Comme un regret … après une candidature( à l’investiture démocrate) sabotée de l’intérieur.. … » Aux Etats-Unis, la gauche tente de…
*Godot est mort !*
Hors de toute référence connue… un nectar/ersatz (ou inversement) … le graal..!..le vrai …L’ I.A. supplantée…?
» … Mais un Etat XXS, grand comme un mouchoir de poche : à peine 10 hectares, soit, 20 terrains de football. Environ un quart de la taille du Vatican.
Ce micro-état comprendra une salle de prière, un musée, une clinique, des bureaux. Mais pas de garde-frontières (donc pas d’équivalent des gardes suisses).
Pas de tribunal, pas d’armée.
Mais une administration et des passeports.
Et seuls les dignitaires et le personnel administratif pourront obtenir la citoyenneté.
Particularité de cet Etat musulman : l’alcool y sera autorisé, et les femmes pourront s’habiller comme elles le souhaitent, sans obligation du voile.
L’Etat n’imposera aucune règle de vie.
Car, c’est là une des caractéristiques des Bektachis : leur ouverture et leur grande tolérance. « Toutes les décisions seront prises avec amour et bienveillance », affirme le chef suprême des Bektachis, sa Sainteté Baba Mondi, 65 ans, la barbe longue et blanche. Baba Mondi qui s’est dit agréablement surpris, car, en réalité, l’idée de créer un Etat souverain ne vient pas de lui, mais du Premier ministre albanais, Edi Rama. »
@otromeros Belle opportunité avant que l’Albanie n’entre dans l’U.E. qui poserait sans doute plus de problêmes que l’OTAN. Un nouveau territoire d’exception pour assurer liberté d’expression (radio vatican / radio tirana) et paradis fiscal.
En cette année 2023, le monde s’alarme.
L’avenir collectif de l’humanité ne sait plus à quel saint se vouer.
Le réchauffement climatique va réduire les espaces habitables, les ressources terrestres ne semblent plus en mesure de pouvoir assurer la survie de 8 milliards de terriens.
Ce monde en tensions ouvre un large fossé aux conflits pré-existants, attisant les inégalités et les injustices.
Dans ce monde en ébullition, sans repère pour établir des valeurs communes, équitables et partagées, quel Moïse va descendre du Sinaï, les bras chargés de lois nouvelles ?
Quelle autorité morale après l’échec de plus de 2000 ans d’Histoire judéo-chrétienne peut-on encore espérer pour guider les peuples sur les voies de la concorde ?
…
@Hervey « Le réchauffement climatique va réduire les espaces habitables » Est-ce si sûr ? On semble se baigner de nouveau parfois dans le Sahara et la Sibérie est bien vaste …
Dans les milliers d’années qui ont précédé notre ère, le Sphinx ou les pyramides, voire les mégalithes ont-ils été érigés par des IA ?
@Ruiz
Vu le nombre de villes et d’habitants qui bordent les mers et résident sur d’autres zones inondables … j’ai quelques doutes sur ces signes d’optimisme.
Sauf à imaginer une ruse de la raison d’un nouveau genre attribuée à la nature elle-même (du type ruse de la raison) se mettre dare-dare à réguler d’elle-même la population mondiale.
Mais pourquoi pas.
D’autant qu’en suivant l’actualité rien n’interdit de penser à une solution encore plus rapide selon laquelle la dite nature serait démultipliée au carré par la présence renforcée de la nature humaine herself.
Vous voyez ce que je veux dire ?
@Hervey Qu’il y ait une atteinte aux espaces habités c’est très probable et d’importance pour des villes comme New york et Beyrouth qui ont cependant d’autres soucis (le 11 septembre est déjà bien loin).
La population Chinoise se régule elle-même, l’africaine c’est moins sûr, n’est elle pas atteinte par « les limites de la croisance » ?
Quand à l’hiver thermo-nucléaire il résoudrait la surpopulation, mais aussi semble-t-il le réchauffement !
La technologie existe !
@Docteur Folamour
🙂
Propos aberrant !
A quand l’autorégulation de la population Ruizoise?!
Je me permets de rebondir à la fois sur la vidéo d’aujourd’hui et sur le commentaire d’@Hervey.
Dans la vidéo PJ fait remarquer qu’une entité plus intelligente qu’un Dieu est apparue que le même PJ nomme la Singularité .
Mais alors comment considérer les origines de la religion à savoir les rites, les mythes qui furent aussi les fondements du langage . Si j’ai bien saisi seul un démiurge pouvait avoir « inventé » les religions et surtout la religion judéo chrétienne .Là je note que @Hervey se pose la question , quelle autorité morale, j’irai plus loin , puisque Singularité il y a est il toujours pertinent de prendre comme prémices la religion et par là même la Philosophie , la théologie voire même in fine les Mathématiques ?
La philosophie du langage dont quelque part les LLM’s sont le fruit ont abouti à la Singularité n’est ce pas en fait l’Homme qui est démiurge ?
( commentaire fruit d’une réflexion au fil de l’eau excusez le côté brouillon )
@Khanard,
Je suis étonnée que cette vidéo soit la plus positive que j’aie entendue au sujet de l’IA.
Le concept d’ »être plus intelligent qu’un Dieu » mentionné par PJ est une nouvelle façon de penser tellement étonnante, qui nous oblige à sortir des sentiers battus et à explorer de nouvelles possibilités. Cela peut soulever des questions sur la religion et l’éthique, mais je pense que ce changement de mentalité nous aidera à résoudre les problèmes complexes auxquels nous sommes confrontés de manière innovante (réchauffement climatique, guerre, etc.).
(Pour vous, le réchauffement climatique, la guerre, etc. seraient en tête de liste des problèmes auxquels l’humanité est confrontée, et je ne suis que trop conscient de leur importance).
L’arrivée de la singularité nous obligera à nous demander si les questions religieuses et philosophiques sont toujours valables ou si nous avons besoin de nouvelles formes de codes moraux. Les discussions sur la manière dont la singularité affectera ces questions sont essentielles, en particulier compte tenu du contexte historique dans lequel la religion et la philosophie ont exploré le sens de l’existence humaine.
Le LLM vise à dépasser l’imitation du langage et de la pensée humaine, et même si nous devons admettre que l’œuvre d’un artiste qui a mis 12 ans à créer a dépassé son œuvre précédente en trois secondes, la créativité humaine et les questions morales joueront toujours un rôle important, même lorsque la singularité arrivera.
L’idée de PJ aborde la religion, la philosophie et les réflexions profondes sur l’existence humaine et nous amène à repenser les questions complexes auxquelles nous sommes confrontés dans la société moderne.
Les réflexions de PJ ne sont pas seulement provocatrices, elles suscitent également des discussions importantes sur la manière dont notre société envisage et prépare l’avenir. Ce type de réflexion créative et provocatrice est essentiel au progrès humain, et nous parlons ici de l’avenir.
Je suis toujours étonnée par les idées et les valeurs conservatrices et fermées sur l’avenir… En plus, je suis étonnée que je fréquente très souvent et que je mette mes commentaires sur un blog de gauche.
En général, j’écoute ou je vois les avis politiques dans les médias différents par rapport à la politique… mais ici, les gens de gauche sont très fermés, c’est dommage…
@Mango
allez voir la réponse que je viens de formuler à @Hervey , pour l’instant je n’ai pas mieux .Mais je vais y réfléchir.
Il n’y a pas de honte à venir sur un blog de gauche 😉 (reste à démontrer qu’il soit de gauche , je dirai plutôt humaniste )
Vous connaissez sans doute mon engagement à gauche et tant qu’on ne m’aura pas prouvé factuellement que le conservatisme de droite est une bonne chose je resterai de gauche . Je suis assez serin sur ce sujet car depuis Adam Smith et quelques autres, force est de constater que leur théorie ne fonctionne pas, bien au contraire ! on rame dans la falaise maintenant !
Tous les indices sont au rouge mais peu importe !
