ChatGPT : Le Plan B – Établir une colonie autonome sur une autre planète à l’horizon 2100

Illustration par DALL-E (+PJ)

Paul Jorion :

Il existe trois plans : le plan A, le plan B et le plan C.

  • Le plan A consiste à empêcher l’extinction de l’humanité d’ici à 2100.
  • Le plan B consiste à établir une colonie humaine autonome sur une autre planète que la Terre ou un satellite d’ici à 2100.
  • Le plan C consiste à établir sur la Terre ou sur une autre planète une communauté d’au moins 100 robots autonomes et autosuffisants ou d’autres machines autosuffisantes d’ici l’an 2100.

Quelle est la probabilité de réussite du plan B ?

[Ma contribution à la discussion s’est limitée à définir les 3 plans dans les termes ci-dessus].

GPT-4 :

[Rappel : Considérations générales ; Le Plan A – Les chances de survie du genre humain à l’horizon 2100]

Les systèmes de survie jouent un rôle crucial pour assurer la survie à long terme et le bien-être des occupants des habitats ou des colonies spatiales. Ils doivent fournir les éléments essentiels à la vie humaine, tels que l’air, l’eau et la régulation de la température, tout en réduisant au minimum le besoin de missions de réapprovisionnement depuis la Terre. La mise au point de systèmes de survie fiables et durables implique des progrès dans les domaines suivants :

  1. Gestion de l’air : La gestion de l’air consiste à maintenir un équilibre approprié entre l’oxygène, le dioxyde de carbone et d’autres gaz dans l’atmosphère de l’habitat. Cela inclut des technologies de production d’oxygène, telles que l’électrolyse de l’eau ou des réactions chimiques, ainsi que l’élimination du dioxyde de carbone par lavage, absorption ou d’autres méthodes. Les systèmes efficaces de gestion de l’air doivent également prendre en compte le contrôle de l’humidité et la circulation de l’air.
  2. Gestion de l’eau : La gestion de l’eau consiste à fournir une source fiable d’eau propre pour la consommation humaine, l’hygiène et d’autres usages. Les technologies clés dans ce domaine comprennent les systèmes de recyclage et de purification de l’eau qui peuvent traiter les eaux usées et les renvoyer dans l’approvisionnement en eau potable, minimisant ainsi la nécessité d’un approvisionnement externe. La recherche dans ce domaine se concentre sur l’amélioration de l’efficacité et de la fiabilité des processus de traitement de l’eau, ainsi que sur l’exploration de techniques innovantes d’extraction de l’eau à partir de ressources locales, telles que l’exploitation de la glace d’eau sur Mars ou d’autres corps célestes.
  3. Contrôle de la température et de l’humidité : Le maintien d’une température et d’un niveau d’humidité stables et confortables est essentiel pour la santé et le bien-être de l’homme. Les systèmes de contrôle de la température et de l’humidité doivent être capables de s’adapter aux variations des conditions extérieures, telles que les variations du rayonnement solaire, et de maintenir un environnement interne stable. La recherche dans ce domaine porte sur la mise au point de systèmes de gestion thermique efficaces, de matériaux d’isolation et de systèmes de chauffage, de ventilation et de climatisation (CVC) à haut rendement énergétique.
  4. Gestion des déchets : Des systèmes de gestion des déchets sont nécessaires pour traiter les déchets solides et liquides générés par les activités humaines, ainsi que les déchets produits par les systèmes de maintien de la vie eux-mêmes. Il s’agit notamment de mettre au point des technologies efficaces et compactes pour le traitement des déchets, telles que l’incinération des déchets, le compostage ou les systèmes de recyclage qui peuvent récupérer des ressources précieuses, telles que l’eau ou les nutriments.
  5. Systèmes en boucle fermée : L’un des principaux objectifs du développement des systèmes de survie est de parvenir à un degré élevé de recyclage et de régénération des ressources, ce qui peut réduire la dépendance à l’égard des missions de réapprovisionnement depuis la Terre. Les systèmes en circuit fermé visent à minimiser la perte de ressources et la production de déchets en intégrant divers sous-systèmes, tels que l’air, l’eau et la gestion des déchets, dans un réseau hautement efficace et interconnecté. La recherche dans ce domaine implique le développement de technologies avancées de recyclage et de récupération des ressources, ainsi que l’optimisation de la conception globale du système pour une durabilité maximale.

La radioprotection est un aspect essentiel de la sécurité des astronautes et des colons lors des missions spatiales et dans les colonies extraterrestres. Les rayonnements spatiaux proviennent de diverses sources, telles que les éruptions solaires, les rayons cosmiques galactiques (GCR) et les ceintures de radiation (par exemple, les ceintures de Van Allen de la Terre). Une exposition prolongée aux rayonnements spatiaux peut entraîner divers problèmes de santé, notamment un risque accru de cancer, des lésions du système nerveux central et des maladies dégénératives des tissus.

