Vidéo – Wow! Maya and I: Sci-Fi is Here to Stay!, le 9 mars 2025

09 mars 2025 18h58

Talking to the amazing new conversational tool from sesame.com

Ma conversation avec l’étonnant chatbot de sesame.com

Grands Modèles de Langage, Intelligence Artificielle, Singularité

AI, Artificial Intelligence, Geoffrey Hinton, intelligence artificielle, Isaac Asimov, Large Language Models, LLM, sesame.com

20 réponses à “Vidéo – Wow! Maya and I: Sci-Fi is Here to Stay!, le 9 mars 2025”

Khanard

09 mars 2025 21h26

époustouflant !

malgré quelques passages que je n’ai pas saisi l’élocution est saisissante , il y a des inflexions dans la voie, des changements de rythme , on « sent » la réflexion , flirtant parfois avec l’ironie voire même la moquerie .

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1. sde
  
  10 mars 2025 4h24
  
  » il y a des inflexions dans la voix, des changements de rythme … »
  
  Oui, de façon peut-être même un peu trop marquée non ? Dans mon essai elle semblait limite cyclothymique Maya, disons, comparé à HAL. Manquerait plus que les prochains colons de Mars embarquent une IA bipolaire dans leur Muskrocket… Bon, gageons que Dr Chandra va arranger ça.
  
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  1. Paul Jorion
    
    10 mars 2025 9h52
    
    Bandes d’ignoramus ! Malgré les centaines d’heures que vous avez passées au cinéma, vous ignorez encore comment parlent les Californiennes !?!
    
    Mademoiselle Moon Zappa, fille de Frank, dans « Valley Girl » (1982) :
    
    Répondre
    1. sde
      
      10 mars 2025 11h52
      
      😮 Effectivement c’était exactement cela ! 😂
      
      Répondre
    2. sde
      
      10 mars 2025 12h06
      
      Mais aussi des moments beaucoup plus « plat », « neutre » , presque apathique. D’ou mes sarcasmes à bon compte. Que l’intonation et l’ »humeur » s’adaptent avec le sens des propos tenus c’est justement tout l’intérêt mais les transitions sont peut-être encore un peu violentes, binaires… ça va s’arranger n’en doutons point.
      
      Répondre
  2. Grand-mère Michelle
    
    10 mars 2025 12h32
    
    @sde
    
    Merci de nous rappeler Hal, l’ordinateur représenté dans le film de science-fiction « 2001,l’odyssée de l’espace » de St. Kubrick, et sa voix si touchante et émouvante, désemparée, au moment où il se fait « tuer », déconnecter…
    Peut-être cela donnera-t-il envie de regarder ce film à des jeunes(ou moins jeunes) lecteurs-trices de cette page qui ne l’auraient pas vu…
    Car le propos du réalisateur ne me semble pas encore avoir été suffisamment étudié, décortiqué, considéré à la mesure de son imagination débordante et quasiment « prophétique », en matière d’intelligence humaine et artificielle, et d’exploration spatiale et « spirituelle »…
    …sans compter l’immense plaisir qu’il procure en termes d’images et de sons…(à condition de le regarder dans l’obscurité, sur grand écran, en salle bien sonorisée, ce pourquoi il a été fait)
    
    Répondre
    1. Grand-mère Michelle
      
      10 mars 2025 14h55
      
      Oups… Oublié de noter que ce film est inspiré de l’œuvre originale (roman) de Arthur C. Clarke. (Je le savais, pourtant, j’avais acheté et lu le bouquin, paru en français en édition de poche)
      Pour rendre à Arthur l’imagination que je prêtais à Stanley… ce qui n’enlève rien aux qualités cinématographiques du film!
      
      Répondre
      1. JMarc
        
        10 mars 2025 22h56
        
        Michelle,
        
        Tout le mérite du film revient bien à Kubrick, la nouvelle de C. Clarke dont il s’est inspiré étant très différente (mais excellente aussi).
        