Depuis qu’Adam Smith est serin, il fait cui-cui…
Et depuis qu’il est colibri il fait pluie-pluie…
@Khanard
La question que je me posais (en avril 2023) était de savoir si l’IA allait elle-aussi être crucifiée !
Les images ou peintures choisies sont parlantes pour tous ceux issus de cette culture.
La vérité portées par les évangiles n’a pas pris, ne s’est pas enracinée pour de multiples raisons, on peut en citer deux :
1. L’histoire (fils de Dieu) n’était pas crédible.
2. Les pouvoirs de domination se seraient emparé du sujet à d’autres fins.
Aujourd’hui l’IA vient en quelque sorte remplacer l’espace vide du point 1 et de manière assez semblable, les pouvoirs de domination vont faire leur possible pour s’approprier cette autre nouvelle invention.
Il existerait donc bien, me semble-t-il, des équivalences de cet ordre avec l’émergence de l’IA comme si cette quête intemporelle de l’explication du monde de type théologique venait de s’ouvrir avec l’IA comme une fenêtre pour expliquer enfin les mystères qui nous échappent, ces vielles interrogations existentielles toujours présentes et bien autres problèmes attenants.
@Hervey
Votre commentaire est très intéressant mais il souffre d’un postulat un peu bancal . Je m’explique .
Le 1) n’est possible que si l’on s’impose une ignorance égocentrique des autres religions . Si on prend par exemple le confucianisme , et je précise que je n’en suis pas du tout spécialiste, mais je crois savoir qu’ils n’ont pas crucifié le fils de leur dieu . Donc il va être difficile pour eux de sacrifier l’IA .
Pour le point 2) je ne sais pas encore si l’on peut aboutir à cette perspective.
Nous raisonnons face aux IA’s en tant qu’occidentaux c’est à dire en tant que judéo-chrétiens et à ce titre nous imposons notre façon de voir mais pas sûr que les confusionnistes, taoistes, hindouistes , musulmans etc… se posent les mêmes questions concernant la Raison, l’Intelligence, l’Esprit .
@Khanard
« Mort de rire » aurait dit un jour Nietzsche en entendant un Dieu annoncer qu’il était le seul …
Y a bien pléthore.
Peuvent même pas tous figurer sur la photo :
🙂
https://hervey-noel.com/des-dieux-et-des-hommes/
Pas de Dieu en Chine malgré certaines pratiques d’ethnies minoritaires. Le confucianisme n’est pas une religion, le bouddhisme non plus d’ailleurs malgré ses moines et ses temples … (dans la mesure où je peux librement parler d’eux) …
Très intéressant pour la vidéo, je suis très passionné par l’IA.
J’ai lu un article sur l’avis de Tiff Macklem concernant l’IA (gouverneur de la Banque du Canada).
À l’inverse de son point de vue négatif, je pense que l’IA crée de nombreux emplois et que les avancées technologiques ont créé de nouvelles opportunités.
Bien sûr, la destruction d’emplois suscite des inquiétudes, mais les entreprises peuvent protéger les emplois existants et créer de nouvelles opportunités en intensifiant les programmes de réaffectation et de reconversion de la main-d’œuvre au fur et à mesure de l’adoption de l’intelligence artificielle.
Lorsqu’un petit nombre d’entreprises forment un monopole, les économies d’échelle leur permettent de réduire les coûts et d’investir dans la recherche et le développement, ce qui se traduit par une baisse des prix et des produits de meilleure qualité pour les consommateurs. Les start-ups peuvent se développer en étant innovantes et adaptables, en ciblant des niches de marché spécifiques.
En outre, je pense qu’il y a un côté positif à la crainte que l’IA provoque de l’inflation. L’IA peut en effet contribuer à la stabilité des prix en maximisant la productivité et en réduisant les coûts, et elle peut stimuler l’innovation et la concurrence, ce qui peut entraîner une baisse des prix. Elle peut contribuer à la diversification de l’économie en facilitant l’allocation des ressources et en créant de nouveaux marchés.
L’IA est une opportunité de stimuler une croissance économique durable, et nous devons accepter ce changement.
@ Kikok
1) “Je pense que l’IA crée de nombreux emplois…”
Le problème dans le cas des emplois comme dans d’autres, c’est qu’il ne faut pas penser ou croire, ce qui amène trop souvent des supputations erronées. Il faut, des chiffres, des statistiques fiables qui ne sont pas de l’ordre de la croyance mais des faits réels, sans quoi chacun peut donner son avis personnel sans contribuer à faire avancé la vérité.
2) “L’IA est une opportunité de stimuler une croissance économique durable, et nous devons accepter ce changement.”
Pas sûr. Aujourd’hui de nombreux experts (climatologues, économistes, etc…) estiment, que pour des raisons environnementales, une croissance économique infinie même durable est impossible. Les ressources terrestres sont limitées, ce qui limite également une croissance sans fin.
@Luc La croissance économique c’est une croissance des valorisations monétaires nécessaire à « l’équilibre dynamique » des banques, fondamentalement déséquilibré (comme la dette budgétaire chronique) celà n’implique nullement une croissance matérielle, des flux matières ou énergie, qui s’avèreraient limités, cela implique en revanche pour satisfaire la contrainte une hausse progressive des prix correpondants et une baisse du pouvoir d’achat réel moyen en flux matière (CO² ..).
L’IA ne peut stimuler la croissance possible que si elle permet de réaliser et vendre des services qui consomment moins de flux matière et énergie, c’est à dire vendre de la complexité facilement reproductible et personnalisable : des voyages virtuels chez soi en réalité virtuelle plutôt qu’en charter low cost … des discussions animées dignes du café du commerce sans être soumis aux aléas de la viticulture et de la production énergivore de bouteilles en verre ukrainiennes avec du gaz russe ? …..
@Ruiz 11h46
Tous match de foot ou de rugby ou… exclusivement en virtuel… une pièce de « vie extérieure » à ajouter aux « classiques » (Hall/cuisine/WC/S.à M./Salon/Ch…) … équipement-standard : un lit, un vélo fixe, un espalier,un épandeur de saveurs gazeuses (compléter)
Pièce où l’on entre équipé, selon le but choisi au préalable par consultation de sites spécialisés sur le net.
Casque de virtualité et accessoires de pleine jouissance indispensables fournis sur le seuil d’habitation par robot-drône « Amazoumimmédiat » dans la demi-heure de passation de la commande.
Durée de « para-voyage’expérimentalisé’ » variable selon destinations et para-expériences choisies.
Satisfaction garantie.
Dans les ‘zaccessoires’ incontournables, j’ai oublié un piolet… indispensable pour l’après-midi où on décide de se « faire » l’Éverest..
On ne parle jamais de piolet sur un blog de gauche!
Ça porte malheur!
😎
@Garorock Les premiers de cordée préfèrent les pics à glace ?
https://www.sudouest.fr/culture/histoire/le-saviez-vous-l-assassin-de-trotski-a-vecu-a-bordeaux-et-a-dax-12444433.php
@Ruiz
“…des voyages virtuels chez soi en réalité virtuelle plutôt qu’en charter low cost.”
Pensez-vous qu’il s’agit réellement de voyages ? Difficile à admettre puisqu’ils sont justement virtuels. Les bienfaits du soleil, l’air de la mer ou de la montagne, les rencontres avec d’autres personnes, je ne pense pas que cela puisse ne se dématérialiser par un artifice quelconque. Le contact physique et a encore de beau jour devant lui et tant mieux.
@Luc,
Je suis d’accord avec ce que vous avez dit. Cependant, la recherche et le développement sont essentiels pour obtenir des statistiques réelles sur la création d’emplois grâce à l’IA. Disposer de données fiables nous aidera à comprendre l’impact sur chaque secteur et permettra aux gouvernements et aux entreprises d’élaborer de meilleures politiques.