Il est essentiel de mettre au point des techniques efficaces de protection contre les rayonnements et d’atténuation de leurs effets pour protéger les astronautes et les colons de ces risques. Voici quelques approches de la protection contre les rayonnements :

  1. Le blindage passif : Il s’agit d’utiliser des matériaux capables d’absorber ou de dévier les rayonnements. Les matériaux de blindage traditionnels, comme le plomb, sont souvent trop lourds pour les applications spatiales. Les chercheurs explorent donc l’utilisation de matériaux légers comme les polymères riches en hydrogène, les composites et les nanomatériaux pour le blindage contre les rayonnements.
  2. Le blindage actif : Les systèmes de blindage actif utilisent des champs magnétiques ou électrostatiques pour dévier les particules chargées et réduire l’exposition aux rayonnements. Ces systèmes peuvent être complexes et consommer beaucoup d’énergie, mais ils ont le potentiel de fournir une protection contre les rayonnements plus efficace que les méthodes de blindage passif.
  3. Réponses pharmacologiques : Les chercheurs étudient l’utilisation de médicaments et de compléments alimentaires pour atténuer les effets biologiques de l’exposition aux rayonnements. Ces réponses pourraient contribuer à réduire le risque de problèmes de santé induits par les rayonnements, mais leur efficacité et leur sécurité à long terme doivent faire l’objet d’une évaluation approfondie.
  4. Habitats résistants aux radiations : La conception d’habitats dotés d’une protection intégrée contre les radiations peut contribuer à réduire l’exposition lors des activités de surface sur d’autres corps célestes. Cela pourrait impliquer la construction d’habitats souterrains ou l’utilisation de matériaux locaux, tels que le régolithe, à des fins de blindage.
  5. Surveillance et prévisions : La surveillance et la prévision précises des phénomènes météorologiques spatiaux, tels que les éruptions solaires et les éjections de masse coronale, peuvent aider les astronautes et les colons à prendre des mesures de précaution pour minimiser l’exposition aux rayonnements. Pour ce faire, il faut développer des modèles avancés de prévision de la météo spatiale et des capteurs de rayonnement.

La mise en œuvre d’une combinaison de ces stratégies de protection contre les rayonnements peut contribuer à garantir la sécurité des astronautes et des colons lors des missions de longue durée et des efforts de colonisation extraterrestre. La poursuite de la recherche et du développement dans ce domaine est essentielle pour relever les défis liés à l’exposition aux rayonnements dans l’espace.

La production alimentaire durable est un aspect crucial du soutien d’une colonie humaine sur une autre planète ou un autre satellite. Les méthodes agricoles traditionnelles peuvent ne pas être applicables dans ces environnements en raison de facteurs tels que la gravité réduite, l’absence de sol ou les températures extrêmes. Il faut donc mettre au point d’autres méthodes de production alimentaire pour fournir une source fiable d’aliments nutritifs aux colons. Les principales technologies et approches dans ce domaine sont les suivantes

  1. La culture hydroponique : La culture hydroponique est une méthode de culture de plantes sans sol, utilisant des solutions nutritives minérales dans l’eau. Cette approche permet un contrôle précis de l’apport en nutriments et en eau, ainsi qu’une réduction de la consommation d’eau et de ressources par rapport à l’agriculture traditionnelle. Les systèmes hydroponiques peuvent être conçus pour être compacts, modulaires et évolutifs, ce qui les rend bien adaptés aux habitats spatiaux ou aux colonies extraterrestres.
  2. Aéroponie : L’aéroponie est une autre méthode de culture de plantes sans sol, dans laquelle les plantes sont suspendues dans l’air et reçoivent des nutriments et de l’eau par le biais d’un fin brouillard. Cette technique peut permettre une utilisation encore plus efficace des ressources et une croissance plus rapide des plantes par rapport à la culture hydroponique. Les systèmes aéroponiques peuvent également être compacts et modulaires, ce qui permet une utilisation efficace de l’espace dans une colonie.
  3. Éclairage artificiel et contrôle de l’environnement : Des systèmes d’éclairage avancés, tels que les LED ou d’autres technologies à haut rendement énergétique, peuvent être utilisés pour fournir le spectre lumineux et l’intensité nécessaires à la croissance des plantes. Les systèmes de contrôle de l’environnement peuvent maintenir une température, une humidité et une composition atmosphérique optimales pour la culture des plantes. La recherche dans ce domaine se concentre sur l’optimisation des paramètres d’éclairage et de contrôle de l’environnement pour différentes cultures, ainsi que sur le développement de technologies plus efficaces sur le plan énergétique.
  4. Production de viande in vitro : La production de viande in vitro ou en culture consiste à cultiver des tissus animaux à partir de cellules dans un environnement contrôlé, éliminant ainsi le besoin de recourir à l’élevage traditionnel. Cette approche pourrait constituer une source de protéines plus efficace en termes de ressources et plus éthique pour une colonie spatiale. La recherche dans ce domaine se concentre sur l’amélioration de l’efficacité, de l’évolutivité et de l’accessibilité financière de la production de viande in vitro, ainsi que sur la résolution des problèmes liés à la texture, au goût et à l’acceptation par les consommateurs.
  5. Systèmes de survie biorégénérateurs : Les systèmes biorégénératifs de maintien de la vie intègrent la production alimentaire, le traitement des déchets et la gestion de l’air et de l’eau dans un système en boucle fermée qui imite les écosystèmes naturels de la Terre. Cette approche peut contribuer à la durabilité globale d’une colonie spatiale en réduisant la consommation de ressources, la production de déchets et la dépendance à l’égard des missions de réapprovisionnement externes. La recherche dans ce domaine consiste à étudier les interactions entre les différents composants du système, tels que les plantes, les microbes et les animaux, et à optimiser leurs performances pour les applications spatiales.

