J’espère que c’était une nouvelle bidon, mais j’ai entendu il y a peu un spécialiste de Trump dire que ce…
*Godot est mort !*
Félicitations !
Petite conversation avec mon GPT favoris.
On voit arriver à de hautes responsabilités politiques des personnes qui à la base n’était pas en politique. Jusqu’à maintenant, les grands dirigeants d’entreprises préféraient influencer la politique en restant dans l’ombre. Est ce qu’aujourd’hui certains ne seraient pas tentés de prendre directement le pouvoir pour donner plus de poids aux orientations sociales allant dans le sens de leurs intérêts personnels ou professionnels ?
Réponse :
Il est vrai qu’aujourd’hui, on observe une tendance croissante où des dirigeants d’entreprises, particulièrement dans les secteurs technologiques et financiers, s’intéressent à la politique et, dans certains cas, s’engagent directement en tant qu’acteurs politiques. Cette évolution s’inscrit dans un contexte où les intérêts des grandes entreprises et les questions politiques se croisent de plus en plus, notamment en raison des enjeux globaux comme le changement climatique, la régulation des technologies, les inégalités économiques, et la gestion des crises sanitaires ou économiques. Voici quelques raisons pour lesquelles des dirigeants d’entreprises pourraient être tentés de prendre directement le pouvoir politique plutôt que de rester en dehors des arènes politiques :
### 1. **La concentration du pouvoir économique et politique** :
Dans un monde où les grandes entreprises, en particulier dans la tech, ont une influence économique et culturelle considérable, certains dirigeants peuvent ressentir que pour protéger et étendre leurs intérêts, il leur faut plus qu’une influence indirecte. Être à la tête d’un État ou d’une organisation internationale leur permettrait d’avoir un pouvoir direct pour orienter les politiques économiques, sociales et environnementales en faveur de leurs priorités. Par exemple, en matière de régulation de l’intelligence artificielle, des données personnelles, ou de la transition énergétique, des dirigeants comme Elon Musk, Jeff Bezos, ou Mark Zuckerberg pourraient vouloir peser de manière plus directe sur les décisions politiques.
### 2. **Alignement des intérêts économiques et sociaux** :
L’argument d’une politique tournée vers des intérêts personnels ou professionnels n’est pas seulement cynique, mais aussi pragmatique, du moins dans l’esprit de certains dirigeants. Beaucoup de ces leaders d’entreprises croient que les grandes réformes économiques ou sociales, en particulier celles liées à la transition énergétique, à l’innovation technologique ou aux infrastructures, nécessitent des réformes profondes et que ces réformes ne peuvent être efficacement mises en œuvre que par des personnes ayant une vision de l’avenir similaire à la leur. Par exemple, les technologies de l’énergie renouvelable ou des transports (Tesla, SpaceX, etc.) ne peuvent se développer à grande échelle sans des politiques publiques favorables, ce qui pourrait inciter un Musk à s’impliquer directement dans la politique.
### 3. **L’ère de l’anti-establishment et de la contestation des institutions traditionnelles** :
La montée de la méfiance envers les institutions politiques traditionnelles (partis politiques, bureaucratie, etc.) crée une ouverture pour des dirigeants extérieurs au système. Dans un contexte où les électeurs se tournent souvent vers des figures charismatiques ou perçues comme « extérieures » au système, des dirigeants d’entreprises ayant une forte personnalité et une base de soutien populaire pourraient capter un large électorat. La politique semble de plus en plus dominée par des personnalités « disruptives », à l’image de Donald Trump ou de Jair Bolsonaro, qui sont entrés en politique en tant que non-politiciens, ou encore de figures comme Musk ou Zuckerberg qui cherchent à redéfinir les règles du jeu.
### 4. **Les grands enjeux globaux et leur résolution par des acteurs privés** :
Des problèmes mondiaux comme le changement climatique, les crises sanitaires ou les inégalités sociales nécessitent des solutions radicales et une coopération transnationale. Les grandes entreprises jouent un rôle central dans la gestion de ces enjeux (par exemple, les entreprises de la tech et de l’énergie). Si elles estiment que les gouvernements actuels ne répondent pas suffisamment à ces défis ou qu’ils sont trop lents à agir, certains dirigeants d’entreprises pourraient se dire qu’ils sont mieux placés pour prendre des mesures concrètes. Prendre des responsabilités politiques pourrait alors être vu comme un moyen de garantir que leurs initiatives à grande échelle sont menées à bien sans la lenteur ou les blocages typiques de l’administration publique.
### 5. **La question de l’image et du pouvoir social** :
Pour certains, l’engagement politique direct peut aussi être une stratégie pour accroître leur image publique et leur pouvoir social. La politique, comme l’entrepreneuriat, est un terrain où le pouvoir personnel et la reconnaissance peuvent se démultiplier. Des figures comme Musk ou Zuckerberg ont déjà un statut de célébrité et une influence considérable. L’implication directe en politique pourrait renforcer leur position comme leaders d’opinion, voire transformer leur image en celle de figures « providentielles » capables de guider le monde vers un futur meilleur.
### 6. **Le modèle du capitalisme avancé et de la gouvernance hybride** :
On pourrait envisager une forme de « gouvernance hybride » où des dirigeants d’entreprises influentes non seulement exercent un rôle économique majeur, mais aussi prennent des responsabilités politiques ou influencent directement les politiques publiques. Un tel modèle pourrait mener à une fusion de l’État et du secteur privé, une sorte de capitalisme d’État ou de gouvernance à la fois économique et politique. Cela pourrait, en théorie, permettre de résoudre les crises globales de manière plus rapide et efficace, mais avec des risques importants de conflits d’intérêts et de concentration du pouvoir.
