Glenda Jackson (1936 – 2023)

Women in Love (1970) de Ken Russell

Marat-Sade (1967) de Peter Brook (d’après la pièce de Peter Weiss)

Et en tant que politicienne (du genre qu’on aime au Blog de PJ) :

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3 réponses à “Glenda Jackson (1936 – 2023)

  1. Avatar de Johan Leestemaker
    Johan Leestemaker

    @Timiota @Paul Jorion

    Medellín le 15 juin 2023

    1. Glenda après la mort de la monstrueuse menteuse et corrupte Thatcher, à voir la minute 04.16:

    ¨et les gens savaient pendant ces années le prix de tout, mais la valeur de absolument rien¨.

    (https://www.youtube.com/watch?v=BRqdQMlIiYc )

    2. Cette même monstreuse menteuse et corrupte Thatcher qui le 18 octobre 1984 avait prononcé les paroles suivantes à son apprendi-sorcière du premier rang, Bettino Craxi, le ¨padrino¨. the ¨godfather¨ de Berlusconi:

    https://www.margaretthatcher.org/document/105767

  2. Avatar de timiota
    timiota

    M’est passé par la tête l’idée d’un tableau de la danse macabre, dans une version où Thatcher aurait la faux, et où dans la bal des tristes sires, on apercevait Pinochet passant à Londres à ses 82 ans , où le juge Garzon demanda son arrestation (en 1998).
    (Pour mémoire, il y resta 500 et quelques jours, et fut renvoyé au Chili. Chili où de procès il n’y eut pas, grâce aux arguments médicaux de « démence légère » qui furent mis bout à bout pour écarter ce procès)

    1. Avatar de Johan Leestemaker
      Johan Leestemaker

      @Timiota

      1. A voir le numéro 3 s’il vous plaît:

      https://www.theguardian.com/politics/gallery/2013/apr/13/margaretthatcher-cartoons

      2. Et puis-je vous recommander cette thèse MA formidable de Daniel Cowdrill avec le titre ¨Le parti conservateur et le thatchérisme, 1970 – 1979, perspective à partir du niveau local¨ (très intéressante.. parce que l’analyse commence dès 1945…):

      https://core.ac.uk/download/pdf/76647.pdf

      (avec beaucoup d’éléments des analyses du trop jeune-décédé et brillant Ewen Green).

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  1. Mes yeux étaient las, bien plus que là, juste après l’apostrophe : la catastrophe.

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