Ray Kurzweil : sur l’inéluctabilité de l’Intelligence Artificielle Généraliste … et de l’immortalité !

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Une réponse à “Ray Kurzweil : sur l’inéluctabilité de l’Intelligence Artificielle Généraliste … et de l’immortalité !

  1. Avatar de Pascal
    Pascal

    « Les progrès scientifiques sont exponentiels » dit Kurtzweil, sans poser la question du progrès. La science pour soigner les maladies (combattre « les ténèbres de la maladie »), quand c’est l’usage de la science lui-même qui a créé les nombreuses maladies de ce siècle en détériorant notre environnement avec les COV, additifs alimentaires, pollutions de l’eau et de l’air responsable de la. destruction de la biodiversité et du dérèglement climatique.
    Ce vieux monsieur qui semble caresser le rêve que la science vienne lui accorder une longévité supplémentaire d’ici 2030, semble oublier l’action du vieillissement cellulaire qui commence seulement quelques années après notre naissance.
    Lutter contre cette programmation naturelle ne serait-elle pas d »ailleurs une lutte contre la vie elle-même ?
    Quel contraste avec la vidéo précédente sur le déclin de la science !
    Nous avons doublé notre espérance de vie grâce à la science depuis quelques siècles, avons-nous pour autant doublé notre sagesse humaine ? Avons-nous doublé notre conscience du bonheur ?
    A qui est faite cette promesse d’une existence prolongée par la science, au 1% qui auront la richesse suffisante tandis que les 99% restant verrons leur espérance de vie diminuer dans un marasme social qui s’installe ?

    « Nous serons plus drôles, plus sexys, plus intelligents, plus créatifs, libres de nos limites biologiques » dans une biosphère surchauffée qui aura détruit une grande partie de la vie sur Terre. Aucune préoccupation vis à vis des autres espèces qui disparaissent, vis à vis des biotopes qui disparaissent dans cette même exponentialité, l’essentiel réside dans le fait de pouvoir mettre les pensées de ce vieux monsieur dans un cloud pour l’éternité du néant.
    Ouai, j’suis un peu vénère quand j’entends ce genre de discours devant une assemblée qui votera certainement Trump aux prochaines élections.

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  1. Mes yeux étaient las, bien plus que là, juste après l’apostrophe : la catastrophe.

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