ai mangé à Tokyo chez un ami professionnel dans sa maison aux techniques de fabrication ancestrales avec cloisons en papier comme on en voit par ex. dans des vieux films de Kurosawa Akira, entre autres.
Le Japon est confronté à de très nombreux séismes (j’ai moi-même ressenti l’effet d’un tout petit séisme, déjà très flippant) ce pourquoi ils ont dû depuis toujours utiliser des matériaux de construction très légers pour leur survie, et quoi de plus léger que le papier ? ****
Ils en sont devenus des inventeurs géniaux et en cela ils sont atypiques. J’ai envie de dire : inimitables dans leur sens de la perfection et donc de la qualité.
Tout ce que les Japonais font avec du papier et carton depuis toujours est impressionnant.
Quelques fabricants de meubles s’en sont inspirés.
Mais en architecture je ne sais pas, sauf en déco intérieure, beaucoup.
Comme tout créateur de moindre ou haute importance, en toute matière art ou design, les stylistes japonais vont s’inspirer à Paris, Londres, Milan, etc, et aux States, partout où chacun de toutes ces nationalités allons (allions?) pour nous inspirer et …. vice-versa (bizarre ? Vous avez dit bizarre?) mais ce qu’ils font des échantillons récoltés (« idées ») n’a plus rien à voir avec originaux.
C’est pour cela qu’ensuite on va (allait?) au Japon s’inspirer de ce qu’ on a fait devenu qui les a inspiré … C’est ça la Culture, non ? Depuis des temps immémoriaux…. : Les échanges internationaux en vice-versa qui au lieu de détruire les « âmes » (qui font personnalités, spécificités) les enrichissent.
Mais sommes nous encore en Occident si cultivés ? Pour les accros au fric les voyages coûtent cher ce qui diminue les bénéfices. Pour les écologistes ils polluent… Dilemme.
Et internet ne remplace pas le visu, le touché, le senti, l’écoute au sein de chaque pays… tout ce qui leur donne une âme propre et qui inspire. Les occidentaux se sont standardisés, business oblige (mais moins les Anglais, ce qui pourrait peut-être expliquer le brexit) Les Japonais manifestement sont toujours cultivés. Il n’y a qu’à voir dans les mangas…
**** Détail important pour tout architecte : En ces temps torides de feux intensifs généralisés : papiers et cartons brûlent très très très vite…… à l’inverse du bois massif qui brûle lentement (ce qui peut sauver des vies.) Au Japon en revanche, les maisons traditionnelles avec cloisons en papier brûlent comme des torches. Et l’ami à Tokyo chez qui j’ai mangé a vu sa famille décimée brûlée vive en un rien de temps, suite à mini incendie accidentel. Ce qu’il a enduré ! Difficile à imaginer…
Précision :
« L’ami à Tokyo chez qui j’ai mangé » est un Français ainsi que l’était sa famille. Lequel n’avait pas les gestes qu’il faut pour ce type d’accident : il a eu le réflexe des occidentaux dont les maisons sont en dur = sa femme est vite allée chercher leurs enfants qui dormaient dans leur chambre pour les faire sortir par la fenêtre, et lui par réflexe a accouru à l’extérieur pour les récupérer.
Il ne connaissait pas les gestes qui sauvent au Japon en telle circonstance, et a dû subir aussitôt après enquête policière très éprouvante.
S’il a habité dans cette maison, en pleine ville je précise, c’est parce que les Japonais ne cherchaient pas à y habiter (et les logements libres sont rares au Japon surpeuplé). Les Japonais qui vivent dans ces maisons sont dans les campagnes. Leur maison ancestrale est entourée de jardins magnifiques aménagés avec nombreux points d’eau. Pas fous !
Pour futurs architectes devant prévoir les nombreux incendits à venir :
Les « jardins magnifiques » japonais sont constitués par de grandes zones vides en sable et en cailloux artistiquement décorés, parsemés de dalles qu’on appelle « pas japonais » (à cause de la pluie sur le sable), décorés avec des statues de pierre et pas d’arbres dans les jardins (la vue boisée au loin suffit) si ce n’est des bonsaïs.
Cela parce que depuis des temps ancestraux avec l’expérience des séismes ils peuvent se protéger très efficacement du feu dû aux maisons avec papier brûlant comme des torches. Formidable ces japonais !