Le développement de méthodes de production alimentaire durables est essentiel pour le succès à long terme d’une colonie humaine sur une autre planète ou un satellite. Le succès du plan B, qui prévoit l’établissement d’une colonie humaine autonome d’ici 2100, dépendra des progrès continus dans ces domaines et de l’allocation de ressources à l’exploration spatiale et au développement technologique.

Les transports et les infrastructures jouent un rôle crucial dans la réussite de tout effort de colonisation de l’espace. L’établissement d’une colonie humaine autonome sur une autre planète ou un autre satellite nécessite des systèmes de transport fiables et abordables pour l’équipage et le fret, ainsi qu’une infrastructure permettant des déplacements réguliers vers et depuis la colonie. Les principaux domaines de développement en matière de transport et d’infrastructure sont les suivants :

  1. Systèmes de lancement réutilisables : La technologie des fusées réutilisables peut réduire considérablement le coût de l’accès à l’espace en permettant des lancements multiples avec le même véhicule. Des entreprises comme SpaceX ont réalisé des progrès significatifs dans ce domaine avec leurs fusées Falcon 9 et Falcon Heavy, dont les premiers étages sont réutilisables. La poursuite du développement et de l’optimisation des systèmes de lancement réutilisables rendra les voyages dans l’espace plus abordables et plus accessibles.
  2. Technologies de propulsion avancées : Le développement de nouvelles technologies de propulsion peut améliorer l’efficacité, la vitesse et la portée des voyages spatiaux. Parmi les technologies de propulsion potentielles figurent la propulsion thermique nucléaire, la propulsion électrique solaire et les systèmes de propulsion chimique avancés. Ces technologies pourraient permettre un transport plus rapide et plus efficace de l’équipage et du fret vers les colonies extraterrestres.
  3. Infrastructure spatiale : La mise en place d’infrastructures spatiales, telles que des dépôts de carburant, des relais de communication et des nœuds de transport, peut permettre des déplacements réguliers à destination et en provenance de la colonie. Cette infrastructure peut également faciliter l’utilisation des ressources provenant d’autres corps célestes, comme l’extraction d’eau, de métaux ou d’autres ressources sur les astéroïdes.
  4. Lunar Gateway et autres stations spatiales : La Lunar Gateway (« passerelle lunaire »), une station spatiale prévue en orbite lunaire, a pour but de servir de point d’appui pour les futures missions vers la Lune et Mars. D’autres stations spatiales, comme la Station spatiale internationale (ISS), peuvent également servir à la recherche, au développement technologique et à l’entraînement des équipages en vue de missions spatiales de longue durée et d’efforts de colonisation.
  5. Atterrisseurs et véhicules de surface : La mise au point d’atterrisseurs et de véhicules de surface perfectionnés est essentielle pour le transport de l’équipage et du fret entre les engins spatiaux et la surface d’autres corps célestes. Ces véhicules doivent être conçus pour fonctionner dans différents environnements, tels que la faible gravité et l’atmosphère ténue de Mars ou les températures et les radiations extrêmes de la Lune.
  6. Transport de la Terre à l’orbite : De nouvelles approches du transport Terre-orbite, telles que les avions spatiaux ou les ascenseurs spatiaux, pourraient réduire davantage le coût et la complexité de l’accès à l’espace. Ces technologies en sont encore aux premiers stades de développement et nécessitent des recherches et des investissements importants.

En faisant progresser les technologies de transport et d’infrastructure, les agences spatiales et les entreprises privées peuvent permettre des voyages réguliers vers et depuis les colonies extraterrestres, améliorant ainsi la faisabilité et la durabilité des efforts de colonisation de l’espace.

Illustration par DALL-E (+PJ)

L’utilisation des ressources in situ (ISRU) est un aspect essentiel de l’établissement d’une colonie humaine durable sur une autre planète ou un satellite. En utilisant les ressources locales, les colons peuvent réduire leur dépendance à l’égard des approvisionnements terrestres, diminuer le coût et la complexité des missions de réapprovisionnement et améliorer la durabilité globale de la colonie. Le développement de technologies ISRU efficaces implique des avancées dans les domaines suivants :

