École de Guerre – Panel 3 : Résilience et mobilisation : comment s’unir pour vaincre, le 12 mars 2025

Paris Defence and Strategy Forum, du 11 au 13 mars 2025, École militaire

Petit changement de programme pour la table-ronde où je serai l’un des trois intervenants : le général Jean-Paul Palomeros, de la force aérienne française, sera remplacé par Madame Greta Tuckute, ancienne vice-ministre de la défense lithuanienne, qui se joindra au général de brigade finlandais Jyri Juhani Raitasalo, et à moi.

J’apprends également qu’assisteront à notre table-ronde, le général Pierre Schill, actuel chef d’état-major de l’Armée de terre française, ainsi que ses homologues belge et néerlandais : le lieutenant-général Pierre Gérard, chef de la Composante Terre de l’armée belge, et le lieutenant-général Martin Wijnen, commandant des forces terrestres royales néerlandaises.

Le débat sera animé par M. Hamish Mundell du Royal United Services Institute (RUSI).

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7 réponses à “École de Guerre – Panel 3 : Résilience et mobilisation : comment s’unir pour vaincre, le 12 mars 2025”

  1. Avatar de Hervey

    Mazette ! (interjection)

  2. Avatar de Régis Pasquet
    Régis Pasquet

    « Quand atteindrons-nous l’âge où nous cesserons de prendre avec un enthousiasme mal dissimulé, des vessies pour des lanternes. »

    Paul Jorion

  3. Avatar de Alex
    Alex

    Sur la guerre, simplement un poème.

    Ah Dieu ! que la guerre est jolie
    Avec ses chants ses longs loisirs
    Cette bague je l’ai polie
    Le vent se mêle à vos soupirs

    Adieu ! voici le boute-selle
    Il disparut dans un tournant
    Et mourut là-bas tandis qu’elle
    Riait au destin surprenant

    Guillaume Apollinaire

    1. Avatar de Paul Jorion

      Mais vous, vous aimez la guerre, à condition de pouvoir la déguiser en « indignation pacifiste » nécessitant – hélas, trois fois hélas – une « opération militaire spéciale » pour s’en protéger … de manière purement défensive – cela va de soi.

      Votre hypocrisie atteint des sommets. Nous avons tous apprécié votre « Jean Jaurès, Poutine, Louise Michel » – Cherchez l’intrus !

    2. Avatar de arkao

      @Alex
      Wilhelm Albert Włodzimierz Aleksander Apolinary Kostrowicki, engagé volontaire dans l’armée française dès 1914.
      https://arthive.com/res/media/img/oy800/work/4e8/433743@2x.jpg

  4. Avatar de toutvabien
    toutvabien

    DeepSeek à qui j’ai demandé de questionner votre feuille de route:

    **Points faibles et limites** / **Faisabilité pratique**

    Certaines propositions, comme la « cyberconscription obligatoire », soulèvent des questions pratiques :

    Comment garantir l’adhésion sociale à une conscription non militaire ?

    Quid des libertés individuelles (ex. : mobilisation forcée de professionnels du privé) ?

    Le financement de ces structures (SNC, cyber-réserves) n’est pas abordé, alors que les coûts seraient colossaux.

    **Risques de bureaucratie**

    La centralisation via un SNC pourrait générer des lourdeurs administratives, contraire à l’idée de « résilience distribuée ». Un équilibre entre coordination nationale et autonomie locale mériterait d’être approfondi.

    **Survol des enjeux éthiques et sociaux**

    La surveillance accrue (via IA, surveillance à distance) n’est pas critiquée, alors qu’elle pose des questions de vie privée.

    **L’impact psychosocial d’une société en alerte permanente** (stress, fatigue décisionnelle) est ignoré.

    Aucune mention des risques de dérive autoritaire (utilisation du SNC à des fins de contrôle social).

    **Techno-optimisme**
    L’auteur mise sur l’IA et l’automatisation comme solutions miracles, sans évoquer leurs limites :

    Biais des algorithmes, vulnérabilités des systèmes automatisés.

    Dépendance accrue à la technologie, elle-même cible potentielle d’attaques.

    **Manque d’exemples concrets**

    Des références à des initiatives existantes (ex. : l’Estonie en cyberdéfense, l’ANSSI en France) auraient renforcé la crédibilité. De même, des cas d’étude sur des attaques réelles (ex. : Colonial Pipeline, SolarWinds) auraient illustré les besoins.

    **Suggestions d’amélioration**

    Approfondir les mécanismes de gouvernance

    Comment éviter les conflits d’intérêts dans les partenariats public-privé ?

    Quel rôle pour les citoyens non experts dans cette mobilisation (ex. : sensibilisation aux phishing) ?

    Intégrer une perspective critique

    Discuter des alternatives à la conscription obligatoire (ex. : volontariat incitatif).

    Aborder les tensions entre sécurité et libertés publiques, notamment dans les démocraties.

    Étayer par des données

    Quantifier les besoins en main-d’œuvre (nombre de cyberexperts nécessaires, délais de formation).

    Mentionner des budgets prévisionnels ou des modèles économiques (ex. : mutualisation des coûts via l’OTAN).

    **Diversifier les scénarios**

    Que faire en cas de panne prolongée des infrastructures (ex. : black-out électrique) ?

    Comment gérer les attaques hybrides combinant cyberattaques et désinformation ?

    **Clarifier le vocabulaire**

    Définir les acronymes techniques (OT, SCADA) pour les lecteurs non spécialisés.

    Distinguer clairement « cybersécurité » (défensive) et « cyberwarfare » (offensif).

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