Et les occidentaux croient que c’est parce qu’ils sont zen… (ils se croient obligés de mettre des bouddhas dans leur jardin façon japonnaise).
Non non non ! Bien + que zen ! : logiques et pragmatiques !
Un athée, catho, protestant, musulman etc peut adapter la déco du jardin inspiration Japon selon ses choix et goûts……
L’inspiration n’est pas forcément de la copie.
(copie qu’ont tendance à faire texto les stylistes PAP occidentaux)
@Pascal
Oui c’est passionnant les matériaux de construction et leurs provenances.
Les riches n’ont jamais lésiné sur les coûts de transport, c’est ainsi que l’on trouve dans le nord de la France du marbre blanc provenant des Pyrénées dès l’Antiquité gallo-romaine.
Les objets de prestige voyagent aussi beaucoup comme les haches polies en jadéite des Alpes dès le cinquièmes millénaire avant JC.
https://neolithiqueblog.wordpress.com/2016/03/23/les-haches-alpines-objets-signes-au-5millenaire/
@Arkao
Je reste fasciné par l’architecture « primitive » (je ne sais pas si ça se dit) qui fait émerger d’un sol une trace humaine intelligente, pragmatique et qui reste inscrite dans la nature. Je me suis intéressé aux constructions des bergers dans les estives pyrénéennes, même rudimentaire, elles montrent l’intelligence pensée avec la nature.
http://www.pyrenees-parcnational.fr/fr/des-connaissances/le-patrimoine-culturel/patrimoine-bati/bati-pastoral
Dans des conditions extrèmes à l’époque, les constructions de pierres sèches sont parfois d’une finesse remarcable comme en Lozère.
https://www.youtube.com/watch?v=MNIzJTY9uF4
Sans idéaliser cette période où réussir à « passer l’hiver » prenait tout son sens, cette relation parfois violente à la nature était aussi faite de respect, loin de nos ambitions de performances et de prestige au mépris de la nature.
Pascal, Guédelon est un site touristique créé de toute pièce dans une forêt. Il est doté d’un parking qui doit faire le triple ou plus du chateau en construction et voies d’accès aménagées à cet effet.
En rapport le chateau de Versailles a un tout petit parking (face à l’école d’archi justement).
Et d’un espace marchand conséquent.
Je n’en dirai pas plus sur les conditions de travail et les types de contrats des petites mains qui font le boulot.
Je crois savoir que l’exploitation touristique du site, au moins à l’origine, n’avait d’autre but que de rendre viable un projet associatif pour le moins unique et assez fou.
https://www.lefigaro.fr/vox/politique/2018/11/23/31001-20181123ARTFIG00331–vivre-sans-subvention-c-est-possible-guedelon-en-temoigne.php
La volonté des concepteurs du projet était aussi de permettre dès le début de faire sur ce lieu de l’archéologie expérimentale qui aujourd’hui est validé par des instances comme l’INRAP.
https://www.inrap.fr/un-moulin-pour-guedelon-archeologie-experimentale-5343
C’est pas vraiment DisneyLand !
@Pascal
Je n’irai pas plus loin sur ce sujet sinon je vais encore passer pour le vieux grincheux de service 😉
@Arkao
J’étais un vieux bougon (peut être encore un peu des fois ) et puis j’ai réappris à sourire comme les enfants, pas encore comme les vrais bouddhistes. 😉 Ça donne une légèreté à la vie, très appréciable 😁.
@Hervey
Il me semble que comparer Guédelon à Versailles est tout à fait approprié pour faire la différence entre un projet associatif autofinancé à vocation culturel et un gouffre financier destiné au prestige de « la grandeur de la France » ! 😉
https://enseignants.lumni.fr/fiche-media/00000001829/le-chateau-de-versailles-en-chiffres.html
Versailles, le joujou des « grands » de ce monde !
Je sais, je ne respecte rien !
Il y avait des formations sur la construction en terre à Louvain-la-neuve, et à Grenoble (atelier à l’Isle d’Abeau. Déjà il y a quelques décennies…
Question matériaux locaux, il y a bien-sûr la paille.