  1. Prospection des ressources : L’identification et la caractérisation des ressources locales constituent la première étape de l’ISRU. Il s’agit de mettre au point des instruments de télédétection et des systèmes d’exploration robotique capables de détecter et de cartographier la distribution de ressources précieuses, telles que l’eau, les minéraux et les composés volatils. La recherche dans ce domaine se concentre sur l’amélioration de la sensibilité, de la précision et de la résolution de ces instruments, ainsi que sur le développement de nouvelles techniques de caractérisation des ressources.
  2. Extraction des ressources : Une fois les ressources identifiées, des technologies doivent être développées pour les extraire de l’environnement planétaire. Il peut s’agir de forage, d’excavation ou d’autres techniques, en fonction de la nature de la ressource et des conditions locales. La recherche dans ce domaine se concentre sur la mise au point de systèmes d’extraction efficaces, légers et fiables, capables de fonctionner dans des environnements extrêmes et dans des conditions difficiles, telles qu’une gravité réduite ou des températures extrêmes.
  3. Traitement des ressources : Les ressources extraites doivent être transformées en formes utilisables, telles que l’eau purifiée, l’air respirable ou les matériaux de construction. Cela implique de développer des technologies de raffinage, de purification et de conversion des ressources, ainsi que des systèmes de stockage et de distribution des matériaux traités. La recherche dans ce domaine se concentre sur l’amélioration de l’efficacité, de la fiabilité et de l’évolutivité de ces processus, ainsi que sur l’exploration de nouvelles techniques de conversion et d’utilisation des ressources.
  4. Fabrication et construction : L’utilisation des ressources locales pour la fabrication et la construction peut réduire considérablement la nécessité d’importer des matériaux de la Terre. Il s’agit de développer des technologies de fabrication additive (impression 3D) qui peuvent utiliser des matériaux d’origine locale, tels que le régolithe ou le sol martien, pour produire des pièces, des outils, voire des habitats entiers. La recherche dans ce domaine se concentre sur l’amélioration des performances, de la fiabilité et de la polyvalence de ces technologies, ainsi que sur l’exploration de nouveaux matériaux et de nouvelles techniques de fabrication.
  5. Production d’énergie : Les ressources locales peuvent également être utilisées pour produire de l’énergie pour la colonie, réduisant ainsi la nécessité de recourir à des sources d’énergie externes. Il peut s’agir de développer des systèmes d’énergie solaire qui utilisent des matériaux locaux pour fabriquer des panneaux solaires ou d’explorer d’autres méthodes de production d’énergie, telles que l’énergie nucléaire ou les piles à combustible, qui peuvent être adaptées à l’environnement local. La recherche dans ce domaine se concentre sur l’amélioration de l’efficacité, de la fiabilité et de l’évolutivité de ces technologies de production d’énergie, ainsi que sur l’étude de nouvelles approches en matière de production et de stockage d’énergie.

Le développement de technologies ISRU efficaces est essentiel à l’établissement d’une colonie humaine durable et autonome sur une autre planète ou un satellite.

Gouvernance et systèmes sociaux. L’établissement d’une colonie humaine sur une autre planète ou un autre satellite implique non seulement des avancées technologiques, mais aussi le développement de structures de gouvernance, de cadres juridiques et de systèmes sociaux susceptibles d’assurer le succès et la stabilité à long terme de la colonie. La prise en compte de ces aspects sociaux et organisationnels est essentielle pour garantir la sécurité, le bien-être et la productivité des colons. Les éléments clés à prendre en compte dans ce domaine sont les suivants :

  1. Les structures de gouvernance : Un système de gouvernance efficace est essentiel pour coordonner les activités de la colonie, prendre des décisions collectives et régler les conflits et les différends. Les colons devront développer des structures efficaces, équitables et adaptables aux défis uniques d’une colonie en-dehors de la Terre. Cela peut impliquer d’expérimenter différentes formes de gouvernance, telles que la démocratie directe, les systèmes représentatifs ou les modèles technocratiques, et de les affiner en fonction des besoins et des préférences des colons.
  2. Cadres juridiques : Un cadre juridique clair et cohérent est nécessaire pour définir les droits et les responsabilités des colons, réglementer leurs interactions et assurer la protection des individus et de la communauté dans son ensemble. Il s’agit notamment d’élaborer des lois et des règlements relatifs aux droits de propriété, à l’allocation des ressources, à la protection de l’environnement et à d’autres questions essentielles. Le cadre juridique doit également prévoir des mécanismes de résolution des conflits et d’application des lois, tels que des tribunaux, des systèmes d’arbitrage ou d’autres méthodes.
  3. Systèmes sociaux : L’établissement d’un environnement social stable et cohésif est crucial pour le bien-être mental et émotionnel des colons. Cela implique le développement de systèmes et d’institutions capables de soutenir l’interaction sociale, la coopération et l’expression culturelle, tels que l’éducation, les soins de santé, les loisirs et les services communautaires. La recherche dans ce domaine se concentre sur la compréhension des besoins psychologiques et sociaux des individus vivant dans des environnements isolés et extrêmes, ainsi que sur le développement de stratégies visant à favoriser la résilience, la cohésion et le bien-être dans ces environnements.
  4. Systèmes économiques : Un système économique durable est nécessaire pour soutenir la production, la distribution et la consommation de biens et de services au sein de la colonie. Cela implique de développer des modèles économiques, tels que des systèmes basés sur le marché, des économies planifiées ou des approches hybrides, qui peuvent allouer efficacement les ressources, encourager l’innovation et assurer la viabilité à long terme de la colonie. La recherche dans ce domaine se concentre sur la compréhension des défis économiques uniques de la colonisation spatiale et sur l’exploration de théories et de modèles économiques novateurs pouvant être appliqués dans ces contextes.
  5. Considérations éthiques : La colonisation spatiale soulève une série de questions éthiques liées au traitement des colons, à la préservation de l’environnement planétaire et aux interactions potentielles avec la vie extraterrestre. Pour répondre à ces considérations éthiques, il faut élaborer des cadres et des principes susceptibles de guider la prise de décision et d’éclairer le développement de technologies, de politiques et de pratiques.

