Illustrations par DALL·E (+PJ)
Le contexte d’un commentaire/billet publié précédemment mettant en scène le naufrage du Titanic, comptant plus que pour du beurre, l’argent du beurre… La vision compulsive – diffusée jusqu’à la limite de l’overdose, sans jamais la dépasser, paraît-il, pour tous les batraciens « télégéniques » à qui fut offerte « l’aubaine » d’être « vue à la télé » – sur tous les canaux audiovisuels (de chaînes publiques/privées diffusant de l’info en continu) du débarquement de la flamme olympique à Marseille… et de l’engouement ou envoutement (?) des « foules » s’y amassant… qui m’a inspiré la tragédie de cette situation.
Comme si chacune des chaînes avaient eu sa propre réalité alternative racontant pareil évènement si éphémère, devant éclipser la réalité des faits ordinaires, du quotidien du commun des mortels … bouleversé par les signaux de moins en moins faibles du dérèglement climatique, de l’effondrement politique, démocratique « sociétal » d’un pays… de continents… ce qui me semble avoir rendu spectaculaire dans leurs récits… comme moment « immémorial »… c’est leur constance à avoir encore réussi à paraître soi-disant répondre qu’à la demande des cerveaux reptiliens de « téléspectateurs(trices) ».
Comme si dans la réalité… leurs narrations mythologiques, mystifiées, de cet instant olympique qui n’eut d’intemporel que d’avoir réussi à chasser, un moment durant du moins, d’autres actualités plus dramatiques… de ce monde… comme si ces narrations n’avaient pas cherché en réalité qu’a réécrire l’Histoire, en direct live, accessible en un clic… qu’à réécrire la « légende » quoi… du côté obscur et spectaculaire… d’un orchestre jouant sa dernière symphonie sur le pont d’un navire en perdition…
Laisser un commentaire