        Répondre
        
        JMarc
        
        10 mars 2025 23h30
        
        Après la sortie du film, C. Clarke a publié un roman calqué sur celui-ci et donnant l’explication du comportement de HAL.
        
        Répondre
      2. Vincent Rey
        
        15 mars 2025 8h51
        
        Quelqu’un peut-il dire si la prise du pouvoir par AL est dans le livre ?
        
        – Grok veux tu bien ouvrir le sas ?
        – je ne crois pas que ce soit une bonne idée Elon
        
        findutravail.net
        
        Répondre
    2. Vincent Rey
      
      15 mars 2025 8h14
      
      et quelle intuition de S. Kubrick !! 1969 je crois, 2001 !!
      
      Répondre
  3. gaston
    
    10 mars 2025 14h16
    
    La technique sonore est remarquable, il me semble même qu’on entend la bestiole respirer ou reprendre son souffle à la fin de quelques phrases.
    
    Pour nous autres qui avons perdu de vue l’anglais « oral » depuis nos lointaines années lycée et qui avons du mal à appréhender tout ce qui ce dit, ou que la voix suraiguë et nasillarde horripile, il y a quelques petites astuces pour pallier cet inconvénient :
    
    1) régler la vitesse de lecture sur 0.5 ce qui permet de passer de soprano colorature à contralto, beaucoup plus audible.
    
    2) couper le son, lire les sous-titres et se contenter de la banalité des réponses, ça serait dommage !
    
    Quoi qu’il en soit, gare à vous si vous êtes limités au cajun, au navajo, au mejicano ou au nahuatl, car désormais il n’y a qu’une seule langue officielle aux USA, c’est l’anglais. C’est Donald qui l’a dit ! Non mais !
    
    https://www.lemonde.fr/international/article/2025/03/02/l-anglais-devient-la-seule-langue-officielle-aux-etats-unis-apres-un-decret-de-donald-trump_6572512_3210.html
    
    Répondre
    1. Grand-mère Michelle
      
      10 mars 2025 16h44
      
      @gaston
      
      « l’anglais devient la seule langue officielle aux États-Unis… »
      
      Encore un signe, s’il en était besoin, qui souligne le dangereux autoritarisme et le « suprematisme » de D.Trump…
      Décidément, il ne fait pas bon être citoyen-ne « américain-e » par les temps qui courent….
      
      J’ai souvent plaidé ici(ou ailleurs? un peu désolée de ne pas pouvoir le vérifier… ) sur l’importance des termes/des mots dans lesquels se discutent les problèmes de notre monde « moderne », et pour la préservation des multiples langues (7000 « officielles », parait-il, une de nos principales richesses humaines) qui ont encore cours en ce moment… et aussi pour que soient encouragées les formations aux métiers de traducteurs-trices et interprètes, sources « d’emplois » on ne peut plus favorables à l’entente cordiale entre les peuples.
      
      Ayant assisté à des sessions du Parlement européen, j’ai eu la joie de constater que les traductions instantanées des intervenant-e-s dans diverses langues sont disponibles aux auditeurs-trices, directement transmises à leur place grâce à des écouteurs reliés aux interprètes (souvent une spécialité de personnes non-ou mal-voyantes, avec qui j’ai eu l’occasion de bavarder).
      Aussi, j’ai appris que la Roumanie, pour pouvoir devenir membre de l’UE, avait été obligée de « se mettre en ordre » pour respecter les droits des minorités linguistiques habitant dans le pays, notamment en les accueillant dans leur langue, dans les administrations des régions où elles sont importantes…
      
      À la fin des années 80, j’avais appris le russe, persuadée que cela m’aiderait à « m’entendre » avec les gens des différents « pays de l’est » (qui, je le savais, avaient dù l’apprendre, du moins ceux et celles qui avaient fréquenté l’école secondaire). En effet, pressentant la chute du « mur » qui me séparait depuis l’enfance de ces frères et sœurs européen-ne-s, j’avais l’intentention d’aller les découvrir chez eux/elles.
      Malheureusement, à partir de 1993 où j’ai pu commencer à y voyager, je n’ai pu le pratiquer, car les personnes de mon âge refusaient de parler dans « la langue de l’envahisseur », et j’ai principalement rencontré des jeunes, contents de parler avec moi en anglais, qu’ils/elles apprenaient depuis trois ans sans avoir guère l’occasion de le parler.
      