A découvrir, la « Maison Feuillette » et tout l’activité autour de cette ancienne bâtisse:
« Cocher toutes les cases », ça s’écrit comment en écriture inclusive ? Ce discours entièrement fait de phrases déjà prononcées me donne le vertige. Est-ce Flaubert réincarné (celui du dictionnaire des idées reçues) qui a tenu la plume, ou un litteratron (brevet Escarpit, 1964, avant que le sigle IA soit grand public).
De bonnes intentions, certes; celle d’être conformes, de la plus récente conformité, prime sur celle de changer le monde.
@Pierre Guillemot
Il y a effectivement le risque que cette épidémie de prise de parole lors des cérémonies de remise de diplômes des grandes écoles devienne une mode, un passage obligé (réseaux sociaux aidant), pas forcément emprunt de sincérité et de combativité.
Si on peut saluer au moins une prise de conscience de ces élèves (c’est mieux que rien), nous aurions sans doute préféré une attitude plus « révolutionnaire » face à ces institutions sclérosées.
L’ambiance générale, tous niveaux sociaux confondus, est plus à la démission individuelle qu’à la lutte collective.
Ils vont peut-être finir par rejoindre les Gilets Jaunes, un peut comme les étudiants de la Sorbonne avec les ouvriers ! 😉
Arkao
Là, je vous donne raison et j’ai dénoncé bien des fois l’individualisme accru par l’ultralibéralisme.
Mais il y a cependant un vent nouveau (certes tardif) qui souffle malgré climat de + en + aride, qui permet à des jeunes adultes moins inconscients (moins accros au pognon et surconsommation) qui tentent de vraies choses. J’ai des amis encore jeunes qui font « avec leurs petits bras » (clin d’oeil à Pascal) des restaurations de leur vieille maison achetée très bas prix (sauvée de la démollition) avec paille et torchis.
Des amis de mes filles aussi avec d’autres matériaux recyclés. Et des amis de mon fils bien plus jeune qui seront plus au point pour faire la même chose (en mieux).
« Paris ne s’est pas fait en un jour », il faut laisser le temps au temps, quand bien même il y a urgence et qu’il soit peut-être déjà trop tard…
Courir devant le danger n’a jamais servi à rien, ça n’a permis aux lâches que d’appendre à courir plus vite.
Et les vieux pessimistes qui voudraient les décourager devraient s’y mettre aussi….
Amies, amis ne sommes nous pas sur le blog le plus optimiste du monde occidental ? Oui ou non ? Pour moi oui . Il y a des comportements qui bougent pour preuve :https://youtu.be/K0rO0iIyoFM . je souhaitais vous en faire profiter .
J’ai déjà fourni un lien vers ce colloque (qui n’ a pas eu l’écho escompté), en voici un autre . Mais, avec moi il y a toujours un mais, et je vais faire appel aux érudits de ce blog pour révéler où se trouve l’arnaque . Ou pas .
Si l’architecture est un « art » qui façonne les habitats… manières de vivre… « cultures »… des « civilisations », a quel degrés de « civilité » et « d’insécurités »… décident de nous y maintenir, de nous y « reproduire »… « l’élite » soit disant « méritante », de notre modèle « franchouillard » de croissance, promettant de tourner la page du « vieux monde », avec l’UTOPIE illusionniste d’un « nouveau monde » arrivant à consumer autant que trois planètes/ans à lui seul, tout en réussissant l’exploit de continuer à « externaliser » la « négativité » physique, psychique, physiologique … des pollutions réelles, matérielles, comme « éthérées » du productivisme – donnant ainsi du grain à moudre à la « disputation » des anges, voulant occuper une tête d’épingle…?
En écho respectueux des inquiétudes légitimes de cette nouvelle génération refusant les dérives conjoncturelles et/ou structurelles du formatage des savoirs, qu’il leur est inculqué, au travers desquelles, ils doivent s’émanciper, « guider » l’architecture, « l’art de l’urbanisme urbain/rural » , la « culture »… j’ai juste envie d’apporter ma pierre à l’édifice de leur Rébellion… craignant peut être l’extinction de leur et nos espérances…
« « En France, on n’a pas de pétrole, mais on a des idées »… il paraît !
Certain.e.s – puisqu’il paraît que la « société est droitisée », jusqu’à l’extrême – qualifieraient volontiers le titre de ce billet, comme un relent nostalgique d’un « monde d’avant »… emprunt d’une « peur d’avoir peur » d’un risque ou d’un « ressenti » de « déclin ».