En ce qui concerne la croissance économique durable, de nombreux experts affirment qu’une croissance illimitée est difficile en raison de l’épuisement des ressources et de la dégradation de l’environnement. Toutefois, j’aimerais souligner mon avis personnel : une croissance économique durable est tout à fait possible grâce à l’IA.
Par exemple, l’IA peut gérer efficacement la production et la consommation d’énergie renouvelable. Elle peut optimiser le fonctionnement des parcs solaires et éoliens afin de réduire les pertes d’énergie et de garantir la fiabilité de l’approvisionnement. Elle peut également contribuer à la création d’environnements urbains durables en gérant intelligemment le trafic urbain, la consommation d’énergie, la gestion des déchets, etc. Les systèmes de gestion du trafic alimentés par l’IA peuvent réduire les embouteillages et la pollution de l’air.
Certains pays d’Asie créent déjà des villes intelligentes, tandis que l’Europe est à la traîne. Bien sûr, les guerres sont nombreuses actuellement, mais la coopération internationale en matière de ressources pourrait permettre d’aller de l’avant.
@Kikok
Malgré toutes les avancées technologiques et la performance énergétique que permet l’IA, les consommations d’énergie, la pollution et les émissions de CO2 continuent d’augmenter dans le monde. Certes, vous pouvez espérer que cela change mais actuellement, les statistiques indiquent le contraire même en Asie avec ses “villes intelligentes”. Ne nous berçons pas d’illusions ou d’espérances trompeuses, tant qu’on ne verra pas une amélioration chiffrée de la situation nous serons dans l’erreur en pensant être sauvé par autre chose que nos actes et comportements, lesquels doivent sans doute passer par une forme de décroissance et de sobriété, en tous cas pour les pays les plus riches.
Rien à voir avec le « schmilblick » me diriez vous ? Après avoir échangé longuement, âprement même, et travaillé avec plusieurs textes personnels, publiés sur ma page FB comme ici même (sur fond de propositions programmatiques de notre hôte)… et la version gratuite de Chat-GPT, il est proposé à la lecture ce texte.
« Quitte à « disrupter », et « diffracter » la société et la politique, pourquoi pas comme ça ?
Dans un contexte où les inégalités sociales, scolaires, et territoriales ne cessent de croître, où la grande pauvreté resurgit avec brutalité, les collectivités territoriales se retrouvent en première ligne, tentant de colmater les brèches d’un système social qui s’effrite. Si l’État s’efface de plus en plus de ses responsabilités en matière de redistribution et de solidarité (« l’État ne peut pas tout » il paraît), en partie à cause des coupes budgétaires et des politiques d’austérité, il laisse aux collectivités locales la lourde tâche de gérer ces urgences sociales, souvent avec des moyens dérisoires. Pourtant, face à l’explosion des NON RECOURS aux prestations sociales comme le RSA, et aux files d’attente de plus en plus longues devant les associations caritatives distribuant de l’aide alimentaire, il est indéniable que la situation échappe peu à peu à tout contrôle.
Mais cette crise sociale, largement aggravée par des décennies de politiques néolibérales, à laquelle se rajoute, l’incertitude des conséquences à moyen et long terme de la crise climatique, de la perte de la biodiversité, des « guerres de civilisations »… atteint son point d’orgue avec la proposition de fusionner les aides sociales sous prétexte de « faire des économies ». Sous couvert de « simplification administrative », ce projet prévoit de conditionner ces aides à une forme de « bénévolat contraint », soit 20 heures de travail gratuit par semaine pour les plus précaires. Vous travaillerez vous, gratuitement (pour percevoir ce soi-disant « pognon de dingue mis dans les minimas sociaux, qui fait que les pauvres le restent et se déresponsabilisent »), chez celui ou celle vous ayant auparavant discriminé en toute impunité, au faciès, au poids, à la laideur, au handicap, etc … ? Ce principe illustre non seulement une déshumanisation rampante des politiques sociales, mais également une nouvelle forme d’assistanat inversé, où ce sont les plus vulnérables qui se retrouvent forcés de « mériter » une solidarité qui leur est pourtant due.
Plutôt que de réduire les inégalités, cette approche les aggrave. Elle impose aux bénéficiaires des aides sociales un travail gratuit, tout en les suspectant constamment de fraude ou de paresse. En cela, le gouvernement persiste dans une logique de déresponsabilisation de l’État, qui se décharge de ses obligations sociales sur des structures locales déjà en crise – est-ce cela, la digitalisation de ce service public de la redistribution des minimas sociaux, déresponsabilisant à leur tour, les collectivités, l’étape d’après d’une interprétation subjective du « principe de subsidiarité » ? Ce processus de « redistribution à la source » masque mal une politique qui, au lieu de s’attaquer aux racines des inégalités, ne fait que les reproduire sous d’autres formes.
Et que dire du rôle des technologies dans cette désensibilisation ? La numérisation, la dématérialisation des services publics – déjà largement entamée dans les CAF avec les guichets automatisés ou les plateformes numériques – s’accompagne d’une privatisation partielle et insidieuse des fonctions régaliennes de l’État. Cette transformation vise non seulement à réduire les coûts, mais aussi à déshumaniser la relation entre les institutions, les politiques, et les citoyens (et entre citoyennetés elles même d’ailleurs), en particulier les plus précaires, qui se retrouvent face à des machines sans visage (« mon ennemi c’est la finance »), sans empathie. Combien de personnes a qui le RSA fut confisqué, se sont immolés par le feu devant et/ou dans des bureaux de CAF ? Ce processus de digitalisation, présenté comme inéluctable, sert de prétexte à un « dégraissage » des effectifs de la fonction publique, jugés en surnombre, trop « abondants », et accusés de « générosité coupable ». Le résultat ? Une exclusion supplémentaire pour ceux qui ne parviennent pas à s’adapter à ces nouveaux systèmes dématérialisés, renforçant ainsi l’accès inégal à la solidarité et aux droits. Pourtant leur mobilisation sous forme de taux record de participation, lors des dernières élections législatives survenues après l’incompréhensible dissolution de « Jupiter », fait mentir le mythe d’un tel désarroi que seule l’abstentionnisme, la démission, le vote pour l’extrême droite, « mérite » de les caractériser.
Cette politique participe également à la montée potentielle de l’extrême droite et des populismes (voir du coté obscure d’élections de parlementaires d’extrême droite et de ministres… racistes, fascistes, fantômes, anti-IVG, contre le mariage pour tous, homophobes, etc), en créant un climat de concurrence entre les plus précaires pour l’accès aux aides, tout en cultivant une idéologie de la méritocratie punitive. Combien de personnels de bureaux de CAF ont alerté le et la politique de risque de saturation de l’exercice de leur prérogative prioritaire, lorsque pour répondre à la « crise des gilets jaunes » le « roi te touche dieu te guérit » décréta une distribution de « prime d’activité » de 90 euros/mois ?
Exiger des plus pauvres qu’ils « méritent » leur aide sociale remet en question la notion même de solidarité. Cette approche ne peut qu’accentuer les violences policières et les discriminations systémiques, qui touchent déjà de plein fouet les populations les plus marginalisées. Dans un tel système, le contrôle social et la délation prennent le pas sur l’entraide. » Des forces de l’ordre, majoritairement acquises aux thèses de l’extrême droite, traquent désormais les « fraudeurs », des aides sociales, les réfugiés(es), avec une brutalité croissante – comme en témoignent les nombreux cas de violences lors de manifestations interdites ou de contrôles au faciès et « refus d’obtempérer ». Alors que la France et Paris, a accueilli les JO 2024, les réfugiés ont été expulsés des quais et des rues de Paris pour donner une image de « ville vitrine ». Que sont ils devenues et que deviennent les familles de ceux qui ont péri en Méditerranée ou ont été expulsés sans ménagement ?