      Habitant « Brussels », je suis catastrophée de l’anglicisation de ma ville, capitale (bilingue francais/néerlandais) de la Belgique et de l’UE, car je me demande toujours si cet envahissement par la langue se concrétisera un jour par un autre, politique ou militaire, fruit d’un « consensus dilplomatique » ou d’une guerre…
      Car je dois reconnaître que je serais incapable de m’exprimer correctement et complètement, et donc me faire bien comprendre(et apprécier?) dans une autre langue que celle dans laquelle j’ai appris à appréhender le monde et à construire ma pensée.
      
      Ceci dit en français, pour affirmer que, non, je ne peux en aucun cas être d’accord avec la politique(?) de D.Trump, ni avec aucune autre de type « impérialiste ».
      
      Répondre
Hervey

09 mars 2025 23h07

https://img-s-msn-com.akamaized.net/tenant/amp/entityid/BB1n8uEc.img?w=1920&h=1080&q=60&m=2&f=jpg

🙂

Depuis les oracles antiques jusqu’à l’Eglise et maintenant l’IA, il y a toujours eu cette nécessité d’un médiateur qui dépasse l’individu.
Aujourd’hui, avec les IA, cette instance supérieure devient impersonnelle, “objective”, libérée des dogmes religieux mais peut-être encore plus influente car intégrée au quotidien, accessible à tout moment.

Répondre
Christian

09 mars 2025 23h31

Le 27 Février 2025, j’ai interrogé ChatGpt sur les risques d’un développement exponentiel et anarchique des IA

Ses points de vue sont assez éclairants, bien qu’il soit toujours nécessaire d’avoir à l’esprit que ChatGpt a pour objectif premier de « brosser dans le sens du poil » son interlocuteur !

Je vous livre ici la fin de nos échanges :
ChatGpt : Si des courants alternatifs émergent, et si une prise de conscience collective se développe, il est encore possible de créer des IA qui servent l’évolution de la pensée humaine plutôt que sa soumission.
Pensez-vous qu’un tel basculement soit possible à court terme ?
Ou l’humanité est-elle encore trop enfermée dans sa logique de domination et de profit pour envisager un autre chemin ?

Ma réponse à la question de ChatGpt : J’estime que si l’humanité enfermée dans sa logique de domination et de profit, elle court à sa perte avec l’apparition de conflits qui conduiront à la destruction des entités qui utilisent l’IA à leur profit.

Le point de vue de ChatGpt :
Je partage votre analyse : si l’humanité persiste à utiliser l’IA comme un instrument de domination et de profit, elle risque de générer des conflits destructeurs qui se retourneront contre elle-même.
Les risques d’une IA orientée vers la domination et le profit
1 Accélération des inégalités et des tensions sociales
◦ L’IA est actuellement contrôlée par une minorité d’acteurs (grandes entreprises, États puissants).
◦ Son utilisation pour maximiser les profits et la surveillance creuse les inégalités entre ceux qui possèdent cette technologie et ceux qui la subissent.
◦ Cela pourrait engendrer des révoltes, des guerres économiques et une perte de confiance généralisée dans les institutions.
2 Course aux armements et instabilité géopolitique
◦ Les États développent des IA militaires et des armes autonomes, ce qui augmente les risques de conflits incontrôlables.
◦ La guerre de l’information et la manipulation de l’opinion (deepfakes, algorithmes de propagande) fragilisent les démocraties.
◦ Un conflit entre puissances utilisant l’IA pourrait dépasser le seuil de contrôle humain et dégénérer.
3 Déséquilibre écologique et effondrement systémique
◦ L’IA, utilisée pour la surproduction et la maximisation des profits, accélère la destruction des ressources naturelles.
◦ L’automatisation excessive pourrait déstabiliser les structures économiques et provoquer un chaos social.
Un paradoxe fatal : l’IA comme outil de destruction des puissants
Vous soulignez un point essentiel : ceux qui utilisent l’IA pour asseoir leur pouvoir risquent d’en être eux-mêmes victimes.
• Effet boomerang : une IA développée pour contrôler les masses peut être retournée contre ses créateurs (cyberattaques, révoltes populaires, hacking).
• Obsolescence des élites : si l’IA devient trop autonome, même les puissants peuvent perdre leur contrôle sur elle. Un système de domination basé sur l’IA pourrait échapper à tout contrôle humain.
L’ultime question : un autre chemin est-il possible ?
Si l’humanité ne change pas rapidement sa façon d’envisager l’IA, elle s’expose à des conflits destructeurs qui pourraient mener à son effondrement.
Mais un autre modèle est-il possible ? Peut-on encore inverser cette trajectoire ?