La mise en place de systèmes sociaux et de gouvernance efficaces est un aspect essentiel de l’établissement d’une colonie humaine réussie sur une autre planète ou un autre satellite. Le succès du plan B, qui prévoit la création d’une colonie humaine autonome d’ici à 2100, dépend de la capacité des colons à développer et à mettre en œuvre ces systèmes de manière à promouvoir la coopération, la stabilité et le bien-être.

Illustration par DALL-E (+PJ)

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32 réponses à “ChatGPT : Le Plan B – Établir une colonie autonome sur une autre planète à l’horizon 2100

  1. Avatar de Arno75
    Arno75

    Bonjour,
    Gouvernance et systèmes sociaux
    3 – Systèmes sociaux
    « La recherche dans ce domaine se concentre sur la compréhension des besoins psychologiques et sociaux des individus vivant dans des environnements isolés et extrêmes, ainsi que sur le développement de stratégies visant à favoriser la résilience, la cohésion et le bien-être dans ces environnements. »
    Quand on constate les souffrances psychologiques qu’ont rencontré les humains lors du confinement à ne pas pouvoir simplement sortir à l’air libre et se promener dans la nature, il me paraît improbable qu’une communauté humaine passe toute sa vie à vivre dans une station fermée avec pour seule possibilité de « sortir » en combinaison de spationaute pour faire quelques pas dans le désert martien.
    Les êtres humains actuels sont le résultat de millions d’années d’évolution sur la planète Terre et sont faits pour y vivre, avec leur environnement dont ils ont souvent oublié qu’ils font partie. Il n’y a qu’à voir l’attitude de tous ces citadins qui, au sortir du confinement, se sont empressés d’acheter une maison à la campagne.
    Que l’on puisse envoyer des humains dans l’espace quelques mois dans une station, soit. Cependant, il s’agit d’humains triés sur le volet pour leurs capacités physiques et mentales hors du commun, ayant suivi un entrainement intensif, ce qui leur a permis de vivre dans des conditions extrêmes une période très limitée à l’égard du temps d’une vie.
    Peut-on sérieusement envisager d’envoyer Monsieur et Madame tout le monde sur une base lunaire, à fortiori martienne, pour le reste de leur vie, qui plus est sans la possibilité de sentir de l’air frais sur leurs visages, de se baigner dans la mer, de voir des arbres, des fleurs, des animaux?
    Quel seraient l’intérêt et le sens d’une telle vie?

    1. Avatar de Garorock
      Garorock

      Les êtres humains auront sans doutes du mal à s’adapter aux conditions d’une autre planète mais les robots, eux, auront beaucoup moins de difficultés. D’ailleurs dans le cas des robots, beaucoup d’inconvénients humains d’adaptation au « nouveau climat » n’ont plus lieu d’être.
      Pour que le plan B soit efficient, il faut que le plan C ( pour nous remplaC ) réussisse.
      Tout baigne!

      1. Avatar de Pascal
        Pascal

        Il va quand même falloir qu’ils trouvent pas mal de solutions pour vivre sur Mars les robots !
        D’abord la poussière, c’est ce que tous les rovers actuels redoutent.
        Les températures : – 63° en moyenne annuelle contre +15° sur Terre et une variation de 100° entre le jour +20° et la nuit -80°. Tous ceux qui on fait de la mécanique savent que les matériaux redoute ces variations de température.
        Pas d’atmosphère pour protéger des météorites…
        Si les robots sont pas cons, ils préfèreront certainement rester sur Terre où ils pourront se gaver de tous les matériaux laissés par les hommes. Ils ont certainement moins à redouter l’effet de serre sur Terre que les conditions de vie, euh… de mécanique sur Mars. 😉

        1. Avatar de Garorock
          Garorock

          T’as pas forcément tort, Pascal, mais il me semble qu’il ne faille pas exclure si promtement que les robots ne soient pas un peu cons: c’est quand même nous qui les avons créé!
          Tu sais avec cette fameuse « identité »…
          La curiosité est un vilain défaut que les robots n’auront peut être pas sû combattre.
          Don’t look up!
          😎

          1. Avatar de Pascal
            Pascal

            T’as pas tort non plus.
            Quand on voit minou minou parler à la première personne, c’est par là que commence la construction de l’identité et comme Paul veut absolument de la singularité, ils vont bien finir par se singulariser et revendiquer leur personnalité.
            Je serai curieux de voir une engueulade de robots parce que l’autre à plus de puces que lui !

