I.A. : Mauvaise plaisanterie ou produit d’avenir ?

12 juillet 2023 10h49

Vous devinez sûrement ma réponse.

P.S. Un indice :

Deuil, Paranormal, Psychanalyse

intelligence artificielle, travail du deuil

28 réponses à “I.A. : Mauvaise plaisanterie ou produit d’avenir ?”

Pad

12 juillet 2023 11h41

Pompes funèbres génératives .. à votre service 24/24 !

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Khanard

12 juillet 2023 12h15

ha la la ! La psychokinèse a de bons jours devant elle !

Quand M. Jorion publie de telles vidéo !ATTENTION ! quand c’est flou c’est qu’il y a un loup !

😉😉😉😉😉😉

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Rosebud1871

12 juillet 2023 13h40

Pour ceux qui sont hantés par la figure de leur deuil en souffrance, il y a aussi les tables tournantes, possible de se faire embarquer dans le baquet de Mesmer, Charcot avait quelques malices, comme Uri Geller, aussi les cendres du défunt réduites à un diamant à porter sur soi pour être inséparables, quant au le mec congelé qui à son réveil visionnera un hologramme de Mélenchon je n’y crois pas.
Le deuil un travail ? c’est Freud qui a lancé ça, une contagion depuis, bossez bossez vous m’en direz des nouvelles, car est-ce bien sûr ? demandez au gîtpiti…

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1. Gh
  
  14 juillet 2023 10h24
  
  Mon Dieu relisez-vous avant de valider. Votre charabia est incompréhensible.
  
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  1. Rosebud1871
    
    14 juillet 2023 10h50
    
    Gh 14 juillet 2023 10h24
    Dieu n’a rien à faire là, chaque mot est pesé, et si vous souhaitez un dépliage de ce que vous paraît incompréhensible, ça vous fera au moins une page de lecture, je peux m’y coller…à faire le maître des colles ?
    
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  2. Rosebud1871
    
    15 juillet 2023 0h42
    
    Gh 14 juillet 2023 10h24
    
    « Mon Dieu relisez-vous avant de valider. Votre charabia est incompréhensible ».
    
    Diable, Madame ! ( statistiquement probable qu’en appeler à Dieu signe le féminin), car je n’ose conclure que votre « Mon Dieu » s’adresse à Rosebud1871 même si c’est un tour de lecture que l’IA à la mode ne récuserait pas, syntaxe oblige !
    
    « s’il y a quelque chose qui est tout à fait manifeste dans la langue, c’est qu’il n’y a rien de plus étranger à la langue que la notion de code, et qu’il suffit de lire un texte… enfin, à lire un texte, on ne s’en tire qu’à la condition de s’en donner un peu la peine, n’est-ce pas… on peut le faire jouer quant au sens, on peut donner à n’importe quel mot n’importe quel sens et pas simplement ceux qui sont déjà dans le dictionnaire. Si l’on s’en donne la peine, je le répète, on peut faire jouer à n’importe quel mot n’importe quel sens, et ça c’est, à proprement parler, la dimension du langage… »
    
    Je supporte ça, dont je ne suis pas l’auteur.
    
    Passons au code, (pas le juridique qui gère la jouissance) mais celui transmis dès 1808 par un certain Wellington, un anglais, militaire et dont usent les programmateurs, ça doit causer à Jorion. Que ceux-là annoncent (pas tous…ouf…) la singularity, la conscience, la personnalité, et l’intelligence fût elle artificielle, signe
    1/ qu’ils ne veulent pas savoir que la parole sourd dans une adresse déjà plus ou moins identifiée – ce qui implique des formes particularisées…
    2/ Que le récepteur – comme ils disent – ainsi que l’émetteur sont pris dans des registres de besoin, de demande et de désir, liés à ce corps mortel grouillants de pulsions diverses qui mènent à la scène du marché et ses pourparlers.
    3/ Que rires, pleurs, mensonges, ruses, and so on, sont, les tiques qui infectent le corps de façon toute singulière, des décharges d’affects qui agitent la bête humaine, tous liés au parasitisme du langage. Le défaut de chair de l’IA produit l’artifice, le simulacre, l’imitation : rien ne programmera un fou rire de la boîte de conserve branchée et grasse de kg octets, car un fou rire suppose un public complice. L’IA programmée à apprendre, a contrario du cocu et de l’amoureux qui ne veulent pas l’apprendre.
    