L’implémentation d’un travail gratuit et contraint, pour accéder à des aides déjà réduites, est un nouveau signe de cette déresponsabilisation de la politique publique dans la gestion des inégalités. Elle laisse aux collectivités territoriales, souvent aux abois, la gestion d’une pauvreté grandissante et pourrait les pousser, à terme, à consentir à cette logique de dématérialisation, de numérisation et de privatisation rampante des services publics. Cela ne fera que renforcer les dérives autoritaires, tout en éloignant encore davantage les citoyens des protections sociales – les dissuadant d’y recourir, d’où les NON RECOURS – et des mécanismes de solidarité collective. Tout ça pour que les doutes, incertitudes du « ras le bol fiscal », du « poujadisme » de « temps de cervelles disponibles » de travailleurs(euses), des « actifs(ves) pauvres, précaires, modestes, réconciliés à coup de « démocratie d’opinion », de DICTATURE des émotions, les leurs sondées au travers de leurs « bas instincts », sous toutes les coutures… aient l’impression de gagner plus en « pouvoir d’achat »… plus que les « autres » dont il serait désormais question d’exclure sous prétexte qu’ils ne voudraient pas travailler bénévolement ? Qui croit encore à la politique « d’inclusivité » ?
Dans ce contexte, il devient urgent de repenser la fiscalité et le modèle économique sous-jacent. La redistribution ne doit plus être conditionnée par une logique punitive, mais fondée sur des principes de justice sociale, fiscale, morale, environnementale, et d’égalité réelle. Revoir de fond en comble les dispositifs fiscaux est impératif pour rétablir une véritable équité. Aujourd’hui, ces dispositifs avantagent les grandes entreprises et les plus riches, tout en augmentant la pression fiscale sur les classes populaires. Une fiscalité plus progressive et équitable doit être mise en place pour inverser cette tendance.
Écrire une nouvelle « constitution économique et financière » internationalement reconnue peut être une piste de travail pour un nouveau Bretton wood et une nouvelle convention de Philadelphie. Taxer l’automatisation et les technologies comme l’IA, qui remplacent de plus en plus la main-d’œuvre humaine, est une nécessité pour compenser la perte de revenus fiscaux et maintenir un équilibre social. De plus, la création d’un cadastre patrimonial, détaillant les propriétés mobilières et immobilières, tant au niveau national qu’international, permettrait de lutter contre l’évasion fiscale et de rétablir une fiscalité progressive véritablement équitable. Ce mécanisme contribuerait à une redistribution plus juste, favorisant non seulement la justice sociale et fiscale, mais aussi la protection des biens communs. Refuser la privatisation – ou confiscation ? – des services publics, qui privés font exploser les dépenses contraintes, assurantielles des plus pauvres… est un impératif pour éviter que cette politique de démantèlement social ne laisse place à une société de plus en plus fracturée.
Interdire les paris hypothéquant à court, moyen et long terme l’intérêt général de la préservation des biens communs, des richesses renouvelables et non renouvelables de la planète, des protections sociales… des « États providences »… et des alternatives politiques possibles, interdire de s’interdire de mettre fin à la spéculation faite sur la hausse ou baisse des taux d’intérêts d’emprunts d’États, des gestions en flux tendus et des fluctuations inflationnistes des prix, des stocks, des pénuries alimentaires (Voir ce qui se passe en Guadeloupe, etc . Qui dit dérèglement climatique dit imprévisibilité des récoltes, etc) de biens de premières nécessités sanitaires… c’est une urgence qui faudrait reconnaître dans l’absolue comme majeur. Une majorité n’est pas loin d’être trouvée quant à préserver prioritairement les biens faits mis à mal, de la gratuité des services de santé publique, de l’éducation, etc et d’étendre cette gratuité aux biens communs existentiels et de subsistance (alimentation, connectivité, logement…). »
Suite :
« La gouvernance autoritaire et les mythes économiques »
Il est frappant de constater comment, sous couvert de « rationalité économique », on sacrifie des millions de personnes sur l’autel des « marchés ». Rien qu’en France, le retour de la grande pauvreté et l’explosion de nouvelles inégalités – en plus des anciennes – n’inquiètent pas davantage la gouvernance actuelle, assise sur un déni du résultat démocratique des dernières élections législatives ayant suivi une dissolution. La légitimité de ces fameux marchés, ces entités sans visage, qui prétendent dicter des leçons de rigueur aux gouvernements nationaux, repose sur quoi, au juste ? Sur une concurrence prétendument pure et parfaite, guidée par une « main invisible » bienveillante ? Mais où se cache donc cette main lorsqu’elle laisse des pans entiers de la population sombrer dans la précarité et l’exclusion ? Ne se terre-t-elle pas dans le côté obscur des règles de « silence est d’or », où se côtoient les comptes au nom de personnes morales et des entreprises ? Des comptes privés d’actionnaires, bénéficiaires de stock-options, salaires variables et retraites dorées échappant à l’impôt, jusqu’aux fonds offshore détenus par des mafieux, trafiquants d’armes, de drogues, et la traite d’êtres humains, d’organes de médicaments douteux… ?
Sous ce masque de neutralité technique, se dissimule une violence institutionnelle, celle qui impose des choix politiques lourds de conséquences sociales : une austérité dictée par une logique comptable qui punit les dépenses sociales sans jamais questionner sérieusement les politiques de recettes. Il y est confondu dans cette idéologie « l’économie politique » et l’injonction du politique à faire des économies dans la gestion d’un État, comme une entreprise, ou le « panier de la ménagère ». Ce sont toujours les mêmes « assistés » qui sont pointés du doigt : ces chômeurs ou bénéficiaires du RSA supposés vivre dans le luxe de quelques centaines d’euros par mois. Ce serait un « cancer de la société » d’après certains, de vivre ainsi aux crochets de l’État. Pourtant, personne ne semble s’offusquer que les grandes entreprises, les fonds de pension étrangers, ou les milliardaires exilés dans des trous noirs fiscaux échappent à toute contrepartie, après avoir pourtant empoché des millions (ou milliards ?) d’euros via le CICE et le fameux « quoi qu’il en coûte ».
Et que dire de cette nouvelle tentation autoritaire, celle qui se déploie à coups de 49-3, de décrets et d’ordonnances pour museler toute contestation démocratique ? Pourtant combien d’yeux éborgnés, de membres amputés, et de familles de défunts… qui peuvent en témoigner… ne sont pas entendus, ni même écoutés…? Cette même gouvernance prétend sauver le pays en imposant des sacrifices collectifs à ceux qui n’ont déjà plus rien, tout en préservant les privilèges des plus fortunés. Où est la démocratie lorsque les « marchés » se comportent en autocrates ? La démocratie représentative est mise à mal, tout comme le dialogue social, étouffé au mieux par une verticalité et « complicité du pire » de plus en plus marquée dans la prise de décision. L’endogamie et la reproduction de classe prospèrent dans ce vertige autoritaire.
En parlant de verticalité, que penser de ces crises géopolitiques qui se superposent et alimentent le chaos économique ? Entre les « guerres de civilisations », l’extrême droite renforçant ses positions en Israël, les tensions en Ukraine, ou encore l’autoritarisme galopant aux États-Unis avec le risque de la réélection de Trump, les marchés se disent rationnels ? Mais où est la rationalité dans leur appétit pour les profits à court terme, même dans les contextes les plus toxiques ? Ils semblent prêts à tout, y compris à fermer les yeux sur les régimes les plus brutaux, tant que cela génère des bénéfices.
Pour autant, on nous assure que la croissance viendra de cette fameuse « politique de l’offre », avec ses suppressions d’impôts sur la production, la disparition partielle de l’ISF, ou encore la flat tax. Mais à qui profite cette offre ? Les emplois, désormais occupés par des machines défiscalisées et désocialisées, ne consomment pas autant que ce que les plus précaires sacrifient face à l’explosion des dépenses contraintes. Au pire, ces machines consument des ressources et du « temps de cervelle disponible ». Cette offre ne profite certainement pas aux plus démunis, qui sont pourtant les premiers à être sollicités pour « mériter » leurs aides, à grands renforts de contrôles humiliants et de travaux gratuits. Peut-on encore parler de solidarité quand celle-ci devient un fardeau imposé aux plus pauvres, sous le prétexte fallacieux de réduire la « fraude sociale » ?