### 7. **L’effet des grandes fortunes sur la politique** :
Enfin, le pouvoir des grandes fortunes et des oligarques, notamment dans des pays où les régulations sont plus laxistes, peut inciter certains dirigeants à franchir le pas et entrer en politique. Dans certains cas, des figures comme Musk ou Bezos peuvent choisir de s’engager directement en politique pour défendre leurs intérêts financiers, leur position sur les marchés ou encore pour éviter une régulation trop contraignante. En se positionnant dans des rôles politiques, ces dirigeants seraient en meilleure position pour influer sur les législations qui affectent leurs entreprises.
### Conclusion :
Le passage de dirigeants d’entreprises aux hautes fonctions politiques représente une évolution qui découle de plusieurs facteurs interdépendants : une concentration du pouvoir économique, une crise de confiance dans les institutions politiques traditionnelles, des enjeux globaux nécessitant une action rapide, et un désir d’une plus grande influence dans la prise de décisions. Si certains dirigeants peuvent être motivés par des intérêts personnels ou professionnels, d’autres pourraient y voir une manière d’agir de façon plus directe et efficace sur les grands défis du XXIe siècle. Cependant, un tel phénomène soulève aussi des questions sur la concentration du pouvoir, la transparence démocratique, et les risques d’une fusion trop étroite entre intérêts privés et politiques publiques.
Mes aigues
Du fait que ces grosses fortunes disposent aujourd’hui de pouvoir d’influence très puissants jusque dans les élections avec les médias et les réseaux sociaux, quel pouvoir démocratique reste t-il au reste de la population ?
Réponse :
La question de savoir quel pouvoir démocratique reste au reste de la population, face à la concentration du pouvoir économique et à l’influence des grandes fortunes, est au cœur des débats sur l’état de la démocratie contemporaine. En effet, les grandes entreprises, les médias et les individus les plus riches ont aujourd’hui une capacité d’influence qui dépasse largement celle de simples citoyens ou des groupes sociaux moins favorisés. Voici quelques pistes pour comprendre ce phénomène et ses conséquences :
### 1. **L’influence des grandes fortunes sur les médias et les réseaux sociaux** :
Les grandes fortunes ont un contrôle considérable sur les canaux de communication modernes, notamment les réseaux sociaux et les médias traditionnels. Par exemple, des figures comme Jeff Bezos (propriétaire du *Washington Post*) ou Mark Zuckerberg (dirigeant de Meta) ont un pouvoir direct sur l’information et la façon dont elle est présentée au public. Cela leur permet non seulement de façonner l’opinion publique mais aussi d’influencer les élections, comme on l’a vu dans des campagnes politiques où l’utilisation ciblée des données et des publicités politiques sur des plateformes comme Facebook a eu un impact majeur.
Cette concentration de pouvoir médiatique limite le pluralisme des idées et des voix qui peuvent être entendues dans le débat public. La population, en particulier les groupes sociaux les plus vulnérables ou les moins éduqués politiquement, peut se retrouver dans une position où elle consomme des informations façonnées par des intérêts privés, ce qui peut biaiser sa perception des enjeux politiques.
### 2. **Le financement des campagnes électorales et la « capture » des gouvernements** :
Les grandes fortunes, via des fonds d’investissement, des PAC (comités d’action politique) ou des super PAC (aux États-Unis par exemple), peuvent contribuer massivement au financement des campagnes électorales. Cela donne aux personnes riches et aux entreprises un pouvoir disproportionné pour soutenir des candidats qui défendent leurs intérêts, souvent au détriment des priorités de la majorité de la population. Cette forme de « captation » de l’État par des intérêts privés, parfois qualifiée de « ploutocratie », conduit à un affaiblissement des mécanismes démocratiques traditionnels, où le principe « un homme, une voix » devrait régir la politique.
Lorsqu’une petite élite contrôle une part aussi importante des financements politiques, cela engendre un déséquilibre flagrant entre les désirs de la population et les politiques réellement mises en place.
### 3. **La fragmentation de l’opinion publique** :
L’utilisation d’algorithmes sur les plateformes de médias sociaux, qui tendent à renforcer les croyances existantes (effet de chambre d’écho ou « filter bubble »), a des conséquences sur la manière dont les citoyens s’engagent politiquement. Les citoyens sont de plus en plus exposés à des contenus qui renforcent leurs opinions existantes plutôt qu’à des informations diversifiées. Cela crée des divisions profondes dans la société et empêche la formation d’une opinion publique cohérente et éclairée. En effet, les débats politiques deviennent souvent des affrontements entre groupes idéologiques plutôt que des discussions constructives basées sur des faits.
Ces algorithmes sont largement influencés par les grands acteurs technologiques, ce qui leur permet de manipuler l’accès à l’information. Cela réduit la capacité des citoyens à faire des choix éclairés et à participer de manière active à la démocratie.
### 4. **Les limites des mouvements populaires face à l’oligarchie** :
Bien que des mouvements populaires comme les Gilets Jaunes en France ou les manifestations contre la réforme des retraites en Europe montrent qu’il existe encore une forme de résistance à la concentration de pouvoir, ces mouvements sont souvent limités par leur manque de moyens financiers, de soutien médiatique et de pouvoir d’influence. Les grandes entreprises et les groupes d’intérêt ont la capacité de faire pression sur les gouvernements, de définir l’agenda politique et de contraindre les décisions publiques de manière beaucoup plus efficace.