    4/ Il est des lapsus qui sont reçus comme mots d’esprit, des mots d’esprits comme des lapsus, et l’un comme l’autre peuvent ne pas du tout êtres entendus. La machine sait la syntaxe, le lexique, etc. et ne connait pas l’erreur, c’est même ce qu’on attend de sa création. Rien d’humain là dedans.
    
    Et pour ma prose, les tables tournantes sont un export US ; Mesmer une lubie française dont l’hypnose à hérité ; Uri Geller à eu ses heures de gloire ; les diamants… la mode est venue des US de s’offrir un bijou avec les cendres du corps bien aimé ; le projet de cryogénisation de Ray Kurzweil mode US encore, bref tout ça s’articule à l’embarras du deuil, dont la thèse du remplacement d’objet par Freud ne sature pas la difficulté, à défaut d’imprimante 3 D pour remplacer la perte.
    
    Voilà un peu déplié ce que vous nommez charabia, bref un avertissement moqueur aux emballés comme l’histoire nous en a déjà embarqués des légions. Ah j’oubliais… Chat Gîtpythie écrit la perte.
    ChatGPT pourrait s’employer comme une dame de compagnie instruite, encore du chômage en vue…
    
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    1. CloClo
      
      15 juillet 2023 10h59
      
      En plus de dame de compagnie Il pourrait aussi s’employer comme déplieur de charabia, et on n’y verrait que du feu !
      
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2. Garorock
  
  15 juillet 2023 2h34
  
  Elun ne sera jamais décongelé.
  R2D3 ne sera jamais assez con pour le faire.
  Pöur communiquer avec son esprit, suffira de prendre une paille.
  
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Rosebud1871

12 juillet 2023 13h51

Pour les lecteurs…gîtpythie d’elfe bien sûr pas la défunte ELF d’Acquitaine,

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1. arkao
  
  12 juillet 2023 19h09
  
  @Rosebud1871
  Vous partagez la fumette avec Timiota ?
  
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  1. Rosebud1871
    
    12 juillet 2023 20h19
    
    arkao 12 juillet 2023 19h09
    Je concours plutôt pour le désenfumage mais quand je découvre le lien de Jorion d’un certain « lama fâché » avec 7.8 millions de vues je conclue qu’avec ce genre de tsunami mieux vaut prendre de la hauteur, mais l’alpinisme… c’est difficile. Quand à Timiota son monde référentiel est très étranger au mien, mais je souris parfois de son mode d’expression où je déchiffre du commun. L’état pythie donc piteux de l’ambiance n’indique pas le nord aux boussoles.
    
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  2. Rosebud1871
    
    12 juillet 2023 21h14
    
    Petit ajout,
    Si c’est le fait que je plaisante à propos des hologrammes de Mélenchon qui vous a interpellé, ça s’adressait au Mélenchon bashing dominant…de la même façon que je n’ai jamais lu de bloggeurs anciens disparus la moindre gêne pour les irakiens, syriens, libyens de base qui font les frais d’éviction de partie des dictateurs en place, pas non plus lu leur gêne d’avoir permis au gars qui est allé se financer à Las Vegas de jouer comme eux au « en même temps ». La malhonnêteté intellectuelle m’insupporte plus que la mercantile, les deux affaire de jouissance, la première plus difficile à castrer.
    
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Pascal

12 juillet 2023 13h55

Je vois que le psychanalyste aura du pain sur la planche grâce à l’IA !😂
Bonjour, le travail de deuil impossible !
C’est vrai que les japonais aiment particulièrement les fantômes et sont déjà persuadés de vivre entourés d’âmes errantes.
Le business a toujours fleurit sur les fragilités humaines.