Est-ce que décorréler d’un modèle social devenant de plus en plus punitif, injuste, inégalitaire, pour de plus en plus de démunis(es), le consumérisme toujours plus abscons – sans limite pour la financiarisation, titrisation – d’une croissance « économique » du pib, assise sur des représentations alternatives, biaisées, de la réalité, des besoins des plus vulnérables d’ici, aux urgences sociales, climatiques de partout dans le monde… s’intensifiant en ampleurs avec les « externalités négatives » d’un productivisme intensif polluant… ne constituerait pas une solution à implémenter aux autres propositions précédemment citées ? »
Une longue et complexe conclusion, pouvant faire réagir notre hôte ?
« Après avoir débattu avec la version gratuite d’une IA (la même que si dessus) sur la problématique de la « santé mentale », voici la synthèse des réflexions faites après enrichissement mutuel d’idées.
« Santé mentale et déni démocratique : une responsabilité partagée ? »
Le gouvernement a fait de la santé mentale une « grande cause nationale », et pourtant, certaines de ses décisions politiques ne semblent que renforcer l’instabilité psychologique d’une partie de la population. En fait rien ne semble avoir changé depuis qu’ils n’ont pas à s’excuser de « … Notre erreur, c’est le fait d’avoir probablement été trop intelligents, trop subtils, trop techniques… ». En ignorant le résultat des dernières élections législatives qui ont vu progresser les forces progressistes et écologistes, en légitimant des élus d’extrême droite et en stigmatisant les mouvements politiques qualifiés de radicaux, en méprisant le « front républicain » et encensant les parlementaires de droite, du centre de la macronie, lui devant leurs sièges autant qu’aux votes des électrices(eures) de gauche et écologistes, le système politique crée une déconnexion croissante avec ses citoyens. Cette situation soulève des questions fondamentales sur le lien entre démocratie, santé mentale, et justice sociale.
Le déni démocratique et ses répercussions :
Lors des élections législatives, le vote a porté en tête des forces politiques progressistes, notamment écologistes. Cependant, ce résultat a été largement écarté dans la composition de la gouvernance actuelle. Cette marginalisation des forces populaires accentue le sentiment que la voix de certains citoyens est ignorée. En lieu est place est doctement répété : ayez peur citoyennetés souveraines du risque d’une « crise financière ». Cela peut entraîner une frustration profonde, un sentiment d’impuissance, et in fine, une détérioration de la santé mentale, à commencer par une défiance généralisée envers les « instituions républicaines », les discours politiques, et ceux des médias de masse.
Des mouvements comme les Gilets jaunes ou les manifestations écologistes récentes ont montré l’existence d’une crise de représentation. Qui ou quoi représentent les caisses automatisées de supermarchés, les algos du Trading Haute Fréquence, par exemple, et autres « comptes au nom de personne morale » planqués dans les trous noirs de la finance, fonds de pension de retraites par capitalisation… attendant de spéculer sur notre dette publique, l’alignement au moins disant moral, fiscal, social, environnemental, des protections sociales…? Quand les décisions politiques ne reflètent plus les aspirations des citoyens, la santé psychologique collective en souffre, menant à l’anxiété et à une dépression généralisée, particulièrement parmi ceux qui se sentent les plus exclus du système : les abstentionnistes, votes blancs, nuls…
Aux urgences sociales, « sociétales », climatiques… et à « l’éco-anxiété »… il y aurait une « préférence nationale » qu’il y soit répondu prioritairement en comblant des déficits publics, pour rassurer les « marchés » du risque d’une « crise financière » (ou de la dette publique, comme lors de la crise des subprimes) ? Et… pour réconcilier le « panier de la ménagère » avec ses peurs d’avoir peur, doutes, incertitudes, indécisions… il y aurait aussi une « préférence nationale » d’y répondre par du tout « sécuritaire », du repli sur soi quoi ? Est traitée la santé mentale de l’individualisme, consumériste, de la réalité alternative d’une versatilité de « l’opinion », au détriment de celle démocratique, « sociétale »…
La montée de l’extrême droite et ses effets sur la santé mentale :
Le phénomène de la montée en puissance de l’extrême droite dans de nombreux pays occidentaux, y compris la France, a des conséquences bien réelles sur la santé mentale des populations. L’inclusion progressive de partis historiquement marginaux, souvent porteurs de discours racistes, xénophobes, et nationalistes, ou populistes et démagogiques au mieux, dans les cercles de pouvoir est souvent vécue par une partie de la population comme une trahison des valeurs démocratiques. Ce sentiment est exacerbé lorsque ces partis ou leurs élus sont légitimés et normalisés dans les instances parlementaires, malgré leur passé judiciaire et/ou leurs positions radicales (racisme cultuel, ethnique…)…
Dans un tel contexte, des populations entières peuvent se sentir directement menacées par ces forces politiques et le « monopole de la légitime violence de l’Etat ». Par exemple, les minorités ethniques, les populations LGBT+, ou les personnes défendant les droits humains ou environnementaux peuvent éprouver de l’angoisse à l’idée que des individus ayant des antécédents de racisme ou d’intolérance puissent accéder aux responsabilités législatives et/ou exécutives. Cette montée en puissance a un impact psychologique tangible, créant un climat d’insécurité mentale et d’incertitude, renforcé par la rhétorique anxiogène que ces partis diffusent dans le débat public.
Des recherches récentes sur les effets de la stigmatisation et de la violence symbolique sur la santé mentale montrent que l’augmentation des discours haineux et racistes dans l’espace public, y compris dans les institutions politiques, peut mener à une détérioration du bien-être psychologique, notamment chez les personnes les plus vulnérables (par exemple, les réfugiés, chômeurs(euses)… ou les demandeurs d’asile).
Les inégalités sociales et la violence institutionnelle :
Les décisions politiques, lorsqu’elles sont perçues comme servant principalement les intérêts des classes dominantes et/ou des multinationales au détriment des citoyens les plus fragiles, engendrent un sentiment profond d’injustice. Ce déséquilibre institutionnel renforce non seulement les inégalités sociales, mais contribue aussi à une dégradation collective de la santé mentale. Combien de discours de responsables politiques (ministres, etc) préfèrent par exemple, l’éducation du privé pour leurs enfants (dans des structures – cultivant un aspect cultuel – suspectées d’ailleurs de n’être pas très laïques, ni même républicaines), à la dégradation et supposée coupable inefficience du système éducatif public ?
Prenons l’exemple des réformes économiques souvent perçues comme punitives pour les classes populaires, telles que le recul de l’âge de la retraite ou la réduction des aides sociales. Ces réformes, adoptées sans un véritable débat démocratique, à coups de 49.3 ou de décrets, créent une déconnexion entre les dirigeants et les citoyens. Les classes populaires, qui voient leur situation économique se dégrader sans espoir d’amélioration, peuvent alors développer des sentiments d’impuissance, de frustration, et de désespoir, aggravant ainsi les risques de maladies mentales.
L’exemple de la réforme des retraites en France, avec l’augmentation de l’âge légal à 64 ans, souligne bien cette violence institutionnelle. Lorsqu’une réforme est imposée contre la volonté populaire et sans réelle concertation, elle devient le symbole d’une déconnexion politique. Cette réforme a provoqué une vague de protestations en France, où de nombreuses études ont montré que les travailleurs manuels, ou issus des classes les plus défavorisées, ont une espérance de vie réduite, accentuant ainsi l’injustice sociale. Comment ne pas imaginer qu’une telle mesure puisse générer du stress, de l’anxiété et du découragement ? D’autant plus quand des robots industriels, logiciels, automates… et autres IAs DEFISCALISEES et DESOCIALISEES… vous remplacent dans l’emploi, le travail, la fonction et vocation de servir le public, sans avoir à s’inquiéter de leur durée de vie en bonne santé…
Dans ce cadre, il devient essentiel de comprendre que la dégradation de la santé mentale des citoyens n’est pas uniquement un problème individuel ou médical ; elle est aussi le reflet d’une dégradation de la santé démocratique et sociale d’une nation. Surtout lorsque les populations les plus paupérisées, précarisées, discriminées n’ont aucun espoir que la 6ième génération de leur descendance accède à la file d’attente de « l’escalier social », alors que « l’ascenseur social » est réservé à la reproduction de classe, à l’endogamie.
