Je ne fais plus ma promenade habituelle sur les rives du Vincin. La dernière fois que je l’ai faite, une joggeuse a ralenti le pas arrivée à ma hauteur pour ne pas souffler tout l’air de ses poumons dans mon visage. Les autres n’ont pas voulu faire baisser leur moyenne : le civisme trouve sa borne naturelle là où débute le souci légitime de chacun de sa bonne forme personnelle.
Paul, Je n’ai vu de ce film, il y a longtemps, que ce passage (au début du film, je crois)…
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