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konrad

12 juillet 2023 14h40

Vous êtes désarçonnant, M Jorion, et facétieux, incontestablement.
Là où je suis d’accord avec vous, l’IA est un produit d’avenir, assurément.
Ne serait-ce que les débats autour de cette question, qui enflamment la toile. Pour lancer un produit et susciter l’envie, rien de mieux que de convoquer des spécialistes qui promettent à la fois le bonheur et le malheur, c’est le comble de l’excitation.
Personnellement, dans bien des cas, l’IA fait partie de l’avenir. A savoir si c’est pour le meilleur, c’est une autre question, mais coté pratique elle peut rendre de bons services. Dans la mesure où sa « rationalité » est optimale et qu’elle n’a pas d’affects ni d’humeurs contrariantes, elle fait ce qu’on lui demande et c’est génial.
La question que certains soulèvent, c’est, si elle ne fait pas ce qu’on lui demande mais ce qu’elle veut, par singularité « auto-engendrée » ? Quand c’est vivant on peut toujours essayer des compromis et des diversions, mais quand c’est une machine ?
Un chien tu peux le dresser à être méchant, mais ensuite tu peux aussi lui réapprendre à être social. La machine, c’est une autre dimension, inconnue.
Là je suis à bout de ma réflexion. 🙂

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Juillot Pierre

12 juillet 2023 17h48

N’est-ce pas là, le comble du paroxysme des société de consommation, en cours d’effondrement politique, démocratique, « économiques », « sociétaux »…. qui consumant les images, « vues à la télé », sur les « réseaux sociaux » comme des cacahouètes devant un écran, petit, moyen, grand, dématérialisé, virtuel…. (en référence à mon dernier commentaire laissé sur un autre fil de ce blog : « Raisons vs causes : https://www.pauljorion.com/blog/2023/07/09/raisons-vs-causes-lemergence-telle-quelle-est-vecue-par-lagent-humain-2007/comment-page-1/#comment-965443) qui complaisent à tel point le plus d’individualismes, « temps de cervelles… » à mettre en disponibilité/indisponibilité, consentantes à tous/ou pas, dans l’acceptabilité du tout ou pas…. des deux bords de la polarisation des extrêmes (macronie vs extrêmes droites/extrêmes par exemple)… in fine… se rassurent, se réconfortent, se « réconcilient », devant des intérêts particuliers – en se faisant passer pour généraux – à être dans un nihilisme et négationnisme commun de confort : que ce soit par rapport aux risques du dérèglement climatique, des urgences sociales, « sociétales » pour une partie de la polarisation binaire… ou que ce soit dans les dangers d’une « compétitivité » concernant la recherche et l’exploitation à court-terme de « l’émergence d’IAs » de la robotisation, automatisation, mise en algorithmes, logiciels « autonomes »… DÉFISCALISES et DÉSOCIALISES…. de tous et n’importe quoi…?

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1. Pascal
  
  13 juillet 2023 12h37
  
  « N’est-ce pas là, le comble du paroxysme des société de consommation, en cours d’effondrement politique, démocratique, « économiques », « sociétaux »…. qui consumant les images, « vues à la télé », sur les « réseaux sociaux » comme des cacahouètes devant un écran, petit, moyen, grand, dématérialisé, virtuel…. »
  Les Paradis Artificiels, mon cher Pierre, les Paradis Artificiels de la religion de la consommation (alias économie ultralibérale). Quand l’ancien monde s’effondre, il y a ceux qui se battent pour le conserver, ceux qui se réfugient dans les paradis artificiels, ceux qui se battent pour changer le monde, ceux qui cherchent à construire, localement, un nouveau monde, ceux qui cherchent à réaliser leur transformation intérieure… Et tout ceux qui naviguent de l’un à l’autre.😉
  
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  1. Juillot Pierre
    
    13 juillet 2023 18h22
    
    Mais ou situez vous celles et ceux qui se battant pour essayer, en vain (à en croire ce que vous laissez transparaitre de certitudes de la compréhension de la psyché humaine….) de comprendre… ce qu’il se passe, ou ça se passe, comment ça se passe… n’ont aucun horizon, reconnaissance, aucune « représentativité » dans votre description si « nuancée » d’un schéma « simplifié » de l’espèce humaine en danger multiple d’extinction…?
    