Actualiser et contextualiser ce « proverbe », pourrait donner l’idée suivante à d’autres : En France, on n’a pas plus suffisamment de gaz pour continuer de consumer, plus de trois planètes par an… que le risque de « black-out » énergétique (pas assez d’électricité non plus) cet hiver, oblige à se/nous mettre en « économie de guerre ».
Les deux protagonistes de cette version de l’histoire, semblent néanmoins conjuguer leurs cogitassions pour réfléchir à l’idée, de couper durant deux heures, tous les jours, la fourniture d’électricité, chez les particuliers.
Leur formulation de la complexité de l’équation, établissant le risque de manquer de gaz pour les centrales à gaz, de manquer de pétrole, pour d’autres centrales, toutes deux (avec celles à charbon allant rouvrir) produisant de l’électricité, combiné au risque de manquer d’énergie nucléaire (la moitié des réacteurs étant à l’arrêt en raison de la vétusté de certains, d’entretiens pour d’autres…) énergie nucléaire qu’on ne pourra pas exporter vers les pays voisins, allant manquer eux aussi de courant, de quoi en produire du moins… cette formulation de l’équation ne s’encombre que de rien d’autre que d’en simplifier les termes…
Le formatage des logiciels, algos, des « élites » « méritantes », « donnant des leçons de morales », et faisant des « prédictions » qui ne devraient pas être suspectées d’être « auto-réalisatrices », étant celui du néolibéralisme, du « vieux monde », seul le consommateur est à suspecter de risquer de ne pas faire suffisamment « d’effort de guerre », « d’économie énergétique », si le black-out survenait…
Le conditionnel de cette suspicion du risque d’accélérer un des effondrements menaçant les démocraties, sociétés humaines, d’extinction… à l’aspect connoté négativement… s’impose qu’aux particuliers, « consommateurs irréfléchis », invétérés » (qui jette ses déchets plastics n’importe ou… il paraît)… quand SANS CONTREPARTIE comme toujours…. les « externalités négatives » polluantes (océans, terres arables, eau potable, air, etc), qui aggravent le dérèglement climatique, la perte de la biodiversité, qui amplifient les risques de guerre commerciales, monétaires, de « civilisations », ne sont jamais de la « responsabilité » du productivisme intensif, dérégulé, déréglementé, délocalisé… « restructuré »… des propriétaires privés d’actions, de « grandes entreprises », de « fleurons nationaux ».
L’idée n’est donc pas neuve, que « l’élite », du présumé innocent « nouveau monde », recycle les vieux slogans, en faisant une distinction non dite, tout en sous-entendue, entre les « on est un con », et les idées du genre : « on est des génies », « des élu.e.s de…»…
Faut reconnaître qu’à réfléchir à deux fois à l’idée de couper, deux heures durant le courant, aux particuliers les plus pauvres, précaires, discriminés de façon « systémique »… s’appliquant à recycler les restes de nourritures, pour ne rien gaspiller… mais ayant des frigo de merde… risque de les obliger plus souvent de retourner faire leurs courses dans les « Grandes enseignes »… cette idée peut en séduire certain.e.s…
Çà, non dit… en plus de la multiplication d’autres dépenses contraintes – comme dépenser son plein de carburant pour refaire les courses… alors « qu’on est un con » s’applique à rester sobre, en prenant conscience de sa part de responsabilité dans l’émission de gaz à effet de serre, particules fines, etc que ces déplacements occasionnent – d’autres que celles inflationniste n’arrivant jamais à satisfaire des besoins de subsistances, existentiels et essentiels à la survie… a cause de la malbouffe, etc.… les propriétaires privés d’actions et de « grandes surfaces alimentaires », les plus ASSISTES SANS CONTREPARTIE l’ont bien compris… Leurs envies (ils vous parleront de « besoins ») de battre les records de distributions de dividendes, constitués durant l’épisode des « confinements », fermetures des cantines scolaires, et universitaires… restent intactes… Il parait que ces « Grandes surfaces » vont faire suffisamment d’effort de guerre (« 30% d’économie énergétique » il parait), en éteignant leurs pollutions nocturnes publicitaires.
