The Maltese Falcon (1941)
The Treasure of the Sierra Madre (1948)
Key Largo (1948)
*Godot est mort !*
“Le trésor de la Sierra Madre”, inoubliable film d’aventure et d’apprentissage, qui sommes-nous vraiment ?
Adaptation cinématographique du livre de B. Traven, alias : Hal Croves, Ret Marut, Traven Torsvan, Albert Otto Max Wienecke, Otto Feige, Kraus, Martínez, Fred Gaudet, Lainger, Götz Ohly, Anton Räderscheidt, Robert Bek-Gran, Hugo Kronthal, Wilhelm Schneider, Heinz Otto Becker …
– “Vous devriez avoir des papiers pour prouver qui vous êtes”, me conseilla l’agent de police.
– “Je n’ai pas besoin de papiers, je sais qui je suis”, répondis-je.
https://www.revue-ballast.fr/b-traven-ombre-revolte/
Enquête bbc avec le témoignage entre autres de John Huston :
https://www.youtube.com/watch?v=J64Dhd1cxMQ
Traven ? une langue superbe :
« Dobbs était beaucoup trop préoccupé par d’autres pensées pour faire attention à la manière dont il était assis. En cet instant précis, il recherchait la solution de ce problème de tous les temps qui force les gens à écarter toute autre pensée et oublier toute autre chose. Il mobilisait sa matière grise à résoudre la question : « Comment me procurer un peu d’argent ? Maintenant. » (page 1)
Dommage que mon exemplaire ait décidé de se séparer de sa couverture 🙁
encore un monument du cinéma !
même s’il a peut-être fait « trop de films » (si j’ose !?!)… ou plutôt dont la filmographie (très abondante) n’est pas toujours au même niveau d’excellence (comparé à d’autres réalisateurs de la même génération – tel Billy Wilder, né la même année… pour n’en citer qu’un).
« Au-dessous du volcan », par exemple, est complètement nul… en tout cas par rapport au sublime roman (mais c’était une gageure que de l’adapter au cinéma) – alors qu’il avait tellement réussi « Moby Dick » (autre gageure !) « Phobia » est un ratage… « The Mackintosh Man » est assez convenu et a bien mal vieilli…
Mais pas mal de trésors évidemment ! Outre parmi les premiers (cités ici),
mes préférés sont sans doute « Quand la ville dort », « The Misfits » (signant la fin d’une époque), « Reflets dans un oeil d’or » (avec un duel de géants !), « La Lettre du Kremlin » (pépite noire dans le genre du film d’espionnage) et bien sûr son testament, « Gens de Dublin » (« The Dead »)…
Suite) Pour moi l’opposition Grothendieck/Thom recoupe l’opposition Pythagore/Platon. Pour Thom la mathématique est une conquête du continu géométrique par le…
(suite) dispo en pdf sur la toile.
@gaston (« le faux est un moment du vrai ») C’est très thomien : le faux centre organisateur du vrai, comme l’idéal…
@Philippe Affectivité artificielle Est pour moi plus adéquat que conscience artificielle.
Aux grothendieckiens. Avez-vous feuilleté « La clef des songes », sous-titré « Dialogue avec le bon dieu » ?
(suite) Pour Thom l’assertion de nature translogique : « Le prédateur affamé est sa propre proie » est à la base de…
@Tout me hérissé (« effet tunnel ») C’est comme ça que Thom conçoit la dynamique d’affect*. Il en parle dès les premières…
Pour Gilles Servat c’est à la Roche Bernard.
Qq liens vers AG : La depêche : https://www.ladepeche.fr/article/2014/11/15/1991869-la-vie-secrete-d-un-genie-des-maths-a-lasserre.html Son livre : https://webusers.imj-prg.fr/~leila.schneps/grothendieckcircle/RetSbis.pdf
Qu’on soit pour ou contre l’IA ,et en particulier GPT-4 , elle est devenu une sorte de boite à outil…
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