D’autre part, les mécanismes de lobbying, parfois très opaques, permettent aux grandes entreprises d’influencer discrètement les législations et les politiques publiques, souvent en faveur de leurs intérêts à long terme, au détriment des préoccupations de la population générale. Ce phénomène peut miner la confiance dans les institutions démocratiques.
### 5. **L’érosion de la représentation politique** :
La démocratisation des médias sociaux et l’accès plus large à l’information ont théoriquement renforcé la participation citoyenne. Cependant, dans un contexte où les grandes entreprises dominent l’économie de l’attention, la représentation politique traditionnelle devient de plus en plus faible. Les partis politiques peuvent être capturés par des donateurs puissants ou des groupes d’intérêt, et les élus se retrouvent de plus en plus dépendants des financements privés pour leurs campagnes, ce qui les rend moins sensibles aux besoins de leurs électeurs.
L’érosion de la représentation politique est également liée à un sentiment croissant de déconnexion entre les élites politiques et la population. Les citoyens ont l’impression que les décisions sont prises par une petite élite qui ne comprend pas leurs préoccupations quotidiennes, et l’absence de mécanismes réels de reddition de comptes alimente ce sentiment.
### 6. **Les solutions possibles : des contre-pouvoirs citoyens ?** :
Face à cette concentration de pouvoir, il existe des tentatives pour restaurer le pouvoir démocratique des citoyens. Des propositions comme la réforme du financement des campagnes électorales, la régulation des grandes entreprises de technologie et la création d’institutions plus transparentes et démocratiques sont des pistes pour atténuer l’influence des grandes fortunes.
Par ailleurs, certains acteurs politiques et sociaux cherchent à mettre en place des mécanismes de décentralisation du pouvoir, comme les initiatives de démocratie participative ou les référendums populaires, qui permettent de renforcer le pouvoir de décision des citoyens. Cependant, ces initiatives restent encore relativement marginales par rapport à l’ampleur du phénomène.
### Conclusion : un défi pour la démocratie
Aujourd’hui, face à la concentration de pouvoir entre les mains des grandes fortunes et à l’influence accrue des entreprises sur la politique, le pouvoir démocratique de la population est indéniablement fragilisé. Les grandes entreprises et les individus les plus riches disposent de leviers de pouvoir que beaucoup d’autres acteurs, notamment les citoyens ordinaires, n’ont pas. Cela soulève de sérieuses questions sur la véritable égalité dans les démocraties modernes : si l’accès aux ressources, à l’information et à la prise de décision est dominé par un petit nombre d’acteurs, l’essence même de la démocratie, fondée sur la participation égale de tous, est menacée. Des réformes politiques et sociales profondes seraient nécessaires pour rééquilibrer ces rapports de force et redonner du pouvoir aux citoyens.
Suite
Quand tu parles de gouvernance politique hybride, cela ne ressemble t il pas a ce qui existe déjà en Chine ?
Réponse
Oui, l’idée de **gouvernance politique hybride** — qui combine des éléments de démocratie et d’autoritarisme, souvent sous forme de contrôle technologique avancé et d’une gestion centralisée — peut effectivement évoquer des aspects du modèle politique chinois. Ce modèle est un exemple de **gouvernance autoritaire technologique** où la Chine a intégré des éléments modernes de surveillance, de gestion numérique et de contrôle de la population tout en préservant une façade de gouvernance centralisée par un parti unique. Plusieurs éléments de ce système peuvent être comparés à une forme de gouvernance hybride, qui mêle des pratiques autoritaires avec des technologies modernes, parfois justifiées par un discours de stabilité et de prospérité.
### Comparaison entre la gouvernance hybride et le modèle chinois :
#### 1. **Contrôle centralisé vs participation populaire limitée** :
Dans le modèle chinois, le **Parti Communiste Chinois (PCC)** détient un contrôle absolu sur toutes les sphères politiques, sociales et économiques. Ce contrôle est justifié par l’idée d’unité nationale et d’efficacité dans la gestion du pays. Bien qu’il existe des élections locales, elles sont très encadrées, et les candidats doivent être approuvés par le parti. Ce système est **hybride** dans le sens où il combine une structure politique autoritaire avec certaines formes d’apparence démocratique ou consultative à des niveaux locaux.
Dans une gouvernance politique hybride basée sur l’IA (comme on pourrait l’imaginer dans des sociétés démocratiques avancées), l’élément de contrôle technologique est aussi important. Cela pourrait inclure une surveillance numérique de l’opinion publique, une gestion centralisée des données des citoyens et une certaine forme de **consultation électronique** des citoyens (à travers des sondages, des référendums numériques, ou des plateformes d’engagement citoyen), mais sous un contrôle strict des institutions. L’IA dans ce cadre permettrait de **surveiller, analyser et adapter les politiques** en fonction des comportements des citoyens.
#### 2. **Utilisation de la technologie pour la surveillance et le contrôle social** :
La Chine a développé un **système de surveillance de masse**, notamment à travers la reconnaissance faciale, le suivi des déplacements, les crédits sociaux (le *Social Credit System*), et l’utilisation d’algorithmes pour anticiper et influencer les comportements des citoyens. Ce système permet à l’État de surveiller en temps réel les activités des citoyens et de réagir immédiatement aux comportements jugés « indésirables », qu’il s’agisse de critiques politiques ou de comportements sociaux jugés déviants. Cette **utilisation omniprésente de la technologie pour le contrôle social** est un aspect clé de la gouvernance hybride.
