Billet invité.
Carles Puigdemont a clarifié le paysage lors de sa conférence de presse. S’exprimant en français, il a annoncé rester à Bruxelles tant que sa liberté et sa sécurité ne seraient pas garanties, sans demander l’asile, et a laissé entendre qu’il allait fonctionner comme un gouvernement en exil, tout en confirmant que son parti allait participer aux élections convoquées par Madrid. « Je relève le défi des élections », a-t-il confirmé, ne voulant pas « privilégier la contestation sociale » et estimant nécessaire de « détendre la confrontation ». En s’installant « au cœur de l’Europe » afin de continuer à faire appel à elle, car « politique, le conflit a besoin d’une issue politique » a-t-il ajouté.
Thom : « (…) il m’est difficile de voir pourquoi un être pleinement différencié ne pourrait être immortel. » (SSM, 1968) « Peut-être…