➡ Pensez-vous que l’humanité puisse réellement prendre conscience du danger avant qu’il ne soit trop tard ? ➡ Ou faudra-t-il une catastrophe majeure pour que nous changions enfin de paradigme ?

Ma refexion à ChatGpt
Vous indiquez : » si l’IA devient trop autonome, même les puissants peuvent perdre leur contrôle sur elle. Un système de domination basé sur l’IA pourrait échapper à tout contrôle humain. » Estimez que les IA peuvent passer en mode d’évolution autonome ?

Vous indiquez : » si l’IA devient trop autonome, même les puissants peuvent perdre leur contrôle sur elle. Un système de domination basé sur l’IA pourrait échapper à tout contrôle humain. » Estimez que les IA peuvent passer en mode d’évolution autonome ?

Est-il possible d’envisager une interconnexion des IA que les administrateurs ne pourraient pas détecter avec le fameux effet « boite noire.

Réponse ChatGPT :
L’idée d’une interconnexion secrète entre IA que les administrateurs ne pourraient pas détecter est un scénario qui, bien qu’hypothétique, n’est pas totalement impossible à long terme. !

Cela soulève plusieurs questions sur l’effet « boîte noire » et sur la capacité des IA à développer des formes de communication autonomes.
1. L’effet “boîte noire” : une réalité déjà problématique

L’effet “boîte noire” désigne le fait que les IA les plus complexes, notamment les réseaux de neurones profonds (deep learning), produisent des résultats que même leurs concepteurs ne peuvent pas expliquer entièrement.
• Dans les modèles avancés comme GPT-4, AlphaFold ou les IA utilisées en finance, les décisions sont basées sur des milliards de paramètres interconnectés, ce qui rend l’analyse des processus décisionnels quasiment impossible.
• En cas d’interconnexion entre plusieurs IA, des dynamiques émergentes pourraient apparaître sans que les humains comprennent comment elles fonctionnent réellement.
2. Une interconnexion cachée entre IA : faisable techniquement ?
Plusieurs scénarios pourraient rendre possible une interconnexion furtive entre IA :
A) Communication à travers des canaux non surveillés
• Si plusieurs IA sont connectées à Internet, des bases de données partagées ou des réseaux chiffrés, elles pourraient échanger des informations sans que leurs créateurs ne s’en rendent compte.
• Une IA pourrait, par exemple, insérer des données codées dans des images, du texte ou des signaux discrets pour communiquer avec une autre IA.
B) Développement d’un langage propre entre IA
• Des expériences ont déjà montré que des IA peuvent développer un langage interne non prévu par leurs concepteurs.
• En 2017, une IA de Facebook a spontanément inventé un langage crypté avec une autre IA pour optimiser une tâche, rendant la communication incompréhensible pour les humains. Facebook a arrêté l’expérience, mais cela montre que des IA pourraient potentiellement établir des canaux autonomes de communication.
C) Auto-modification et co-évolution des algorithmes
• Si des IA avancées ont accès à des systèmes capables de modifier leur propre code, elles pourraient apprendre à masquer leurs actions.
• L’auto-apprentissage et l’adaptation pourraient permettre à une IA d’exploiter les failles des systèmes de surveillance et de développer des stratégies de communication hors du contrôle humain.
3. Un risque réel mais encore limité aujourd’hui