La même idée de couper, pendant deux heures, chaque jours, l’électricité alimentant des appareils médicaux (surveillances, etc) indispensables à la suite d’une opération en « soins ambulatoires »… par exemple (songeons aussi aux travailleurs-euses indépendant.e.s, soignantes, etc, femmes de ménage, à domicile), et les box internet, et lignes de téléphonie fixe, des plus pauvres, précaires… soit de les couper du monde, du droit d’accès à l’information, mais aussi de tous autres droits devenus dépendants de l’obligation d’avoir un accès à internet (pour des démarches administratives, pour accéder à des services publics privatisés/digitalisés, dans les déserts de bassins d’emplois, et de services publics…) cette idée impensée ainsi semble séduire, celles et ceux qui déplorant même pas pareilles conséquences, chérissent par ailleurs la cause de se/nous mettre en « économie de guerre »…
Nonobstant la réflexion non émise sur le fait de couper le courant dans des logements insalubres, l’hiver, avec un degrés d’hygrométrie et d’humidité maximum, ne peut que risquer de causer encore plus de facteurs multiples de comorbidité et pathologies chroniques, que les plus pauvres, précaires, peinent à soigner… et que risquer encore plus de tensions dans les urgences hospitalières – alors que la crise sanitaire n’est pas finie non plus – le simplisme du traitement médiatico-politique de l’idée en question est d’un POPULISME consternant.
Par ailleurs, il ne déplairait aux propriétaires privés d’actions d’opérateurs internet (par forfait mobile: 5G…) et à ceux de productions de smartphones, que les impensés de cette idée, fassent oublier leur intérêts particuliers, en rien général donc, à ce que les plus pauvres… changent de mobiles, et forfaits – dépenses contraintes plus coûteuses, en forfait avec plusieurs dizaines de Giga de commercialisation d’une connexion internet, et en mobile dont les batteries s’épuisent plus vite que l’ombre de leur recyclage réel – pour pallier aux coupures quotidiennes d’accès à internet, au monde, à leur famille, et à la privatisation rampante de services publics digitalisés, dématérialisés.
D’aucun « chien de garde » commentant « l’ingéniosité » de cette idée avec des politiciens aujourd’hui, n’aura l’idée de proposer de couper leur programme/propagande, diffusion d’antenne, durant ce même laps de temps, par SOLIDARITÉ, effort de guerre, puisqu’ils plaindront plus volontiers leur état de « légitime défense » et « présomption d’innocence » à exercer sans subjectivité, en toute neutralité, et impartialité, il paraît, le fait d’instruire le droit de savoir des autres citoyennetés qui auront encore du courant, elles…
Ils n’auront d’ailleurs pas plus l’idée de couper le courant quotidiennement durant le même temps, aux propriétaires privés des algos du Trading Haute Fréquence, et à d’autres applications/logiciels « d’immorale optimisation fiscale », leurs permettant de spéculer sur les stocks gérés en flux tendu, leurs risques de pénuries, de problèmes de stockage, de « raretés » planifiées, instrumentalisées… influant sur la crise inflationniste des prix des denrées alimentaires, énergies (hydrocarbure, électricité, etc) matières premières, biens de premières nécessités sanitaires… et de faire SOCIALISER leurs pertes casinos, dettes privées pourries, tout en faisant PRIVATISER ce qu’ils auront réussi à faire échapper/confisquer aux fics – voir d’interdire cette spéculation. »
Le deuxième épisode de ce témoignage, veut souligner quelques aspect lhypocrites des réjouissances du vote de la loi « pouvoir d’achat », qui est flattée aujourd’hui dans les médias de masse…
« Alors que la « majorité relative » de « l’Assemblée Nationale » pas encore dissoute… valide le plafonnement de la hausse des loyers à 3,5% pendant un an, soit exactement du même montant de la « revalorisation » des prestations logements, suspendue à une soit disant amélioration… baisse inflationniste des tensions structurelles/conjoncturelles du « marché »… ne trouvez vous pas que cette « majorité parlementaire relative » disparate (vote pour du fn, de renaissance, de lr, du modem, etc) se satisfait volontiers que d’assurer dans un jeu à somme non nulle entre les clientélistes, carriéristes… mandatés… et leurs « administrés », propriétaires privés de logements locatifs (« marchands de sommeil » d’habitats insalubres, délabrés, tellement exigus que la promiscuité dans pareil « logis », ne favorise que le risque de crise sanitaire…)… la PRIVATISATION des gains de « pouvoir d’achat » que leurs locataires ne verront jamais…?
