Bonjour Paul,
Quand on entend encore, « oui, mais le capitalisme a diminué la pauvreté dans le monde », histoire de changer la boue en or.
Oui, c’est vrai, on s’est gavé depuis le début de la révolution industrielle, le gâteau était entier sur la table, premiers arrivés, premier servis, et ils payaient bien ceux qui à leurs ordres, construisaient les routes pour qu’ils allient encore plus vite et puissent en emporter encore plus que les autres.
Aujourd’hui il ne reste que des miettes du gâteau sur la table, et le chacun pour soi pour sauver sa pelouse, c’est une déclaration de guerre.
Imaginons que les convulsions de la nature nous obligeraient à bifurquer, nous unir dans la diversité pour sauver notre peau.
Bonne journée !
Suis au frais !
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