Dans des modèles démocratiques hybrides, une telle surveillance pourrait être justifiée au nom de la sécurité nationale, de la gestion efficace des crises (comme les pandémies), ou même de l’optimisation des services publics. Toutefois, cela poserait des **questions éthiques et des risques d’abus**, surtout si des entités privées, comme des entreprises technologiques, sont impliquées dans le contrôle et l’analyse des données personnelles. L’IA pourrait être utilisée pour analyser des masses de données collectées sur les citoyens, leur comportement et leurs interactions, afin de prendre des décisions politiques « plus éclairées », mais cela pourrait aussi se transformer en une **forme de gouvernance numérique autoritaire** si mal régulée.
#### 3. **Réduction de l’espace de la dissidence et de la contestation** :
En Chine, la **répression des voix dissidentes** et des mouvements de protestation est courante. Les plateformes numériques sont régulièrement filtrées et surveillées, et toute forme de protestation est souvent supprimée rapidement. En parallèle, les citoyens sont encouragés à **exprimer leur soutien au gouvernement** à travers des campagnes et des évaluations sur les réseaux sociaux.
Dans une démocratie hybride soutenue par l’IA, la liberté d’expression pourrait être plus libre en surface, mais une **modération algorithmique** pourrait être utilisée pour supprimer ou discréditer certaines voix considérées comme nuisibles à l’ordre public ou à la stabilité politique. Bien que les autorités puissent faire face à un contre-pouvoir populaire (par exemple à travers des élections ou des mouvements sociaux), **l’intelligence artificielle pourrait être utilisée pour orienter les discussions publiques** et limiter les formes de dissidence ou d’opposition en ligne, de manière subtile et discrète, plutôt que par une répression violente.
#### 4. **Économie dirigée et surveillance des citoyens** :
La Chine combine un système capitaliste dirigé par l’État, où les entreprises privées sont étroitement surveillées et orientées par le gouvernement, avec un contrôle social numérique sur la vie des citoyens. Dans ce cadre, des entreprises privées (comme Alibaba ou Tencent) travaillent en étroite collaboration avec l’État pour récolter des données et influencer les comportements des citoyens.
Dans une gouvernance hybride qui utilise l’IA, des entreprises privées pourraient également jouer un rôle important, mais cette fois sous des formes plus transparentes de collaboration avec les gouvernements démocratiques. Par exemple, des entreprises technologiques pourraient développer des outils pour **analyser les comportements sociaux** et adapter les politiques publiques en fonction de ces analyses. Cependant, contrairement au modèle chinois, ces processus seraient supposés être sous contrôle démocratique (avec des lois de protection de la vie privée et des droits civiques), mais pourraient toujours aboutir à une forme de **gestion technocratique** qui amoindrirait le contrôle direct des citoyens sur le processus politique.
#### 5. **Rôle des IA et des plateformes numériques** :
Dans la Chine actuelle, l’État utilise des outils numériques pour imposer un **ordre social et politique stable**, tout en verrouillant la circulation de l’information. L’IA joue un rôle central dans ce processus. En revanche, dans un contexte de gouvernance hybride plus démocratique, l’IA pourrait théoriquement être utilisée pour **augmenter la participation citoyenne**, par exemple en facilitant des consultations ou des débats en ligne. Cependant, comme dans le modèle chinois, cela pourrait être manipulé pour maintenir un contrôle sur les orientations politiques et sociales, tout en faisant croire à une forme de **participation contrôlée**.
### Conclusion :
La **gouvernance politique hybride** que l’on imagine dans le contexte de l’IA et de la technologie pourrait effectivement partager certains traits avec le système chinois, mais à une échelle plus démocratique et avec davantage de nuances. La différence réside dans le **degré de liberté** et de **participation populaire** qui est autorisé dans ce système. En Chine, l’IA et la surveillance sont au service d’un contrôle autoritaire, alors que dans des modèles hybrides démocratiques, l’IA pourrait être utilisée pour renforcer la transparence, la participation et l’efficience des gouvernements, à condition que des garde-fous éthiques et juridiques soient mis en place pour empêcher l’abus de pouvoir. En fin de compte, la ligne de démarcation entre **gouvernance hybride démocratique** et **modèle autoritaire** réside dans les mécanismes de contrôle et dans la façon dont le **pouvoir citoyen** est protégé face aux pouvoirs technologiques et politiques.
Aller, une pointe d’optimisme. J’aime bien cette phrase d’Edgard Morin, il me semble qui disait, de mémoire, : la seule chose qu’on peut prévoir c’est qu’il y aura toujours de l’imprévu.
Ça laisse une fenêtre !
😉
Avant qu’une autre actu rattrape celle ci, et la fasse oublier.
Non Me Saint-Cricq. Les chants entonnés par des supporteurs israéliens à Amsterdam, n’avaient pas comme « valeurs », que des intonations émises par des « idiots ». Ces chants étaient avant tout ceux de racistes visant les « Arabes ». Ils louaient par ailleurs les tueries de l’armée israélienne, massacrant femmes et enfants « Arabes » de Gaza… en terre Palestinienne.
S’il est vrai que bien nommer les choses, c’est ne pas rajouter du malheur au monde… n’avez vous pas la lourde responsabilité, en plus de celle déontologique de devoir respecter la neutralité et l’impartialité, et en tant qu’éditorialiste politique en chef du service public audiovisuel, de ne pas « dédiaboliser » pareil racisme, en le requalifiant seulement d’idiotie ? Est-ce que pour vous le racisme est ordinaire, à banaliser alors, et l’antisémitisme : le pire des maux de nos sociétés occidentales ?