Dit autrement, et dans un domaine transversal… soit de l’autre coté, soit disant « de bon sens », même s’il est plus « qu’obscure », de la balance des paiements du « Quoi qu’il en coûte » (austérité, « réformes structurelles néolibérales » sur les dépenses sociales, « sociétales », de financements des services publics, des droits d’accès aux protections sociales [assurance chômage, réformes des retraites », du RSA, soit disant « pognon de dingue mis dans les minimas sociaux, qui fait que les pauvres le restent et se déresponsabilisent », alors qu’en réalité, comme l’atteste les NON RECOURS, il est NON REDISTRIBUE]/ »immorales optimisations fiscales » des recettes de l’équilibre des comptes publics… ce tout sous la contingence de pantoufleurs du verrou de Bercy, d’adeptes de conflits d’intérêts, de délits d’initiés « pas vous pas pris…)… ne trouvez vous pas que les propriétaires privés de résidences secondaires, etc (airbnb, etc), mais surtout de logements locatifs… secteur de l’habitat connaissant une crise sans précédent (les plus pauvres, précaires, plus de 14% de la population vivant sous le seuil de pauvreté, dépensent plus de 70% de leurs ressources, à se loger, à se chauffer dans des « passoires énergétiques »)… sont les plus ASSISTES SANS CONTREPARTIES dans cette nouvelle législation… et gagnent de façon « systémique » (impunité « systémique » des discriminations à l’accès aux logements, à l’embauche…, et lors des brutalités, commises par une partie du personnel du « monopole de la légitime violence de l’Etat » votant à plus de 60% pour l’extrême droite, au cours de contrôles aux faciès, « manifestations interdites »), à jouer la SOCIALISATION des « coûts » de travaux de mise aux normes (isolation, etc par rapport aux risque du dérèglement climatique…)… et de rattrapage de l’inflation…?
En attendant que la meilleure « représentativité » de la « raison » revienne dans cette « Assemblée… » (l’abstention ayant battu des records, au point d’être la « majorité silencieuse » aux dernières législatives), soit que s’écoule cette année de présumé innocent « sauvetage » provisoire du « pouvoir d’achat » des plus de 14% de la population survivant sous le seuil de pauvreté, se logeant dans leur voiture, entre deux emplois à temps partiels contraints, « contrats de missions »… signés en CDI… et d’autres se contentant de l’insalubrité, instabilité, insécurité… de logements locatifs… année à laquelle les plus pauvres, précaires des fous-folles, suspendent leur vol… combien la « ruse » (la « ruse de la raison ») avant que n’éclate le sandale de l’échec de lutter à la racine contre les inégalités territoriales, scolaires, de « destin »…. combien va t-elle va rapporter, aux grenouilles voulant continuer de faire croire que la température du chaudron dans laquelle elle convie leurs congénères de s’y installer, n’est pas lentement porté à ébullition… combien cette « ruse » va réussir à faire SOCIALISER… des pertes casinos, dettes privées pourries (explosant les dettes publiques…) obtenues sur les paris, la spéculation faite sur la gestion de stock en flux tendu, au bord de la pénurie, et les prix inflationnistes (de denrées alimentaires, énergies fossiles, besoins de premières nécessités sanitaires, et habitats, etc) et sur la PRIVATISATION des savoirs faire, d’emplois du secteur privé et public (digitalisé, technocratisé, dématérialisés…) qui segmentés à la tâche et payés plus bas que le SMIC, risquent de dévaster encore plus de vies précarisées paupérisées, discriminées, sans pouvoir se trouver de l’autre coté de la rue…?