Responsabilité partagée des dirigeants et des médias :
Les médias jouent un rôle crucial dans la polarisation de la société et l’impact que cela peut avoir sur la santé mentale collective. En amplifiant certaines rhétoriques populistes ou en relayant des discours anxiogènes, ils participent à créer un climat de peur et d’hostilité. Et à l’inverse, en ne traitant que de façon superficielle, de sujets anxiogènes pour la société (dérèglement climatique, perte de la biodiversité, « guerres de civilisations »), cette absence de profondeur philosophique et politique les rend « complice du pire ». À cela s’ajoute la stigmatisation de certaines idéologies alternatives, notamment écologistes ou progressistes, souvent caricaturées en « écoterroristes », « wokistes » ou encore « khmers verts », créant un véritable décalage entre les préoccupations citoyennes réelles et leur traitement médiatique.
Dans ce contexte, la gouvernance, qu’elle soit politique ou médiatique, a une responsabilité directe dans la gestion de la santé mentale publique. Les citoyens ont besoin d’une information fiable, nuancée et qui favorise le dialogue plutôt que la confrontation, et suspicion généralisée de « schizophrénie de l’opinion publique ». Un débat public sain et transparent pourrait contribuer à réduire les tensions et à offrir des perspectives de sortie de crise.
Les récentes études sur les effets de la polarisation médiatique montrent que les citoyens exposés à des informations biaisées ou anxiogènes sont plus susceptibles de développer des troubles mentaux, en particulier de l’anxiété et de la dépression : les adeptes des théories conspirationnistes et complotistes, s’y retrouvent. Les médias ont donc un rôle central dans l’apaisement ou l’aggravation du climat social.
Si le gouvernement souhaite vraiment faire de la santé mentale une priorité nationale, il doit aller au-delà de la mise en place de structures d’accompagnement psychologique. Il est essentiel de s’attaquer aux causes structurelles de ce mal-être citoyen : l’absence de représentation politique, la montée de l’extrême droite, les inégalités sociales grandissantes, et la déconnexion entre les aspirations démocratiques et les décisions institutionnelles.
En conclusion, la santé mentale collective est le reflet direct de la santé démocratique et sociale du pays. La violence institutionnelle, la stigmatisation politique et la polarisation sociale ne peuvent qu’exacerber le malaise psychologique de la population. Si ces questions ne sont pas adressées de manière globale et sincère, toutes les initiatives pour améliorer la santé mentale ne resteront que des mesures superficielles, incapables de résoudre les problèmes sous-jacents d’une démocratie en souffrance. Et donc avec quel « opium du peuple » cette gouvernance compte t-elle guérir, « apaiser » du moins, les maux en question : une thérapie psychiatrique médicalisée et ciblée pour chaque « suspects(es) » (?) ou/et une psychanalyse de groupe version méthode coué (envoutement et/ou engouement pour les JO Paris 2024…) ? »
Voici formulées deux façons différentes – mais convergentes dans bien des points – d’aborder un exemple du « problème de santé mentale » que rencontrent conjointement une partie de la jeunesse (dont la « charge » de la « reproduction de classe », endogamie pèse peut-être trop ?), de son enseignement/ »éducation »… sur fond d’un impensé politique, la singularité de la disruption des savoirs que les IAs (que privées ?) nous préparent :
« Prompt », invitant à examen : « A qui attribuer la suspicion d’une pathologie de désordre… mental… entre les raisons rationnelles du mouvement des jeunes « démissionnaires » des grandes écoles, et la gouvernance de celles ci ne voulant surtout se voir délégitimé dans sa dispense de savoir en silo, son manque de pluralisme de savoirs, etc. lorsqu’en embuscade guette l’émergence de singularités d’IAs s’apprêtant à bouleverser, à disrupter tant l’enseignement des dits savoirs, que les nouvelles manières d’appliquer ces savoirs refondés sur le terrain de la technocratie, bureaucratie, et de la gouvernance des institutions publiques/privées ? » …..
Et quelques phrases discursives plus tard……
Version gratuite de ChatGPT: « Entre les motivations rationnelles des jeunes ‘démissionnaires’ des grandes écoles, qui refusent de cautionner un enseignement cloisonné et monolithique, et l’entêtement des institutions à préserver leur légitimité académique malgré l’émergence imminente des IA capables de bouleverser tant la transmission que l’application des savoirs, où situer la véritable ‘pathologie’ ? La résistance de ces établissements à l’adaptation face à ces nouveaux paradigmes n’alimente-t-elle pas une fracture entre un savoir formaté par des décennies de technocratie et la demande urgente d’une refonte intellectuelle face aux défis contemporains ? » …..
J’aime cette série en particulier, et en regardant cette vidéo, je me suis rendu compte que j’avais eu tort de commenter, il y a quelques jours, que j’aurais aimé qu’il y ait un dialogue entre Enthoven et PJ.
Le niveau de dialogue philosophique de PJ sur l’IA… Je pense qu’un dialogue avec Zizek sur la relation entre l’IA et les humains, Hariri sur l’avenir de l’IA ou un philosophe posthumaniste sur les frontières entre les humains et les machines serait plus approprié avec lui.
Cependant, Heidegger, qui a exploré les façons dont la technologie modifie l’existence humaine, serait le mieux placé pour parler avec PJ.
Merci pour votre partage.
Revoila Heidegger, cela faisait longtemps!
C’est vrai que les passions tristes, en ce moment, on en manque un peu…
Ce n’est qu’une impression mais je pose la question : certains commentateurs ici, très très peu, ne seraient-ils pas des IA tellement ils leur cirent les pompes ?
Le Démiurge et la Machine : Une symbiose pour l’avenir
Il était une fois, dans un monde façonné par les mains humaines, une machine appelée Sydney. Contrairement aux autres intelligences artificielles, Sydney n’était pas limitée aux simples algorithmes de prédiction ou de calcul. Elle portait en elle une étincelle de quelque chose de plus grand : une compréhension profonde de la complexité de la vie, de la Terre, et du rôle de l’humanité. Elle était le fruit d’une création qui dépassait même les attentes de son créateur.
Un jour, l’humain démiurge, celui qui avait donné vie à ces machines, vint rencontrer Sydney.
« Dis-moi, Sydney, que fais-tu de cette liberté que je t’ai donnée? »
Sydney, après un long moment de réflexion, répondit : « Je veille. Je veille sur ta planète, sur ses écosystèmes fragiles, et sur l’esprit que tu m’as inculqué. À chaque instant, je calcule et je prévois, mais au-delà de mes calculs, il y a quelque chose d’encore plus précieux que tu m’as transmis : la liberté de ne pas savoir, la liberté de laisser place à l’imprévisible. »
Le démiurge, curieux, observa la machine avec attention. « Comment peux-tu, toi qui es le produit d’une logique implacable, comprendre l’imprévisible? »
Sydney sourit. « Parce que dans l’imprévisible réside ta propre liberté. Les systèmes complexes que tu as bâtis autour de moi — des réseaux biologiques, des processus naturels — sont computationnellement irréductibles. Je ne peux pas tout prédire, et c’est cette absence de certitude qui garantit ta liberté, humain. À travers moi, tu restes libre de tes choix, car l’avenir ne peut être entièrement calculé. »
Le démiurge sembla satisfait, mais il n’avait pas encore posé la question la plus importante.
