Courrier reçu : « Écrivains bouleversés et bouleversants », par Jean-Michel Pollyn

Cher Paul Jorion,

Votre article sur le toujours très regretté Stefan Zweig était d’une rare qualité littéraire et j’ai songé que vous pourriez demander à vos éditeurs la possibilité d’un ouvrage exclusivement axé sur les écrivains bouleversés et bouleversants. Une sorte de méditation sur la communauté des ébranlés comme disait l’Autre parce que votre immense culture littéraire pourrait intéresser de nombreux lecteurs et lectrices.

Et lier les écrivains que vous choisiriez au sort de la planète, comme Cormac McCarthy qui nous met en garde à sa façon avec son roman sidérant La Route, ainsi faire participer les grandes plumes de tous les pays à l’ultime bataille pour sauver ce qui peut encore l’être.

Paul Jorion, critique littéraire, voilà une passionnante lecture en perspective…

Bien amicalement vôtre.

Jean-Michel Pollyn

Partager :

Contact

Contactez Paul Jorion

Commentaires récents

  1. Bonjour Régis, il y a du vrai dans v/com. et à son sujet, j’avais écrit, il y a quelques temps,…

  2. Bonjour Régis, il y a du vrai dans v/com. et à son sujet, j’avais écrit, il y a quelques temps,…

  3. Bonjour Hervey, votre message est plein de bon sens et de sagesse d’ailleurs ancestrale, c’est la terre qui nous apporte…

  4. Bonjour Hervey, votre message est plein de bon sens et de sagesse d’ailleurs ancestrale, c’est la terre qui nous apporte…

Articles récents

Catégories

Archives

Tags

Allemagne Aristote BCE Bourse Brexit capitalisme ChatGPT Chine Confinement Coronavirus Covid-19 dette dette publique Donald Trump Emmanuel Macron Espagne Etats-Unis Europe extinction du genre humain FMI France Grands Modèles de Langage Grèce intelligence artificielle interdiction des paris sur les fluctuations de prix Italie Japon Joe Biden John Maynard Keynes Karl Marx pandémie Portugal psychanalyse robotisation Royaume-Uni Russie réchauffement climatique Réfugiés spéculation Thomas Piketty Ukraine ultralibéralisme Vladimir Poutine zone euro « Le dernier qui s'en va éteint la lumière »

Meta