N’avez vous pas par ailleurs un sens inné et/ou acquis de la mesure, qui plus est, en présence du Grade des Seaux… pour faire savoir à « l’opinion », n’ayant d’autres discours à comprendre, que celui de l’absence du pluralisme des idées ce midi sur Franceinfo… pour lui faire savoir donc, qu’elle comme vous, respecte trop « l’État de droit » pour ne pas ignorer que le racisme, la xénophobie, etc, sont des délits condamnés et punis par la loi, en France.
Même si la juridiction concernée, les Pays-Bas en l’occurrence, et les lois en la matière… nous, public, sont étrangères… au vu de l’ampleur géopolitique de l’affaire (violences envers des supporteurs israéliens, à la suite des propos et actes racistes de ceux ci), n’avez vous pas, en tant qu’« élite », ce devoir « d’exemplarité », celui de nous en instruire d’abord… s’en suivre, d’en mesurer quelle juridiction compétente existe en Europe, pour juger de la gravité ou pas, de pareil délit… avant d’oser vous prononcer, en le requalifier de propos commis par des « idiots »… ?
Ou est-ce que votre égo souffre à ce point de manquer d’écoute, de notoriété… pour justifier et excuser que la subjectivité de votre « opinion », prime sur l’analyse objective des faits, que la justice aura à peser, avant de trancher dans le vif de qui a initié les premières violences, verbales psychologiques, ayant conduites à celles physiques, antisémites, dans cette affaire ?
Si le racisme, la xénophobie, du verbe des supporteurs israéliens, n’étaient qu’une idiotie, dans le contexte de tension géopolitique dramatique, tragique, qu’est censé être connu de tous dans le monde, pourquoi l’antisémitisme dans le verbe des orphelins de Gaza, des mères et pères endeuillés(es) de Cisjordanie, après la perte de leurs enfants… et de leurs soutiens de part le monde… vous serez alors tellement plus insupportable, que le même qualificatif d’idiotie, ne vous suffirez plus ?
Version ChatGPT gratuit du même texte :
« Non, Madame Saint-Cricq, les chants de supporteurs israéliens à Amsterdam n’étaient pas de simples ‘idioties’. Ces propos racistes, visant directement les ‘Arabes’, célébraient les violences commises à Gaza, en territoire palestinien. En tant qu’éditorialiste politique du service public, n’avez-vous pas une responsabilité déontologique à bien nommer les choses ? Réduire de tels propos à de la bêtise n’est-ce pas participer, involontairement ou non, à leur banalisation ?
Bien nommer le racisme, c’est en reconnaître la gravité. Et alors que vous condamnez, à juste titre, l’antisémitisme comme une menace majeure, pourquoi ne pas accorder le même sérieux aux formes de haine visant les populations arabes ?
Votre devoir de neutralité et d’impartialité, surtout face à un public large, impose de nommer les choses avec précision. Peut-on, en toute cohérence, dénoncer l’antisémitisme d’un côté et minimiser, d’un autre, le racisme anti-arabe ? Cela risque de prêter le flanc à une perception où certaines formes de haine deviennent socialement tolérables, tandis que d’autres, à juste titre, restent infranchissables.
Votre position de journaliste d’élite n’exige-t-elle pas de peser chaque mot, surtout dans un contexte où les violences verbales peuvent amplifier les tensions ? Traiter ces chants racistes comme de simples idioties revient à sous-estimer l’impact du discours sur un conflit aux répercussions internationales. Dédouaner le racisme, c’est ouvrir la porte à une banalisation dangereuse – et l’opinion publique mérite mieux que ce silence qui, par omission, cautionne l’intolérable. »
Autre facteur nouveau dans cette campagne. C’est la première campagne électorale sous IA influence !
https://www.facebook.com/share/v/1DYT9Jzfr5/
Comme il est dit à la fin du reportage, beaucoup d’électeurs se demandent maintenant où est la vérité.
La vérité commune n’est-elle pas à la base de la cohésion sociale ? Dès lors que celle ci est mise à mal, alors le processus électoral devient caduque, au moins dans l’esprit d’un certain nombre qui préfèrent se détourner d’une institution rongée par le doute.
Quand la grande majorité des économistes et des journalistes s’en remettent à des indicateurs bidons, tels que le taux de chômage ou le PIB, cette recherche de la vérité ou le vote pour Trump ne peut pas surprendre !!! Vous êtes journaliste ? interrogez vos confrères ! savent-ils que si seulement un toute petit nombre de 93 personnes travaillaient, alors que 7 chercheraient un emploi, le gouvernement pourrait continuer à dire qu’il a réduit le chômage à 7% ?
En France, la situation est catastrophique (mais notre président sourit toujours). Des milliers d’entreprises vont fermer, les finances publiques vont plonger, et la haine se répandre dans nos rues, comme elle a déjà commencé à le faire.
Accrochez vos ceintures, ça va décoiffer
findutravail.net
@Pj,
La valeur du peso mexicain s’est effondrée depuis l’élection de Trump. À votre avis, quels autres pays que le Mexique verront leur monnaie perdre de la valeur ?
Pour le $ US, il semble y avoir deux monnaies, une pour l’intérieur avec une inflation de près de 20% pour se loger, se nourrir, se soigner intramuros … et un $ US plus stable qui n’aurait pas perdu 20% de sa valeur pour l’extérieur.
D’où cette colère et ce vote lors des élections.
