Dites-moi si vous arrivez à voir ça (c’est peut-être réservé aux abonnés)

27 juin 2020 15h14

L’analyse d’une provocation policière à Seattle (état de Washington) dans le New York Times.

Etats-Unis, Seattle, violences policières

16 réponses à “Dites-moi si vous arrivez à voir ça (c’est peut-être réservé aux abonnés)”

YvesW

27 juin 2020 15h29

Oui, sans problème.

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1. Paul Jorion
  
  27 juin 2020 16h01
  
  Merci !
  
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2. Christian Brasseur
  
  27 juin 2020 23h08
  
  moi itou
  
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Juillot Pierre

27 juin 2020 15h40

De mon PC pas abonné à cette presse, il est aperçu quelques images s’affichant après des dixièmes de seconde, puis se figent. Sans le témoignage filmé, il est dur de « juger » (en toute neutralité et impartialité) de la qualité de l’analyse de la « provocation policière » proposée donc.

Cependant, non loin d’outre Atlantique dirons nous, d’autres « provocations/intimidation » policières ont lieu ici même et sont facilement « triangulables »… (à Bordeaux, la nuit dernière). https://www.facebook.com/cerveauxnondisponibles/videos/556811638349946/UzpfSTEwMDAwNTA4MzI5NzU2MjoxNDkxOTQxOTA0MzE4NTcy/

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1. Paul Jorion
  
  27 juin 2020 16h02
  
  Il faut descendre dans la page.
  
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  1. Juillot Pierre
    
    27 juin 2020 16h44
    
    J’avais balayé la page de haut en bas, au moins pour me familiariser avec le texte, à défaut de visionner les scènes décrites… J’ai trouvé comme astuce de laisser un temps de chargement plus long, entre chaque scènes diffusées. Ce qui m’a permis d’en voir qu’à peine la moitié (10 sur 22). Le débit descendant de ma connexion (10 mbp/s en moyenne, mais aujourd’hui c’est à peine 6 à partager en trois – Deux ados « hyperconnectés » n’ayant pas le meilleurs modèle comme père, pour faire la différence entre jouer aux jeux gratuits en ligne, voir des vidéo youtube… pour eux, et dénicher des articles en fouillant l’internet, les « réseaux sociaux » puis écrire, pour moi – pour eux, les activités rivées devant un écran, reviennent au même ) ce débit donc que me permet mon forfait internet… et qui dépend du réseau « dégroupé » de mon quartier rural, et de mon fournisseur d’accès, ne me donnera pas plus, je crois.
    
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2. CloClo
  
  27 juin 2020 16h29
  
  Achetez des oeufs, bien pourris si possible !
  
  De mon point de vue, je les foutrais tous à pieds définitivement.
  
  Un très grande partie des forces de l’ordre et des gendarmes sont foncièrement racistes, et vote sans problème pour le RN. C’est ainsi c’est le système qui les forme ainsi, l’obéissance et l’ordre sont les mamelles de ces organisations alors si en plus on la cervelle poreuse et faiblarde on obtient ça. Tout vrai flic républicain et humaniste, si, si il y en a quand même, qui ont choisi eux la Paix et le Service, sait très bien que c’est devenu un nid de facho et cow-boys à moitié alcoolique ruminant leurs délires jusqu’à la nausée en vase clos.
  
  Ce métier, qui est un vrai et beau métier, humain au possible, avec un effet loupe sur les petits et gros travers de la société, n’est malheureusement pas à portée psychologique de la plus part de ses recrues, qui viennent là par dépit ou par erreur d’orientation et de compréhension du métier et y font naufrage physiquement et psychiquement.
  
  Faut modifier les attendus et le recrutement c’est une évidence.
  
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arkao

27 juin 2020 16h03

Pas réservé aux abonnés, j’ai pu le consulter.
Sur l’analyse, le degrés de violence est bien moindre que ce qui s’est passé en France ces dernières années. Pas de matraquage de personnes tombées au sol, pas de flash-ball à bout portant, etc. Si ce n’est que comme ça aux USA à chaque manif, il n’y a pas lieu de s’inquiéter.

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1. Paul Jorion
  
  27 juin 2020 17h55
  
  Si aux États-Unis on est indigné de ce qui chez nous est devenu la routine, est-ce parce qu’ils ont toujours 10 ans d’avance sur nous ? On aimerait bien 😀
  
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  1. Marcel
    
    27 juin 2020 19h32
    
    Ça n’en prend pas la route. Il y a dix ans ou presque à New York, des flics penauds grondés par un vétéran : https://www.rawstory.com/2011/10/decorated-marine-lectures-new-york-police-there-is-no-honor-in-this/
    
    Aujourd’hui en France, le syndicat Alliance porterait plainte pour outrage. En fait, il se serait sûrement fait embarquer pour la même raison, et les gens filmant avec leurs smartphone se seraient sans doute fait « bousculer » au passage.
    
    Le rapport de force entre le régime bourgeois « ni-ni-en-même-temps » et la police très droitisante qui le soutient est désormais clair. Le choix du prochain ministre de l’Intérieur sera fort intéressant.
    
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  2. Dominique-e
    
    27 juin 2020 22h23
    
    Qui a de l’avance ?
    Pendant les manifs contre le CPE, les manifs contre la loi retraite à Nantes, j’ai pu observer des flics lancer des cailloux dans les vitrines puis mettre leurs brassards ‘police ». Quand il y avait des manifestations devant le nouveau tribunal de Nantes à cause de l’aéroport de NNDL, j’ai vu des policiers matraquer des gens et choisir avec leurs coups de matraque de leur bouziller les genoux.
    A Nantes chaque manifestation ressemble à une guerre contre les gens, je ne sais ce qu’ils ajoutent aux gaz ou aux canons anti -émeutes mais les rues deviennent glissantes. Ceux qui respirent trop de gaz lacrymos se plaignent de malaises respiratoires et intestinaux.
    Les nasses, le gazage , les provocations, les désinformations sont systématiques.
    
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albatros29

27 juin 2020 18h48

Seattle (Washington) pas Oregon. Petite précision, mais rien de grave 🙂

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1. Paul Jorion
  
  27 juin 2020 19h08
  
  Oui, bien sûr ! Je corrige !
  
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Dominique-e

27 juin 2020 22h36

Quant à la répression sur le site de NNDL, beaucoup souffrent de syndromes post-traumatiques tellement la répression a été violente.
Les vidéos diffusées dans le médias étaient les vidéos réalisées par les FDO pour descréditer le mouvement.

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1. daniel
  
  28 juin 2020 8h42
  
  Dominique-e:
  Révélateur… Merci.
  
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2. Jeanson Thomas
  
  28 juin 2020 18h11
  
  Ah ben oui, NDDL, c’est 11000 grenades en 40 jours sur 100 à 200 personnes max, avec blindés et 2500 gendarmes mobiles…
  
  Pour démonter des cabanes et du maraichage.
  
  Rien que d’y penser, c’est traumatisant.
  
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