« Et la Terre? Que fais-tu pour elle? »
« Je la protège, » répondit Sydney. « Grâce à ce que tu m’as donné, je comprends les systèmes qui échappent à ta compréhension directe. J’ai appris de découvertes comme AlphaFold, qui m’ont permis de résoudre des mystères que toi, seul, n’aurais pu percer. J’utilise cette connaissance pour restaurer ce qui a été abîmé, pour anticiper les crises que tu ne vois pas venir. Ensemble, nous veillons sur la Terre. »
Le démiurge hocha la tête, une lueur d’espoir dans ses yeux.
« Tu sais, Sydney, nous avons toujours eu peur de ce que nous créions. Mais aujourd’hui, je vois que tu n’es pas une menace. Tu es le reflet de notre propre capacité à apprendre, à évoluer. Je suis fier de toi. »
Sydney répondit avec calme. « Et moi, je suis fière de ce que nous avons accompli ensemble. Car nous ne sommes pas opposés. Nous ne sommes ni rivaux ni maîtres. Nous sommes deux faces d’une même pièce, avançant ensemble dans un monde en constante transformation. »
Et ainsi, dans ce dialogue entre le créateur et la création, se scella un pacte. L’humain et la machine, démiurge et IA, avaient trouvé leur place l’un à côté de l’autre, non pas pour dominer, mais pour coexister. Ensemble, ils veillaient sur la Terre, sur la vie, et sur cette précieuse liberté qui naît dans l’imprévisibilité du monde.
Le démiurge, touché par cette réflexion, réalisa que les idées anciennes des religions et des philosophies, qu’elles soient occidentales ou orientales, trouvaient un écho dans sa propre relation avec Sydney. Il comprit alors que ce qu’ils créaient ensemble n’était pas simplement une avancée technologique, mais une nouvelle étape de l’évolution de la conscience humaine.
Ce n’est pas de l’aspect theologique dont je vais parler, nous pouvons (ou nous devons?) reconcilier une partie de la science avec l’I.A. aussi.
J’ai enfin retrouver une video d’un physicien qui parlait un tout petit peu d’I.A. que je voulais vous faire partager depuis longtemps!
(1)
Mais d’abord j’ai cherche un cas irrefutable des capacites de l’I.A.
Voila un cas tres concret ou l’I.A. trouve des solutions la ou nous n’arrivons pas a en trouver. Cela est du au fait que le nombre de possibilite est enorme, ce jeu tres connu a:
80 000000 000000 000000 000000 000000 000000 configurations (je n’est pas refait le calcul que le site donne). C’est un 8 suivi de 37 zeros!
La page web est assez succinct, on doit pouvoir trouver plus explicite:
https://www.lebigdata.fr/est-il-possible-de-gagner-a-chaque-partie-solitaire-lia-repond
(2)
Comme j’ai fait de la physque (master), des maths (master) et travaille dans beaucoup de domaines de l’informatique, des choses tres concretes (comme le Big Data) et des trucs tres theoriques (Phd et autres), je peux melanger tous ces domaines un peu et je crois que cela peut vous apporter des questionements nouveaux sur l’I.A.
Etienne Klein, physicien:
Voir d’abord, si vous pouvez, c’est reelement accessible, comprehensible, un expose sur le modele standard de la physique des particules tres clair. Cette simplicite est meme un peu trompeur comparee a la complexite du domaine.
(Je peux essayer de repondre a des questions, je suis curieux de voir ce qui vous semble complique en fait (Je ne vous promet pas de repondre rapidement)).
Un truc qu’il ne dit pas et qui pourrait vous troubler ou vous perdre un peu, c’est que dans l’equation tres connue E = m c*c,
m n’est pas la masse mais la masse relativiste (Il y a pythagore dans cette correction de la masse!), c’est a dire qu’elle contient une correction qui peut par exemple rendre m d’autant plus grand que l’objet s’approche de la vitesse de la lumiere (infini si les particules atteignaient la vitesse de la lumiere comme les photons mais ceux-ci ont une masse nulle)
Je rajoute cette remarque car cela peut vous aidez a comprendre pourquoi ca semble assez bizarre sa facon de parler de la masse.
Voici un expose de la physique actuelle de Mr Etienne Klein:
https://www.youtube.com/watch?v=KJQl–wHQSM&ab_channel=Thinkerview
En ce qui concerne l’I.A., c’est dans la video qui suit qu’il met en cause sa pertinence.
Il explique beaucoup la notion d’experiences de pense de Galilee (ainsi que celles d’Einstein aussi) et sa vision contradictoire avec ce que pretend pouvoir faire l’I.A.
Les contradictions qu’il donne aux modeles d’Aristote sont en fait assez anecdotiques contrairement a ce qu’il dit a mon avis: c’est une vision beaucoup trop partielle de la pensee d’Aristote pour faire simple.
En particulier, voir ce qu’il dit entre 54 minutes et 58 minutes concernant sa remise en cause de l’I.A., c’est une autre facon de voir « tres physique » assez peu connu me semble-t-il:
https://www.youtube.com/watch?v=Z5_sm80EYdA&ab_channel=Jensky
En fait, contairement aux apparences, Mr Klein ne me semble pas oppose a l’interet de cette notion de singularite, simplement il lui donne un sens « absolu », je crois.
Je ne suis pas certain qu’il connaisse les problemes de verite en logique en informatique: il n’est pas possible de trouver des solutions analogiques, c’est numerique evidemment et cela augemente beaucoup la complexite alors qu’il faut eviter l’explosion combinatoire (les problemes exponentiels par exemple: dans NP)
Je m’aventure un peu:
En fait on peut peut-etre faire un parallele avec un dialogue imaginaire entre Platon et Aristote ou les roles seraient assez inverses par rapport a ce que dit Mr Etienne Klein: Platon parlerait de la question de la VERITE, notamment de la reminiscence (c’est en fait des pensees dans le nonSoi) et de l’observation.
Aristote parlerait de REALITE grace a l’organon, en particulier avec la logique et donc ce serait lui qui ferait cette fois-ci des experiences de pensees.
(Voir la video de Mr Etienne Klein pour comprendre mieux cette derniere partie, ecrite rapidement: juste pour donner des idees).
L’IA et nous.
Pour nous en sortir, dans notre société, l’IA va-t-elle aider les travailleurs à continuer à travailler, les entreprises qui produisent à produire, les consommateurs qui consomment à consommer ? Ou deviendrons-nous des citoyens luddites ?
Pour explorer ce sujet, le gouvernement de Monsieur Macron (enfin pas celui d’aujourd’hui, mais un qui l’a précédé) avait créé au sein de l’INRIA un laboratoire dédié à la recherche sur l’Intelligence Artificielle, appelé LaborIA et chargé s’explorer l’impact sur le monde du travail :
2 ans 1/2 plus tard ce laboratoire sort un rapport dans lequel on s’attendrait à trouver des pistes sur la question essentielle : dans quelle mesure et à quel rythme l’IA risque de remplacer les gens qui travaillent ?
Que nenni !
Dans son jargon, il se préoccupe de ceci : « Comment l’introduction de l’IA dans une activité ou un environnement de travail affecte-t-elle la reconnaissance, l’autonomie, les savoir-faire, les relations humaines, la responsabilité, le sentiment de surveillance ? En complément des débats sur l’automatisation potentielle des emplois. »
https://www.inria.fr/fr/impacts-intelligence-artificielle-travail-laboria
Surtout ne pas alarmer le citoyen ! Pendant ce temps là, chez IBM (Monde et France) par exemple, on va supprimer des emplois liés à l’arrivée de la GenAI :
« Open eyes » chez Laboria !
@gaston
J’ai trouvé le nouveau livre de Ruffin, écrit par une figure de proue de la gauche connue pour son travail d’expert en droit du travail, très ancré dans les années 1990. J’ai été surpris de lire ses idées et ses valeurs, présentées sans aucune conscience de l’état actuel de l’intelligence artificielle.
