Dans l’immédiat, les compagnies nationalisées aujourd’hui continueront de s’occuper de la gestion pendant un certain temps et l’État leur versera « une participation aux frais ».
Ce n’est qu’un début, j’en suis sûr, et ce ne sera pas qu’au Royaume-Uni. Aussi, préparons-nous déjà à gueuler quand ils et elles chercheront à rétablir, passée la crise, le « capitalisme des bénéfices et communisme des pertes ».
PJ : « Un lecteur d’aujourd’hui de mon livre Principes des systèmes intelligents » Je pense que c’est le commentateur Colignon David*…