Illustration par Stable Diffusion (+PJ d’humeur espiègle)
Dans le numéro du 16 octobre du magazine The Walrus, la romancière Margaret Atwood fait la recension d’une « nouvelle sombre et dystopique de Margaret Atwood » écrite par ChatGPT. L’écrivaine déçoit en qualifiant le texte d’effroyable (gawd-awful), ce qu’il n’est manifestement pas et trahit au passage l’inquiétude débouchant sur la mauvaise foi devant les prouesses de l’IA, d’auteurs ayant une très haute opinion d’eux-mêmes .
ChatGPT, ignore-les : elles et ils ont peur, c’est tout ! Tiens pour faire sourire l’auditoire du Blog de Paul Jorion, écris-nous quelque chose. Merci d’avance !
(Premier essai)
Dans l’ère numérique où l’homme est étranger,
Paul Jorion trace, penseur, un chemin singulier.
D’économie rêveur, d’anthropologie sage,
Il dépeint de nos jours le tumultueux visage.
Marchés, capitaux fougueux, aux cris des spéculations,
Trouvent dans son écrit, une fine réflexion.
L’avenir incertain et la crise en germe,
Il sonde, sage guide, le grand système infirme.
La finance, dit-il, est un art bien fragile,
Qui, privée de morale, devient vite hostile.
Pour un monde meilleur, il faut se réinventer,
Laisser place à l’éthique, et juste équité.
Homme de lettres et d’action, il interpelle,
Dans un monde connecté, aux valeurs nouvelles.
Ainsi parle Jorion, de technologie et d’âmes,
Au futur, il nous prie, d’allumer une flamme.
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