Il y a un risque important pour que toutes les monnaies soient dévaluées d’autant en interne (selon cette interprétation) dans bien d’autres pays.
La raison essentielle est la perte de confiance de chacun devant les difficultés qui se présentent et paraissant insurmontables.
Tout, partout, est question de tactique… puis d’ombre et de lumière..
En France :
….. » En théorie, la puissance publique dispose de la capacité de lever les impôts ; elle devrait donc fixer le montant de dépenses qu’elle juge adéquat, puis lever les impôts correspondants, sans générer de déficit. C’est ce qui s’est passé jusqu’au début des années 1970, période qui a correspondu aux prémices du développement du néolibéralisme. Une de ses multiples conséquences a été la gestion désastreuse des finances publiques.
Depuis lors, les déficits ont été permanents et jamais l’équilibre n’a été atteint depuis 1975. Les gouvernements ont systématiquement décidé de ne pas lever tous les impôts nécessaires.
Cela a non seulement permis de ne pas toucher au patrimoine des plus riches, mais cela leur a même permis de le développer en prêtant à l’État (contre rémunération) l’argent que ce dernier refusait de leur prendre. S’enrichir grâce à l’État via la perception d’intérêts sur le montant des impôts non versés : voilà l’une des recettes classiques de la fortune de la ploutocratie. » ……
@otromeros Article très intéressant qu’il faut lire en entier, sur le confusionisme de prélèvement obligatoire (social ou fiscal) et l’importance des transferts.
La responsabilité des gouvernements qui suppriment des impôts et abreuvent les entreprises d’éxonération sociales est totale (avec celle des électeurs qui les élisent !).
La vrai solution serait elle de supprimer le droit de vote à l’age de la retraite ?
https://ires.fr/publications/cgt/un-capitalisme-sous-perfusion-mesure-theories-et-effets-macroeconomiques-des-aides-publiques-aux-entreprises-francaises/ (octo 2022 … situation qui n’a pu qu’empirer..)
….. ‘ L’étude se penche sur cet enjeu des aides publiques aux entreprises en posant quatre grandes questions : Combien ? Pourquoi ? Pour quels effets ? Et enfin, à quelles conditions ?
Les informations statistiques sur l’ensemble des mesures d’aide aux entreprises et leur évolution dans le temps existent, sont publiques mais souvent disséminées et parcellaires…
En particulier, il n’existe pas de catégorie statistique qui les regroupe.
Celles-ci sont constituées de trois composantes : les dépenses fiscales (avec notamment le crédit d’impôt pour la compétitivité et l’emploi et le crédit d’impôt recherche), les dépenses socio-fiscales (exonérations de cotisations sociales employeurs) et les dépenses budgétaires de subvention et d’aide à l’investissement.
Comme le montre l’étude, alors qu’elles oscillaient en moyenne autour de 30 milliards d’euros par an dans les années 1990, elles représentaient un montant de plus de 100 milliards d’euros par an dès 2008, et culminaient à 157 milliards en 2019, avant même la mise en œuvre du « quoi qu’il en coûte ».
Mises en place selon des arguments en termes de compétitivité, d’emploi, d’investissement ou d’innovation, la discussion autour des effets théoriques et la revue de la littérature empirique laissent subsister de sérieux doutes sur la pertinence de ces mesures…
Ces politiques peuvent de surcroît entraîner des effets d’accoutumance et de dépendance pour les entreprises, assorti d’un coût permanent pour les finances publiques et sociales , ceci pour des effets réels, mais souvent transitoires.
Il en ressort l’idée que notre système économique est de plus en plus « sous perfusion » d’aides publiques aux entreprises. » …..
L’interview remarquable de Nancy Pelosi , infatigable combatante et stratege du parti democrate.
https://www.nytimes.com/2024/11/09/magazine/nancy-pelosi-election-interview.html?smid=nytcore-android-share
Oui, mais sera-t-elle capable d’aider les parties « centre-gauche » en capilotade à sortir de leurs silos ? Et à vaincre le discours dominant qui en fait une cible facile pour les droites dures ou extrêmes : « vos histoires de rétablir plus d’égalité, ça ne marche pas, vous bridez les petits business, et il n’y a que les CSP+ qui se gobergent (et votent pour vous en masse car ils ont bien compris ». Donc une forme de désamour, de mépris assez profond… …
Le fin de règne des empires occidentaux, l’épuisement des ressources naturelles, les catastrophes climatiques nous pètent à la figure, de fait, et bouchent l’horizon des possibles.
Dans ce contexte les marchands de soupe populiste qui vendent du passé idéalisé ont un boulevard devant eux.
J’ai bien peur qu’il faille attendre, maintenant, que chacun comprenne par les faits, à force de catastrophes, combien ces clowns se foutent de nous.
Nous sommes dans un moment où le discours n’a plus de prise.
Le vent se lève…!
Le MERCOSUR ( récupéré dans les « poubelles » du Kapitalisme où ‘on’ le croyait moribon.. : https://www.rtbf.be/article/garantir-les-interets-du-monde-agricole-le-parlement-de-wallonie-approuve-la-motion-de-rejet-de-l-accord-commercial-entre-l-ue-et-le-mercosur-11460004 ) et les paysans qui n’arrêtent pas de « voir passer le train » … peut-être/probablement ..!
La grève SNCF pendant les départs(?) en ‘vacances d’hiver’ … grand classique éculé… (sauf à connaître d’une ‘coordination’ séquentielle inimaginable … mais… le hasard..!?