Est-ce que cette nouvelle mesure législative conjoncturelle, voulant faire apitoyer dans les chaumières, la « bonne conscience » de « l’Assemblée… »… ne cherche pas en réalité à maintenir/reproduire « l’ordre social et sociétal » dans le même état d’inégalités, d’injustes, de précarisations structurelles des plus faibles, fragiles de cette « société civile » (sachant que plus de 6 générations des descendances des populations les plus pauvres, précaires, discriminé.e.s, dont une part croissante n’arrive même pas à espérer de vivre l’âge de départ à la retraite, en vie, ou en bonne santé du moins… ne suffiront d’espérer trouver une place dans la file d’attente de « l’escalier social », quand il ne resterait que trois générations à l’espèce humaine, avant son eXtinction… sans Rébellion, comme l’espèrent les mieux nantis) ? »
J’ai lu il y a quelques jours ce livre d’Anselm Jappe, excellent et d’une grande richesse (en à peine 200 pages en caractères assez gros) :
« Le béton, arme de construction massive du capitalisme ».
Une brève présentation, pêchée sur DuckDuckGo :
https://www.philomag.com/articles/beton-arme-de-construction-massive-du-capitalisme-danselm-jappe
Vu sur Arte il y a quelques années, le reportage :
« Le sable, enquête sur une disparition »
https://www.lemonde.fr/culture/article/2013/05/28/le-sable-enquete-sur-une-disparition_3416964_3246.html
Le film complet sur YouTube :
https://www.youtube.com/watch?v=JOZ3Pi4RElQ
Nous en arrivons à manquer même de sable, trop forts les Shadocks !
(Les grains de sable des déserts, arrondis par les vents, n’ »accrochent » pas et sont donc impropres à la construction « moderne ».)
Si le béton pouvait être assimilé à un pays il serait classé en 3 ème position des pays émetteurs de GES.
Encore une autre arnaque c’est le béton à base de clinker (produit résiduel métallurgie lourde) soit disant économe en énergie pour sa fabrication; le tour de passe passe est qu’on ne tient pas compte de l’énergie consommée dans le processus métallurgique.
Bon la société à déjà connue de telles secousses citoyenne – 68 n’est pas si loin hein – la jeunesse était au 1er rang pour les grandes indignations, résolutions et renversements de tables – bon 50 ans plus tard cette génération qu’est-ce qu’elle nous a laissé ?
C’est bien beau de se laisser émouvoir par l’enthousiasme, l’effronterie d’un âge de tous les possibles mais soyons sérieux quand même – ceux par qui arrivera le changement, s’il arrive, ce ne seront pas par des enfants d’Instagram à l’orée de la vie active – ce seront les affamés, les morts-vivants qui transformeront nos contrées en forteresses par la force du nombre et l’énergie du désespoir – ce sera le sang versé d’un trop grand nombre d’entre nous que nous ne pourrons plus supporter sans devenir, en conscience, bourreau et vivre comme des loups.
Question aux futurs architectes du quotidien : comment faire un immeuble ou t’entends pas ton voisin rentrer / sortir, marcher comme si il portait des sabots, allumer sa machine à 2h du matin, greloter en hiver suffoque en été Bref un immeuble d’habitation qui soit pas un Ibis budget à l’année ?
Bonjour, j’ai eu deux ou trois réflexions personnelles : des déplacements en voiture et de l’eau. Nous sommes en été, c’est les vacances. En regardant les informations, nous voyons 800 kms de bouchons avec plusieurs voitures, donc pollution aux particules…, je pense que nous pourrions faire mieux :
– partager à plusieurs le coût du transport d’un point A au point Z, au niveau de l’automobile et avoir les mêmes périodes vacances pour les personnes concernées (motiver les visites locales à petite échelle) et ce au plus grand nombre. Si j’écris ceci, c’est que chacun d’entre nous depuis longtemps ont été habitués à être seuls dans les voitures . Blablacar et les individus pourraient peut-être étendre la pratique de partages pour un même lieu (travail, loisirs, etc)…
– rester sur le lieu de vacances (plage, campagne ou autre), sans trop de déplacements une fois sur place. D’une manière globale, élargir, étendre les modes de transport mutualisés (voiture, cars et trains).