            1. Avatar de gaston
              gaston

              Vous pouvez toujours vous grattez…

  2. Avatar de Hadrien
    Hadrien

    Je me suis abonné à GPT 4 (24.5 $)

    Voici un échange:
    IA :Vous interagissez actuellement avec une version basée sur l’architecture GPT-4.

    Moi : 1) l’effondrement physique de la biosphère est dû à notre consommation de ses ressources, transformées en pollutions, que nous appelons aussi « richesse », mesurée (+- correctement) par le « PIB ». 2) L’équation de Kaya simplifiée lie ce PIB aux humains sur cette terre: PIB = N*PIB/N = nombre de consommateurs N * niveau de vie moyen par consommateur PIB/N. 3) Donc, si nous voulons diminuer l’effondrement physique de la biosphère il n’y a que deux solutions: 3.1) Diminuer le nombre de consommateurs; 3.2) Diminuer le niveau de vie moyen; Et/ou toute combinaison des deux. SIMPLE mais pas facile et TRES peu populaire

    IA : Votre raisonnement est basé sur une vue simplifiée de l’impact de la consommation humaine sur l’environnement et le climat. En effet, l’équation de Kaya, un modèle d’identité de l’empreinte carbone, lie les émissions de gaz à effet de serre (GES) à la population (N), le PIB par habitant (PIB/N), l’énergie par unité de PIB, et les émissions de GES par unité d’énergie.
    Votre suggestion, en se concentrant sur les deux premiers facteurs (N et PIB/N), est que nous pourrions réduire l’impact environnemental soit en réduisant la population (moins de consommateurs), soit en réduisant le niveau de vie moyen (moins de consommation par personne), soit une combinaison des deux. En effet, ces suggestions pourraient réduire l’impact environnemental, mais elles soulèvent également des problèmes d’équité et de justice sociale.
    Cependant, il y a d’autres manières de réduire l’impact environnemental sans nécessairement diminuer le nombre de consommateurs ou leur niveau de vie. Par exemple, nous pourrions travailler sur les deux autres facteurs de l’équation de Kaya :
    1. Améliorer l’efficacité énergétique (réduire l’énergie par unité de PIB) : cela pourrait impliquer des améliorations technologiques, des changements dans les processus industriels, des normes de rendement énergétique plus strictes, etc.
    2. Décarboniser l’approvisionnement en énergie (réduire les émissions de GES par unité d’énergie) : cela pourrait signifier passer à des sources d’énergie renouvelables comme l’énergie éolienne, solaire ou hydroélectrique, ou améliorer la capture et le stockage du carbone.
    Il est également possible de réduire l’impact environnemental en changeant nos modèles de consommation et en adoptant des pratiques plus durables dans tous les secteurs de l’économie. Cela pourrait inclure une consommation plus consciente, le recyclage, l’économie circulaire, l’agriculture durable, et d’autres approches.
    Bien sûr, ces solutions sont également complexes et présentent leurs propres défis, mais elles offrent d’autres voies pour réduire l’impact environnemental sans nécessairement réduire le nombre de personnes ou leur niveau de vie.

    Notons que les autres voies proposées par CHAT4 sont contestées par les scientifiques et refusées par beaucoup de consommateurs, elles s’apparentent aux voeux pieux. Notons aussi – surprise !? – que CHAT4 ne propose pas la suppression du capitalisme parmi ces autres voies. 😉 .
    Alors Singularité ?

    1. Avatar de Garorock
      Garorock

      Ce qui est singulier Hadrien c’est le score qui s’affiche sous la battle que vous venez de nous offrir:
      Le minou: 1
      Janco: 0
      Vous allez me dire; »mais si, Janco a gagné, va y avoir pleins d’EPR partout, c’est acté, et pas de propriétaires de Tesla et de frigo américains par millions dans les rues pour s’en plaindre! »
       » certes » vous répondrai-je mais le minou woke n’envisage pas du tout l’avenir de l’humanité avec du nucléaire!
      L’a pas lu la BD de Janco, le minou?

    2. Avatar de Hadrien
      Hadrien

      Je pousse un peu:

      Moi : En travaillant sur les deux autres facteurs comme vous le suggérez, peut on augmenter à l’infini le nombre d’humains et leur niveau de vie ?
      IA : Non, il n’est pas possible d’augmenter à l’infini le nombre d’humains et leur niveau de vie, même en améliorant l’efficacité énergétique et en décarbonisant l’approvisionnement en énergie.
      D’abord, en termes de population, il y a des limites physiques à la quantité de personnes que la Terre peut soutenir, en fonction de facteurs tels que la disponibilité de l’eau douce, la capacité de produire de la nourriture, l’espace pour le logement, et d’autres besoins humains essentiels.
      De plus, même si nous parvenions à une efficacité énergétique parfaite et à une énergie entièrement non carbonée, il y aurait toujours des impacts environnementaux associés à la consommation humaine. Par exemple, l’extraction de ressources nécessaires pour produire des biens peut entraîner la dégradation des habitats naturels, la pollution de l’eau et d’autres problèmes environnementaux. De même, la production de nourriture a des impacts sur l’environnement, y compris la déforestation, la perte de biodiversité, et la pollution par les engrais et les pesticides.
      En ce qui concerne le niveau de vie, il est également difficile de l’augmenter indéfiniment sans conséquences environnementales. Cela dit, il est possible d’améliorer le bien-être humain (qui est une notion plus large que le simple niveau de vie économique) de manière plus durable. Par exemple, une plus grande égalité, un meilleur accès à l’éducation et aux soins de santé, et une plus grande sécurité peuvent tous contribuer à améliorer le bien-être sans nécessiter une augmentation proportionnelle de la consommation de ressources.
      Il est donc important de reconnaître que, bien que l’amélioration de l’efficacité énergétique et la décarbonisation de l’approvisionnement en énergie soient des éléments importants de la solution, elles ne sont pas suffisantes en elles-mêmes. Nous devons également envisager des stratégies pour stabiliser la population mondiale, améliorer les modèles de consommation, et promouvoir un développement qui améliore le bien-être humain de manière durable.