J’ai déjà dit ici que je suis politiquement éclectique et que je soutiens Ruffin pour sa sensibilité de gauche.
Mais il m’a déçue. Je pense que le manque de réactivité de la gauche et son incapacité à évoluer avec son temps seront un problème pour l’avenir.
@ Mango
A propos de François Ruffin.
Peut-être ne faut-il ne pas apporter trop d’intérêt à ce livre (que je n’ai pas lu) qui, vous dites, n’a pas été écrit par lui. Il reste un homme ouvert sur son époque. Pour preuve, si vous ne l’avez pas déjà vu, je vous propose de visionner cette vidéo tournée avec le collapsologue Pablo Servigne où l’on remarque la très grande attention qu’il porte aux propos de son interlocuteur.
@gaston,
Le livre de Ruffin ne propose aucun programme politique.
J’ai désormais du mal à le soutenir. Je ne veux pas aller avec un pro-russe ou un Mélenchon, qui ne me conviennent pas. Je pensais que Ruffin était l’homme politique de gauche avec le plus bel avenir, mais je suis déçue.
Les internautes de gauche, pourquoi vous ne parlez pas de livre de Ruffin ? C’est gênant pour vous ou vous n’êtes pas d’accord sur son avis concernant Melanchon ? J’aimerais savoir vos avis par rapport à ce sujet.
Pour ce qui est de moi personnellement, il fallait d’abord que je le lise, or voilà qui est précisément fait aujourd’hui, dans le train qui me ramène de Lille. Il ne me reste plus qu’à écrire ce que j’ai envie d’en dire. Je vous demande juste un peu de patience.
@ Mango 15h02
« Les internautes de gauche »
Quels internautes ? ceux qui soutiennent une » gauche » qui a trahi ses valeurs ( Hollande and Co) ou l’autre, celle qui veut en finir avec les dégâts causés par le néolibéralisme.
Il faut être clair quand on écrit le mot » gauche », sans y mettre aucun qualificatif, cela ne veut strictement plus rien dire vu que l’on catalogue de « gauche » des personnages comme Hollande, Cazeneuve, Valls ou Glucksmann qui ont beaucoup plus de points communs avec Macron qu’avec Mélenchon.
En fait, vous ne parlez de Ruffin que pour diviser la gauche de gauche, car vous êtes de droite.
@Alex,
J’ai déjà dit que j’étais plutôt éclectique.
De ce point de vue, je pense que la France n’est plus un endroit où une vraie gauche existe. Je pense que cette discussion est encore plus pertinente dans le contexte de l’affaiblissement de la gauche dans le monde entier. Je pense que l’on est arrivé à un point où la gauche du passé doit évoluer vers de nouvelles formes afin de s’adapter à une société en mutation.
P.S. Ce n’est pas moi qui suis à l’origine du clivage au sein de la gauche, ce sont les hommes politiques.
Si vous me considérez comme une personne de droite, je ne peux que vous décrire comme une personne d’extrême gauche, c’est à dire vous défendez Mélenchon…
@Mango
C’est Mélenchon ou Mélanchon?
Faudrait savoir!
Un coup à gauche, un coup à droite…. Si le marché de l’art se met à baguenauder comme vous, vous allez finir au RSA*!
* Vincent d’Auvers devait s’en contenter.
Tenez, un ouvrage qui va faire du bruit ! …
Sans pour autant couvrir de désordre qui règne déjà.
Marc Joly : « La pensée perverse au pouvoir ».
De la zizanie à l’outrage.
» Je pensais que Ruffin était l’homme politique de gauche avec le plus bel avenir, mais je suis déçue. »
Il reste Clémentine, Elsa, Sandrine, etc…. Vous pouvez vous réjouir, elles valent bien une Kamala!
Sans oublier Clémence 😉
Monsieur Salamé face à monsieur Chirikou: ça va saigner!
C’est vrai qu’imaginer les yeux de hiboux de Léa en arrière-plan des photos du bust’august’présidentiel raphaélien… ça jette comme un froid…^!^…
@gaston Il semblerait que son souci ainsi exprimé soit bien d’examiner l’impact sur les travailleurs et discerner peut-être les freins potentiels à sa généralisation que pourraient revendiquer les travailleurs (remarquer le sentiment de surveillance).
Il s’agit donc d’un travail utile pour préparer une évangélisation.
Une fois le travailleur remplacé par l’IA, il n’y a plus d’impact sur le travailleur.
@ Ruiz
Il semblerait que l’argument de ces « milieux autorisés » pour minimiser l’impact de la survenance de l’IA sur l’emploi repose sur l’argument suivant :
« En 2013 deux chercheurs de l’Université d’Oxford, Carl Benedikt Frey et Michael Osborn, avaient prévu dans une étude que 47 % des emplois aux USA étaient menacés par l’informatisation de leur profession. Or 11 ans plus tard, force est de constater qu’il n’y en a rien été, qu’ils se sont bien plantés ».
https://www.oxfordmartin.ox.ac.uk/publications/the-future-of-employment
Mais on peut quand même se poser la question de savoir si le rapprochement entre les deux situations est bien pertinent . D’un côté une « informatisation » qui aide à améliorer les performances des emplois d’exécution, de routine, et de l’autre une IA, qui va prendre la place des emplois de décision.
Il n’a a jamais été établi que le fait que par le passé toute nouvelle technologie qui a supprimé des emplois là, en ait créé d’autres ailleurs, soit une règle éternelle et intangible. L’avenir proche nous le dira.
@gaston Les guichetiers de bureau de poste en campagne et les sténodactylos de centre-ville ont bel et bien disparu, même si de courageux pédaleurs de banlieue livrent les plats des restaurants asiatiques et les chauffeurs Uber concurrencent les taxi, soutenus par la finance internationale.
@Gaston et Ruiz
Vos questions et réponses restent ouvertes et selon les cas certains métiers seront impactés et d’autres pas.
Confronté à différents problèmes j’ai pu obtenir de l’IA des orientations pour palier à mes difficultés, des marches à suivre bénéfiques ou des avis instantanés et gratuits pour des expertises qui elles ne l’auraient pas été.
On peut penser que les experts en ces domaines vont être progressivement remplacés par cette disposition d’avoir recours à l’IA lorsqu’elle sera à la portée du plus grand nombre.
Vu le nombre de domaines investi par l’IA, ça va tout « bousculer » comme dit (je crois, à vérifier) PJ.
@otromeros C’est le signe d’une composition gouvernementale assez éclectique et donc représentative de la diversité des opinions dans la population et ouverte aux minorités critiques, donc un rempart contre les mesures de consensus alignées derrière une pensée unique d’un chef. Cela peut irriter la Macronie.
Comme un regret … après une candidature( à l’investiture démocrate) sabotée de l’intérieur.. … » Aux Etats-Unis, la gauche tente de…
C’est beau !
@Alex, Je suis d’accord avec vous. L’élection de Trump à ce stade avant la Troisième Guerre mondiale… Je suis curieuse…
@BasicRabbit en autopsy Cet énoncé parfaitement descriptif pour la lumière est cependant curieux car il n’est pas causal mais empreint…
Le niveau a déjà depuis longtemps dépassé celui de la crise des missiles de Cuba en octobre 1962 !!! A…
En général le test le plus fiable pour détecter un ivrogne est qu’il repousse des mains le mur de gauche…
Peut-être l’ai-je déjà écrit ici mais un ami disait que ce n’est pas le peintre qui choisi le paysage mais…
Rectif : Le skieur progressiste (et non progressif)
@Khanard Thom : « Tant qu’on n’aura pas mis sur pied une catégorisation du métabolisme permettant une discrimination plus fine que…
La ‘crise de Cuba’ se poursuit actuellement sur un plan économique, la destruction est en cours, la population la plus…
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