Sur les bateaux où j’ai appris la pêche en mer, quand ça tournait mal, le français disparaissait instantanément : il n’y avait plus de jurons, plus d’ordres, plus de mots du tout en français. Il n’y avait plus que le breton et il y avait intérêt à le comprendre !
Après, une jeune fille de Lignol, près de Guémené-sur-Scorff, m’a enseigné cette langue posément, comme sur les bancs de l’école. Mais comme disait Nietzsche, ce qu’on apprend dans les cris et la fureur, on ne risque jamais de l’oublier !
@François M Ce qui montre qu’il ne s’agit pas d’une escalade militaire, mais au contraire d’une gesticulation retenue dans une…