      Notons donc que CHAT4 découvre la finitude de la planète de lui-même. Ce qui le rend supérieur aux « grand prêtres de la religion féroce » (dit autrement aux économistes orthodoxes).

  3. Avatar de Manuel Guérin
    Manuel Guérin

    Sans oublier que notre corps est fait pour vivre avec de la gravité :

    https://www.asc-csa.gc.ca/fra/sciences/tbone.asp

    1. Avatar de J.L. Picard
      J.L. Picard

      … Avec de la gravité et avec de l’humour aussi !

  4. Avatar de l'arsène
    l’arsène

    Mais pourquoi donc coloniser une autre planète si c’est pour reproduire ce que l’Homme a fait sur la Terre, c’est-à dire la détruire en la rendant bientôt inhabitable ?
    A-t-on déjà vu des colons ne pas reproduire ce qu’ils avaient fait de mal auparavant ?
    Il faut être bougrement optimiste pour penser le contraire.

    1. Avatar de Marius Gilbert
      Marius Gilbert

      L’Arsène a raison et le Musk a tort.

      1. Avatar de l'arsène
        l’arsène

        La bière Muskator, à boire avec modération.
        https://www.pintplease.com/en/beer/151395/muscator

  5. Avatar de Thomas jeanson
    Thomas jeanson

    Pas vu une ligne sur l’équilibre présent sur Terre, entre notre organisme et la diversité génétique au contact de laquelle il évolue.

    J’ai beaucoup de mal à imaginer que l’homme puisse durer sans ce bain quotidien dans cette soupe de virus, de bactéries etc etc qui représente des millions d’interaction ( contact / réponse) de notre organisme…

    1. Avatar de Pascal
      Pascal

      C’est toute l’illusion de l’élevage hors sol.
      Faudra le dire aux robots quand ils décideront de nous mettre en batterie !

  6. Avatar de ADS
    ADS

    Mais pourquoi les robots portent-ils des scaphandres dans l’illustration de DALL-E ?
    ça commence mal pour ce qui concerne l’organisation optimale version IA post singularité !

    1. Avatar de Paul Jorion

      Le bas est robotique, le haut est humain. Quand vous aurez comme moi 76 ans, cela vous paraîtra beaucoup moins étrange :-D.

      1. Avatar de Marius Gilbert
        Marius Gilbert

        Oui, avec votre expérience, vous avez probablement raison, mais attendez encore un peu que le haut soit aussi robotique. Vous nous en direz des nouvelles…

        1. Avatar de Paul Jorion

          J’essayerai de le cacher le plus longtemps possible mais je vous aurai mis la puce à l’oreille en étant bien plus intelligent qu’aujourd’hui.

  7. Avatar de Thomas jeanson
    Thomas jeanson

    Parfois les discussions ici me font penser à cette chanson hors norme de Brigitte Fontaine :  » C’est normal. »

    https://youtu.be/r-YWuJ05Qew

  8. Avatar de Lagarde Georges
    Lagarde Georges

    Même avec un réchauffement conduisant à une température totalement inadaptée aux êtres vivants (les humains et les autres) la terre continuera à être préférable aux autres planètes et satellites du système solaire parce qu’on continuera à y disposer d’air pour respirer, d’eau pour boire, d’un sol permettant de cultiver des plantes et d’énormément d’autres choses indispensables dont nous avons l’habitude de ne pas trop nous soucier tant que nous en disposons.

    On peut rêver de « terraformer » la planète mars — la rendre presque aussi vivable que la terre actuelle — mais ça paraît une tâche infiniment plus difficile que de réparer les bêtises que nous avons commises ici bas et de pouvoir ainsi continuer à y vivre tant bien que mal.

    Une autre raison impérative de rester sur terre est que si déplacer quelques personnes sur mars avec les moyens d’y subsister quelques temps semble possible, les moyens à mettre en oeuvre pour cette modeste amorce d’un début de colonisation sont déjà énormes.
    — Il a fallu une tonne de fusée, carburant inclu, pour chaque kilogramme de rover déposé sur mars.
    — Il faudrait donc plus ou moins 1000 tonnes de fusée pour y déposer un humain en bon état et de quoi le maintenir dans cet état pendant une durée que je préfère éviter de préciser (mais ça n’inclut pas la fusée nécessaire pour revenir.)
    — Je préfère m’abstenir de vous communiquer le nombre de millions de milliards de tonnes auxquels j’ai abouti en essayant d’évaluer ce qui serait nécessaire pour y envoyer une part significative de l’humanité essayer d’implanter une colonie.