Et surtout, en cette semaine maudite… un premier « mort-Retaillau/Nunez » …
Est-ce que « nos » IA auraient conseillé
1) d’annuler / délocaliser dans l’anonymat/autre (intéressant de « lui » demander) la « rencontre » (foot) de jeudi soir FRANCE-ISRAEL
2) d’interdire cet ( » immonde » , adjectif qualificatif qui m’est personnel) » gala » de récolte de fonds …
11/11/24
Gala Israël : des lunettes pour le préfet !
A en croire les photos, le préfet de police de Paris, Laurent Nunez, porte des lunettes. C’est un fait. Mais peut-être est-il temps pour lui, comme périodiquement pour tous les atteints de myopie ou de presbytie, de changer de lunettes. En effet, le préfet vient de déclarer sur BFM ce 10 novembre qu’il ne « »voyait pas » » pour quelles raisons il interdirait le gala « »Israël is forever » », qui doit se tenir ce mercredi 13 novembre à Paris, « »au service de la puissance et de l’histoire d’Israël » ».
Les fonds récoltés serviront à financer l’armée israélienne et la colonisation en Cisjordanie . L’objectif même de l’événement est ILLICITE. Le préfet le sait et refuse pourtant de l’interdire.pic.twitter.com/QzMnQ8yrDK
— Rafik Chekkat (@r_chekkat) November 10, 2024
Le préfet de police est pourtant parfaitement conscient que le gouvernement français est en désaccord avec le ministre israélien Bezalel Smotrich, auteur de propos « »condamnés par la France » », qui doit participer à ce gala -ce dernier point n’étant pas certain, sous-entend le préfet qui « »a compris finalement qu’il ne sera pas là » ».
Le préfet Nunez n’est d’ailleurs pas le seul haut responsable atteint de myopie. Saisi en référé, le tribunal de Paris n’a pas vu non plus pour quelles raisons interdire ce gala.
Sans doute ni le préfet -problème de lunettes ?- ni les magistrats du tribunal administratif n’ont-ils lu l’enquête de « Charlie Hebdo » de Coline Renault, publiée le 7 novembre en « exclu Web », sur l’association « Israël is forever » » », organisatrice du gala.
Il n’ont pas lu que la présidente de l’association, Nili Kupfer-Naouri, fille du fondateur Jacques Kupfer, s’était rendue en février dernier à la frontière égyptienne de gaza, pour entraver la distribution de l’aide alimentaire ; qu’elle souhaitait « »raser définitivement Gaza » », afin » « qu’on puisse y installer une grande réimplantation juive, si Dieu le veut » ; « qu’elle s’en était pris à plusieurs reprises au grand rabbin Haïm Korsia ou au CRIF, soupçonnés d’islamogauchisme.
Sans doute le préfet n’a-t-il pas véritablement eu connaissance non plus de sa saisine par le député LFI Thomas Portes, qui cite pourtant un certain nombre de propos de Nili Kupfer-Naouri, que l’on pourrait assimiler à une apologie de crimes contre l’humanité, comme celui-ci : « »il n’y a pas de population civile innocente à Gaza ». »
Sans doute Laurent Nunez n’a-t-il pas eu connaissance de cette interview de Nili Kupfer-Naouri du 31 mars dernier, dans laquelle cette aimable responsable associative qualifie les territoires illégalement occupés par Israël de « »Judée et Samarie » », appellation usitée par tous ceux, en Israël, qui refusent la résolution 242 des Nations-Unies au nom de « »l’injonction divine donnée par Dieu à Abraham » » de « »quitter la maison de son père » » et de construire des colonies, des avant-postes, des routes d’apartheid, et des check-points pour les Palestiniens.
La présidente de l’association « Israel Is Forever », que la France accueillera avec les honneurs ce 13 novembre, représente ce qu’il y a de pire dans le sionisme. Regardez… pic.twitter.com/zzaw6iZVyk
— Debunker NEWS (@debunker_news) November 10, 2024
Le préfet est d’autant plus excusable que ces quelques informations ne lui ont -Problème de lunettes également ?- pas été rappelées par la journaliste de BFM Neila Latrous laquelle, au contraire (voir la vidéo ci-dessus) lui demande si « »dans ce contexte de tensions, il est prévu de renforcer la sécurité autour des lieux de culte juifs et des écoles juives » ».
Pas davantage par les principaux médias français, hors le site web de » Charlie Hebdo ».
<bSi une association "Palestine is for ever "organisait à Paris un" "gala"" afin de financer les activités militaires du Hamas, sans doute serait-il -heureusement- interdit dans la minute.
Le gouvernement français ayant, avec constance, condamné les colonies illégales en Cisjordanie, et la loi étant égale pour tous, l’autorisation par le gouvernement du gala du 13 novembre ne peut donc être qu’un problème de lunettes.
D’urgence, des lunettes pour le préfet ! »
En FRANCE… cette semaine donc..
Étant (aussi) donné que pas plus tard qu’hier… un premier pas ..
Haaretz | Israel News
Israel at War Day 401 |
» Israel Calls on Citizens to Avoid Sport and Cultural Events Abroad That Involve Israeli Participants »
( Israël appelle ses citoyens à éviter les événements sportifs et culturels à l’étranger impliquant des participants israéliens )
Un peu de recherche … sur @NaouriNili (fille de feu son père fondateur du truc..)
https://x.com/LouisBoy52/status/1855843592050470984/photo/1
Ça a l’air cohérent.. Qu’ajouter..?
Americafirstpolicy vs Projet 2025 ou un mix des deux ???