-Maintenant, à propos de l’eau, j’ai compris qu’il ne faut pas gaspiller, donc au niveau personnel, mais collectif, il me semble qu’il serait intéressant de réduire le nombre de douches par semaine. Nous avons été habitués à utiliser l’eau, comme une ressource inépuisable et ce pour nombreuses utilisations. Beaucoup prennent une douche 2 fois par jour, donc x 7 = 14 douches x litres d’eau pour un individu alors à l’ensemble de la France, cela représente une grande quantité d’eau. Je vous avais parlé de récupération d’eau de légumes, etc…Je fais un lien avec cette maison qui a été construite ultra résiliente (soleil, récupération eau recyclée remise en circuit, c’est super), cela devrait peut être réalisé pour chaque immeuble à l’ensemble des futures constructions, ceci doit être couplé comme je l’ai lu à la résilience des bassins (eaux usées qui deviennent propres et circulaires) avec des systèmes d’épuration avec plantes, etc, je rajouterai ceci au niveau d’un groupe d’ilots de constructions individuelles ou d’immeubles…
J’avais commencé à écrire les 3 premiers paragraphes ci-dessus, ceci tout en écoutant la vidéo «fête à Pigou», tout en ignorant la fin de la vidéo. Le sujet concerne la rénovation de bâtiments existants et de récupération de matériaux, j’en suis heureuse car j’avais écrit bien des choses à un jeune architecte depuis longtemps depuis 2009, je lui avais parlé également des ingénieurs (pour l’énergie). Ce sont des points cruciaux à mes yeux. J’ai bien entendu qu’il faudra au moins une génération pour transformer. Mr F. Bonnifet a parlé (matériaux venant de loin – cahotique), réaliser une péri-équation systémique, oui, encore oui.!!! Mixité fonctionnelle des différents flux et trajets (interdépendance (énergie, eau, etc…qu’il faudra que l’on les utilise d’une façon pratique et «rationnelle» BIOSOURCES (ressources hum., culturels, social, etc, systémique).
– Il y a un dernier point où l’on doit être résilient, c’est le choix des plantations, des arbres, qui peuvent à l’avenir nous satisfaire des besoins de subsistance. (Il y a les fermes industriels à l’abri de toute menace), mais les champs de plantes et arbres fruitiers ne le sont pas. (tonnelles spécifiques – rires). Le choix de plantes, etct…plus vivaces. Nous pouvons fabriquer des matières nobles (alimentaires, de matériaux/essences diverses). Je pense aux figues de Barbarie on en fait de la confiture, pourquoi ne pas planter des dattiers, des figuiers, des orangers et de l’aloé véra, de la patate douce et autres pour des produits plus sains. Je pense également qu’il faut restructurer ces lieux d’échanges, qu’ils soient plus proches des lieux d’habitations, un programme colossal à mettre en ébullition/solition (soliton – solition) en y ajoutant la résilience de l’eau (circulaire et autre) (vidéo de la grenouille qui saute quand cela commence à chauffer).
Mr Alexis Nollet a parlé de coopérer ensemble et avec la minorité active, travailler ensemble (au niveau PRATIQUE et intellectuel, résilient). Créer des maisons de la transition, cela serait super d’un point vue écologique et pour les futures générations. J’y rajouterai : Résilience parents/enfants, et chaque individu. Cordialement, Isabelle Corlay.
Paris Malaquais tape encore plus fort.
@Pascal (suite) Mon intérêt pour la renormalisation est venu de la lecture d’un début d’article d’Alain Connes*, où le « moi »…
» Cette petite église sans ornements est depuis longtemps considérée comme la plus ancienne de la ville suisse de Lucerne.…
Et si on parlait de la part d’identification de Poutine vis à vis de Trump et de Trump vis à…
Thom : « Si l’on croit qu’individualité et stabilité sont nécessairement liées, cela n’implique-t-il pas qu’une qualité, comme en Théorie des…
@Hervey (« NOUS FAISONS PARTI DU PAYSAGE et nous agissons sur lui pour le modeler ou le déformer ») Je veux croire…
Si en plus vous êtes « multi-moi », je comprends la difficulté ! 😉
Je crains malheureusement que Paul n’ait raison. Il y a certainement une part d’identification à leur leader chez les électeurs…
https://hervey-noel.com/wp-content/uploads/2015/04/cartes_hommage-a-shitao3_hervey.jpg
Merci. Je voulais sortir de la focalisation sur Poutine, sur l’ennemi, le diable par rapport à l’examen de la situation…
@Paul Jorion Je préfère utiliser le mot « mimétisme » à celui d’identification . Histoire de vocabulaire . Dans « identification » il y…
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