J’ai été ravi de votre accueil à Marseille vendredi, de la réception de mes propos le lendemain samedi à Ostende, du bon travail fait en équipe à Lille lundi et mardi, et de votre réponse enthousiaste mercredi à ma venue à Strasbourg.
Ce rythme de dingue ne laisse évidemment pas le système immunitaire indifférent et … paf ! Toutes mes excuses à celles et ceux d’entre vous qui projetaient de m’entendre de lundi à mercredi à Toulouse, Montpellier et de nouveau Toulouse, la Faculté a décrété qu’il fallait que je me soigne et me repose – et elle a certainement raison !
Comme y’a de plus en plus de lapins, vous n’allez pas vous plaindre qu’il y ait plus de luzerne… On…