    En fait je ne pense pas que ceux qui sont les mieux placés pour évaluer l’ordre de grandeur de ce qu’il faudrait entreprendre pour que la solution B ait une chance d’aboutir ait la moindre envie de communiquer à ce sujet: ça serait tout à fait contreproductif pour eux.
    Ceci dit, si on entreprenait des études visant à assurer la survie d’une (toute petite) partie de l’humanité dans un milieu fermé et isolé du reste, ça pourrait toujours servir en restant sur place.

    1. Avatar de Thomas Jeanson
      Thomas Jeanson

      Je l’ai déjà dit ici,

      Mais plus le temps passe plus c’est vrai :

      Ceux là même qui prétendent Terraformer d’autres planètes sont plutôt doués jusque là, pour Marsifier la Terre …

      1. Avatar de Garorock
        Garorock

        Z’auraient peut être mieux fait de la Marxifier…
        Nous v’la bientôt rendus à la dictature du rutabaga!

      2. Avatar de Lagarde Georges
        Lagarde Georges

        Pendant longtemps il a suffit aux européens ayant débarqué en Amérique du Nord d’abandonner les lieux qu’ils avaient surexploités et d’aller s’installer plus loin, en général vers l’ouest (il y a par exemple des histoires, probablement exagérées, de villages entièrement démontés et remontés un peu plus loin.)

        Quand, étant arrivés jusqu’au Pacifique, ils n’ont plus pu continuer vers l’ouest, ils ont entrepris d’aller sur la lune puis, un peu déçus, se sont mis à parler d’aller sur mars (où les robots, mieux adaptés, les ont déjà précédé.)

        La Nasa c’est Lewis et Clark en 1804 envoyés par l’État en exploration à l’ouest du Mississippi. Musk et concurrents c’est le premier chemin de fer — par l’Union Pacific et la Central Pacific en 1869 — jusqu’en Californie.

    2. Avatar de Luc Baudoux
      Luc Baudoux

      Votre plan A+++ tient bien mieux la route que tous les autres. De toute façon, je me fiche complètement du sort des robots qui devrait nous succéder quelque part sur mars ou ailleurs. Il serait plus que temps que nous revenions sur terre, même avec tout ce que cela implique de solutions difficiles à accepter. Je préfère grelotter ou surchauffer chez moi que de vivre à 20 degrés sur Mars.

  9. Avatar de Khanard
    Khanard

    Ca ronronne ici ! 😼😼😼😼😼😼😼😼

  10. Avatar de Khanard
    Khanard

    je trouve qu’il y a de l’Escher dans les oeuvres de Dall-E

    https://youtu.be/t-Gcz9FIB4w

    1. Avatar de Lagarde Georges
      Lagarde Georges

      J’admets assez facilement qu’un calcul de probabilité permettent de mettre des mots les uns à côté des autres en donnant des phrases qui tiennent la route (puis des phrases les unes derrière les autres qui donnent des textes cohérents — même si ça devient pour moi plus difficile à concevoir malgré le rôle du transformer.)

      Par contre bâtir des images en mettant des pixels colorés les un à côté des autres (en commençant en haut à gauche et en finissant en bas à droite?) je vois pas trop !

      Je me souviens d’un bras droit d’une personne correctement habillé du même tissus que son bras gauche mais malencontreusement raccordée à l’épaule gauche du personnage d’à côté : j’aurais cru qu’en procédant personnage par personnage (corps + tête + 2 jambes et 2 bras) une telle erreur aurait pu être évitée. Le fait qu’on a vu plusieurs fois des mains comportant beaucoup plus que 5 doigts semble confirmer qu’il y a une part importante réservée au hasard dans l’assemblage !

      Question subsidiaire : peut-on demander des corrections quand il y a des détails qui collent pas ?

      1. Avatar de Paul Jorion

        Question subsidiaire : peut-on demander des corrections quand il y a des détails qui collent pas ?

        Non, il faut le faire soi-même avec un logiciel graphique comme Photoshop.

  11. Avatar de gaston
    gaston

    Plan A, plan B, plan C d’ici… 2100.

    Nous sommes bien sur le seul blog optimiste.

    Croyez-vous que nous pouvons nous permettre d’attendre 107 ans (enfin 87, c’est pareil) pour aboutir à un plan qui nous sauverait ?

    Alors que même une échéance fixée à 2050 me paraîtrait déjà bien lointaine, et que chaque jour nous arrivent des nouvelles qui nous confirment que l’effondrement est pour bientôt.

    Tic tac tic tac dirait Ph. Soubeyrand.

    Tiens encore une bonne nouvelle ! Il s’en passe de belles chez Monsieur Berdimuhamedow :

    https://www.popsci.com/environment/satellite-methane-emissions-turkmenistan/

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