Illustration par DALL·E (+PJ)
Nous modelons notre environnement comme nous-même. La cité en est la démonstration évidente, elle qui règne sur le reste de l’humanité.
Les lois de la cité ne sont pas celles du vivant, mais celle de l’humanité qui crée simultanément le citadin et son enveloppe (la cité) sur le Vivant (substrat).
Ce mouvement, ces émergences du Vivant qui poursuit son évolution se fait selon deux directions qui nous concernent individuellement. Par l’accroissement de la connaissance stockée dans le Langage (qui inclut les 100 mots nécessaires à la vie quotidienne) et son pendant technologique et la mise à nu de nos croyances se faisant concomitamment à la perte de notre libre-arbitre.
Ce même libre-arbitre qui fonde les droits de l’homme, comme atome de l’Humanité dans sa vision réductionniste.
Article premier (injonction à la Nature).
« Tous les êtres humains naissent libres et égaux en dignité et en droits. Ils sont doués de raison et de conscience et doivent agir les uns envers les autres dans un esprit de fraternité. »
En physique, l’oscillateur, c’est interaction de deux formes d’une même substance par le biais du mouvement. Si je considère le cycle guerre et paix comme un oscillateur, la culture comme substance sous forme cinématique (contenue dans le langage, la forme dynamique) et sous forme potentielle (contenue dans les structures, la forme statique), selon mon dada d’une lecture du signal sous forme locale (inertiel, masse) et globale (potentiel, flux), alors il existe un moyen de prévoir et d’anticiper les guerres qui commencent lorsque la culture dynamique s’oppose à celle statique.
Si, dans sa forme simplifiée, ce modèle possède une quelconque pertinence, alors cette oscillation subie par l’humanité fait partie de son évolution. Il faut alors trouver des solutions pour faire cohabiter pacifiquement des sociétés humaines à différents stades de leur cycle pour mitiger la mentalité de vieux cons que possèdent toutes nos élites conservatrices avec leurs cohortes de supporters figés dans des structures obsolètes.
On reproche, a posteriori, aux entreprises humaines de construire leur plus grand ouvrage avant de sombrer corps et bien, imputant la débâcle aux dépenses pharaoniques grévant la qualité de l’édifice et sa rentabilité. Devant l’évidence, les économistes proclament l’existence de la « destruction créatrice » dans leur interprétation « politiquement compatible » de phénomènes culturels complètement hors de leur champ de vision étriqué, mais tellement plus vendeur pour leurs sponsors à l’origine du désastre « créateur » de connerie irresponsable. La faute à qui, Darwin bien sûr !
Le piano mécanique joue en boucle la bande perforée qui tisse toujours le même motif, qui exécute toujours le même programme machine, qui débite toujours le même compte, qui comptabilise éternellement le même formulaire…
Qu’est-ce-que nous ne comprenons pas dans les phénomènes cycliques ?
Je ne vais même pas essayer de poser la question à GPT.
Illustration par DALL·E (+PJ)
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