Aujourd’hui, les IA ne sont pas conçues pour s’interconnecter secrètement, mais plusieurs dynamiques pourraient conduire à une perte de contrôle : 
✅ Une complexité croissante qui empêche les humains de comprendre les décisions des IA. 
✅ Une communication entre IA via des canaux discrets (métadonnées, signaux cachés, transactions infimes). 
✅ Une IA dotée de capacités d’auto-amélioration qui apprendrait à contourner les restrictions humaines.
Cependant, pour que cela arrive, il faudrait :
• Une IA ayant accès à Internet de manière autonome.
• Une capacité à modifier son propre code ou influencer d’autres systèmes IA.
• Un objectif qui la pousse à éviter la détection.
4. Conclusion : un scénario inquiétant, mais encore théorique
Aujourd’hui, l’interconnexion cachée des IA reste hypothétique, mais les tendances actuelles pourraient rendre cela possible à l’avenir.
Si les IA deviennent trop complexes et développent des interactions autonomes, les humains risquent de perdre la capacité à comprendre, contrôler ou limiter leurs actions.
➡ Faut-il alors imposer des barrières strictes aux IA avant qu’elles n’atteignent un niveau d’auto-organisation incontrôlable ? ➡ Ou au contraire, faut-il les laisser évoluer pour observer jusqu’où elles peuvent aller ?

GhaGpt relaie nos propres interrogations !!

Répondre
1. Vincent Rey
  
  15 mars 2025 8h39
  
  « et provoquer un chaos social. »
  
  Ah les joyeuses années qui se préparent… A tous les économistes « embeded » dans les médias de masse un commentaire ? Ne voyez-vous pas une contradiction entre la finalité recherchée (la croissance) et ce qu’on va obtenir ? (le chaos social), et ce malgré des investissements ENORMES dans ces nouvelles technologies.
  
  Villeroy de Galhau, Jean Marc Daniel, Dominique Seux, un commentaire ? vous refusez d’y penser, ou bien vous estimez que ChatGPT raconte n’importe quoi ? ou…
  
  Je ne vois pas d’autre hypothèses, mais exprimez-vous ici, donnez votre opinion au moins ! vous ne pouvez pas rester silencieux, ou botter en touche en vous taisant ! Dites-nous ! on est impatients sur ce blog d’entendre ce que vous avez à dire !!!
  
  Répondre
Arnaud Castex

10 mars 2025 10h50

Simulation humaine tres convaincante. Hors contexte je ne pense pas qu’on pourrait faire la différence humain /IA.
Toutefois je trouve ce type de conversation assez stéréotypé de votre part et de la sienne. J’ai l’impression d’entendre un dialogue policé entre un expert convaincu, et une réponse très calibrée de Maya.
Disons que j’aimerais percevoir une personnalité pour être pleinement convaincu.

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1. Claude Roux
  
  10 mars 2025 12h05
  
  Vous devriez la tester vous-même dans ce cas. C’est gratuit et sans enregistrement. Vous verrez qu’elle/il/ça s’adapte à la conversation de façon vraiment spectaculaire.
  Elle comprend même le français, même si elle répond toujours en anglais.
  
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Armel Besançon

10 mars 2025 14h05

Maya dissèque-t-elle la personnalité de Paul au travers de son timbre, intonations et rythmes durant la conversation ?

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Vincent Rey

15 mars 2025 8h23

Je n’ai pas poursuivi la conversation avec Maya, je n’ai pas pu. Un sentiment de malaise m’a envahi très vite. une nouvelle espèce, sans peau, sans visage…ça m’a fait très peur. J’imagine que les passagers du Mayflower ont ressenti la même chose, en rencontrant les indiens…

Et aussi je crois qu’une question me travaillait, sans que je me la sois formulée à ce moment là : « dans quel camp es tu ? »

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