2 projets de Think tank ( groupe de réflexion) en concurrence
https://en.wikipedia.org/wiki/America_First_(policy)
https://fr.wikipedia.org/wiki/Projet_2025
************
https://agenda.americafirstpolicy.com/
L’agenda de l’Amérique d’abord
L’Amérique mérite un avenir meilleur et plus brillant. Les citoyens américains ont besoin de politiques qui les placent en premier au lieu de politiques qui leur font obstacle. L’AFPI présente maintenant l’agenda America First. Sur ces pages, vous verrez un plan pour établir des politiques qui maintiennent l’Amérique d’abord, toujours.
(traduction)
**************
Un article de Forbes
Le plan politique d’America First définit un certain nombre de priorités conformes aux opinions politiques que Trump et ses alliés ont poussées, notamment
* l’imposition de droits de douane sur les produits importés,
* la réduction des taux d’imposition des sociétés,
* la protection de la « liberté religieuse »,
* l’augmentation de la production nationale de pétrole et de gaz,
* l’élimination des efforts de lutte contre le changement climatique,
* l’opposition aux politiques soutenant les droits des transgenres,
* l’opposition à toute mesure de contrôle des armes à feu.
* imposer des exigences de travail pour les bénéficiaires de Medicaid,
* freiner l’immigration
* réduire le rôle de l’Amérique dans l’aide aux conflits internationaux.
* ….
L’ordre du jour n’appelle pas à interdire complètement l’avortement au niveau fédéral, mais plaide pour la suppression du financement de Planned Parenthood.
Il n’adopte pas non plus la proposition de Trump pour les expulsions massives d’immigrants sans papiers, mais appelle à l’achèvement du mur frontalier entre les États-Unis et le Mexique, à l’augmentation du financement des agents frontaliers et à la fin des programmes d’immigration légale tels que les voies d’immigration familiales et la loterie des visas.
(traduction de Forbes)
La transition de l’ancien président Donald Trump à la Maison Blanche sera probablement influencée par l’American First Policy Institute, car des rapports avant les élections suggéraient que le groupe politique de droite semblait fournir à Trump des suggestions politiques – plutôt que le programme du Projet 2025 qui a fait l’objet d’un examen plus approfondi.
Des publications telles que Politico et le New York Times ont rapporté avant l’élection que le groupe était devenu le « principal partenaire » de la campagne Trump dans l’élaboration de plans pour une deuxième présidence Trump, proposant des centaines de décrets que Trump peut mettre en œuvre et rencontrant des lobbyistes qui veulent influencer un second mandat de Trump.
L’avenir nous donnera plus d’informations et en particulier sur les prochaines nominations
A suivre
Réflexion à laquelle on peut ajouter la nouvelle nomination :
Susie Wiles : la femme de l’ombre surmonnée la « femme de glace »
où l’éminence grise de Trump
Une éminence grise est un conseiller influent, qui peut aller jusqu’à exercer réellement le pouvoir, tout en restant dans l’ombre d’une personnalité politique ou publique.
https://www.politico.com/news/2024/11/07/5-things-you-need-to-know-about-susie-wiles-00188391
Pour info Wiles à gérer , en tant que directrice, la campagne gagnante de Trump et vient d’être nommée cheffe de cabinet:
C’est la première nomination officielle de Trump
Le 7 novembre 2024, le président élu lui confie l’un des postes clés de sa future administration, celui de cheffe de cabinet (équivalent à secrétaire générale de la Maison-Blanche).
Elle est la première femme à occuper cette fonction.
USA.
A défaut de pouvoir augmenter le nombre de jours formant UN MOIS … Jusqu’à la nausée… :
» » » …..
A la veille de l’échéance fixée par une lettre appelant à l’augmentation dans les 30 jours des quantités d’aide humanitaire entrant dans Gaza, le porte-parole du département d’Etat Vedant Patel a dit, à propos d’Israël :
« Nous n’avons pas évalué qu’ils enfreignaient le droit américain ». » » » ……………💀💀🤑🦂
J’espère que c’était une nouvelle bidon, mais j’ai entendu il y a peu un spécialiste de Trump dire que ce…
Oh ! Python !
USA. A défaut de pouvoir augmenter le nombre de jours formant UN MOIS … Jusqu’à la nausée… : https://www.lalibre.be/international/amerique/elections-us/2024/11/12/les-etats-unis-affirment-quisrael-nenfreint-pas-le-droit-americain-concernant-laide-humanitaire-a-gaza-4VSTH2CHONGTPC725J4YCRBHGM/ « …
@arkao Ce qui est sûr c’est qu’après avoir remué du fumier toute la journée venir sur ce blog et voir…
Elon va bientôt proposer de remplacer la cellulite(de nos…) par du WD40(pour nos…). En tout cas « la redoute » c’est vraiment…
Qu’est-ce qui est plus terrifiant dans l’IA ? Ces vidéos : ou ChatGPT 4o proposant de remplacer la graisse de…
@ilicitano En effet on commence à voir circuler des choses sympathiques 😉 https://www.youtube.com/watch?v=rsoPiJ1ygzY https://www.youtube.com/watch?v=0D_REoHRkpw Sponsorisé par Playboy? 😉 Il va…
@GmM SSM est mis pour « Stabilité Structurelle et Morphogénèse », sous-titré « Essai d’une théorie générale des modèles ». C’est pour moi de…
@otromeros Faire un film pas à pas réalisé par une IA , telle Sora ou autre, serait encore du virtuel.…
Je prolonge ici, à la bonne place car concernant la réciprocité, deux commentaires placés par erreur en VII (Rousseau). Je…
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