En décembre 2009, je me suis rendu à la rédaction de Libé, à la République. M’a croisé à l’entrée de cet ancien parking, une petite troupe bruyante faite d’un homme et de ses lieutenants et lieutenantes. Il m’a adressé un jovial et tonitruant bonjour, convaincu que je saurais qui il était. Ce qui n’était hélas pas le cas. C’est quelqu’un qui me suivait, ayant compris la raison de la froideur de mon salut réciproque, qui m’a glissé : « C’est Higelin ! » J’ai regretté aussitôt de ne pas l’avoir fêté autant qu’il m’avait fêté lui. Je le regrette encore davantage aujourd’hui.
@BasicRabbit en autopsy L’évolution du vote de la France (dans le sillage de l’U.E.) révèle bien la mise en minorité…