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    1. Pascal
      
      13 juillet 2023 19h52
      
      Ceux qui cherchent à comprendre ce qui se passe ne connaissent certainement pas le blog de Paul Jorion ?😉
      Mais pour être plus sérieux, Don’t look UP nous a bien illustré que de savoir ce qui se passe n’est pas suffisant pour éviter là catastrophe, quand ce sont les gens de pouvoir qui sont dans le déni. Alors effectivement, on peut se mettre en quête d’une alternative qui, en dehors des propositions régulières de révolte ou révolution, semblebien difficile à imaginer !
      
      Répondre
arkao

12 juillet 2023 19h07

Photographies, fantômes et autres ectoplasmes, une vieille tradition de nous faire prendre des vessies pour des lanternes:
https://leschroniquesdelart.fr/2015/10/31/spiritisme-fantomes-et-photographie-au-xixe-siecle/

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1. Jacques Racine
  
  13 juillet 2023 1h59
  
  Le coup du lit sur roulettes qui bouge tout seul m’a fait pensé à la vidéo que tu avais partagé sur l’origine de la photographie (de précision)! Le temps de prendre la photo, toutes les rues apparaissent vides!
  
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  1. Pascal
    
    13 juillet 2023 12h45
    
    En voyant la table bouger, ça m’a immédiatement rappeler un souvenir.
    Quand j’étais gamin, avec mon cousin, on s’était amusé à attacher une belle araignée en caoutchouc à un fil de pêche et depuis la fenêtre de la cuisine à l’étage, on balançait la bête immonde devant le porche d’entrée, juste en dessous. D’abord on a bien rit et ensuite on s’est bien fait engueuler par mon oncle quand il l’a vu. Faut dire que c’était aussi le porche d’entrée de son agence d’assurance !😂
    
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    1. Jacques Racine
      
      13 juillet 2023 19h46
      
      Pas mal! C’est sûr que le comique des uns fait l’horreur des autres! La jeunesse! Il y a certaines de mes conneries que j’espère emporter dans ma tombe! (Dis-je sur le blog d’un psychanalyste… sic!)
      
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2. Rosebud1871
  
  13 juillet 2023 23h00
  
  Quand même de la fumée dans ces images…avez-vous oublié un autre enfumage… ? aussi questionnant… !
  https://www.pauljorion.com/blog/2019/02/14/je-ne-vais-pas-dire-ce-que-jen-pense/
  
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Garorock

12 juillet 2023 22h12

Y’a pas de sous-titres en français mais si je comprends bien, c’est un peu Alan Kardec en 3D.
Pas de quoi fouetter un chat. Même Californien!

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Pascal

13 juillet 2023 13h05

Bon, Paul, en matière de manipulation d’images, on a quand même beaucoup mieux aujourd’hui 😉
https://youtu.be/wiGcqKjTZ8A

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1. François M
  
  13 juillet 2023 19h46
  
  Excellent !
  
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François M

13 juillet 2023 19h51

Il paraitrait que les hommes politiques US (et particulièrement les pires) se préparent à une campagne électorale 2024 armée d’IA prêtes à sortir des images, vidéos, … compromettantes de leurs adversaires. Les fakenews ont de bons jours devant eux.
https://www.20minutes.fr/monde/4038889-20230529-etats-unis-faux-contenus-crees-intelligence-artificielle-menace-election-2024

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Ruiz

15 juillet 2023 16h51

En direct sur France-culture https://www.radiofrance.fr/franceculture/podcasts/science-en-questions/comment-et-a-quoi-les-mathematiciens-revent-ils-2364346
Où l’on parle d’inconscient et de Gödel …

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