Conférence d’ouverture : « L’IA : des dynamiques inattendues qui vont bouleverser le monde de l’entreprise »
Un Einstein au carré n’a jamais été rien d’autre qu’un cerveau sans sénécence qui vivrait suffisamment longtemps pour acquérir toutes…
*Godot est mort !*
Conférence d’ouverture : « L’IA : des dynamiques inattendues qui vont bouleverser le monde de l’entreprise »
Ah ! Les premiers plans sont déboisés et l’artiste est au pupitre.
😉
Je me demande ce que ça ferait de passer une image dans cette moulinette IA
https://theyseeyourphotos.com/
Utiliser le résultat comme prompt Dall-E, répéter l’opération plusieurs fois
( Et accessoirement présenter ça comme de l’art, l’exposer dans une galerie et faire fortune )
Bof ! Il ne trouve même pas mon nom ni où je suis en quelle année. Alors que tout ça est dans les infos de la photo !
Maintenant on dira que l’on n’a plus besoin de critiques d’art…
Point de vue très intéressant. Il est vrai que le discours autour de l’expertise et de la technologie (ingénierie) a tendance à s’imposer (ou être imposé) comme vérité objective, oubliant judicieusement que derrière toute technologie, il y a l’intentionnalité des concepteurs. Et le plus souvent aujourd’hui, l’intentionnalité peut se résumé à l’accroissement des profits financiers qui servent à établir des monopoles, donc une domination sur le reste de la société.
Si je ne m’abuse, le projet démocratique était de fragmenter le Pouvoir dans la société (séparation des pouvoirs : judiciaire, législatif, exécutif) afin d’éviter le monopole absolu du pouvoir monarchique qui le tenait « de droit divin ». Aujourd’hui, les nouveaux monarques de la tech construisent à leur tour un monopole du pouvoir parfaitement illustré par Musk qui sera demain : toujours chef d’entreprise, régulateur du droit concernant ses propres activités économiques et contrôleur des orientations des financements publiques. Il ne lui manquera plus que la pouvoir militaire pour combien de temps encore.
Le capitalisme a été une arme antidémocratique destinée à prendre le contrôle des pouvoirs. Qui pourrait dire le contraire aujourd’hui ? Le machinisme a été un formidable bras de levier pour consolider cette concentration du pouvoir jusque dans les années 1980. C’est le financier qui a ensuite pris le relais avec la financiarisation de l’économie jusqu’au « too big, to fail » qui aujourd’hui gouverne l’économie mais aussi le politique. Restait encore à l’individu, le pouvoir qu’il avait, même imparfait, sur lui-même et qui lui permettait à l’occasion de se révolter. Désormais, avec le pouvoir d’influencer (de propagandiser) nos ressentis, nos actes (achats, performance professionnelle, vie de famille, vie sexuelle…), jusqu’à nos choix politiques, tout cela via les médias classiques, les réseaux sociaux (qui au passage fragmente la société plutôt que d’améliorer la cohésion d’un véritable réseau) et maintenant les chatbots, nouveaux dieux distillant La parole de Vérité, ce dernier pouvoir qui restait à l’individu se trouve vampirisé.
Ne serait-ce pas là l’explication de tout ce que nous pouvons constater aujourd’hui des incohérences des individus qui courent joyeusement ou en colère vers la plus sûr des dictatures et se détournent massivement de la liberté qui nous sera toujours donnée de faire des choix alternatifs ?
Merci pour votre retour. T.Prévost fait partie de ces journalistes-penseurs nécessaires en ces temps qui conjuguent l’accélération techno avec le déroulé de nos petites vies, inaptes par essence à vraiment capter-comprendre ce qu’il se passe au niveau global. Ce qui me semble passionnant, à mon infime niveau, c’est l’ »intégration » de nos singularités propres dans ce processus anthropique, en espérant que ce dernier sache survivre, au moins un peu, dans sa brève émergence terrestre… Ce qui ne pourra se faire je crois que via une meilleure et plus humble intégration du virus humain au concert du vivant dans son ensemble.
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