Des pouvoirs semblables à ceux que nous avons attribués à nos dieux
Et si on parlait de la part d’identification de Poutine vis à vis de Trump et de Trump vis à…
*Godot est mort !*
» des prouesses proprement divines »
Y’a rien de divin là-dedans!
Comme il n’y a rien de divin dans ChatGPT.
C’est comme pour les yogis.
Les êtres humains n’ont fait que transformer ce qui existait déja. Ils ont recréé un système neuronal d’apprentissage basé sur le language. Ils ont copié l’humain. C’est de l’ingéniosité, c’est pas divin!
Mais c’est remarquable. Bien plus que le fil à couper le beurre ou les huiles essentielles.
Mais pour ce qui concerne les super-pouvoirs (fond de commerce de la confrérie de la tisane et de la méditation) tu repasseras! Désolé.
Poutine prend des bains de sang de cerf parce qu’un shaman de Sibérie lui a dit que cela le rendrait plus fort. Il devrait essayer le lait d’anesse, au moins ça lui rendrait la peau plus douce…
Les yogis sont comme tous les curés: ils ont l’orgueil que sans vergogne ils reprochent aux autres. Mais aucun parmis tous ces marchands de grigris ne nous a jamais dit ce qu’il y avait avant le Big bang…
😎
Vous confondez la carpe et le lapin cher Garorock.
Un curé est un représentant servile d’une institution cléricale qui n’a rien à envier aux institutions militaires.
Un yogi est une personne qui s’engage à titre personnel sur voie spirituelle sans appartenir à aucune institution. Seuls les grands yogis ont des disciples qui ont librement choisi de suivre leur enseignement qui se fait dans des lieux ouvert à tous.
Mais c’est vrai, ils n’ont rien inventé mais se sont mis à l’écoute de leur corps qu’ils considèrent comme une réalisation divine, comme toutes les créatures.
Les humains cherchent à copier ce qu’ils appellent réseaux neuronal mais la notion même de réseau neuronal est une invention humaine. Il est fort possible que dans quelques décennies, la notion de réseau neuronal soit reléguée dans les placards de la science au même titre que les humeurs des médecins de Molière.
Nous cherchons sans cesse à définir le réel en le décortiquant, en l’épluchant, en le modélisant… pour ensuite chercher à le copier. Ce faisant, nous morcelons le réel alors qu’il est un tout. Et vous savez comme moi que les morceaux d’une entité, même assemblés, ne constituent pas l’entité pleine et entière. Nous sommes sans cesse dans le fac-similé.
++++
La carpe et le lapin ont visiblement les mêmes objectifs: se taper de la chair fraiche en loucedé…
C’est ce qu’on peut appeler être à l’écoute de son corps.
Depardieu et PPDA ont la même philosophie.
Peut être qu’il sont un peu trop »fleur bleue »…
😎
« Les gens prennent le charisme pour une qualité spirituelle. » Grâce à ses révélations et à la qualité de ses intervenants, ce documentaire édifiant contribue à dessiller le regard occidental « fleur bleue » sur l’exotique bouddhisme tibétain. Il rappelle notamment que cette religion requiert une dévotion totale de l’élève, lequel doit certifier à son maître de garder le secret sur les initiations auxquelles il doit se soumettre : un terreau idéal pour couvrir d’une chape de silence les abus de toute nature. »
https://www.arte.tv/fr/videos/095177-000-A/bouddhisme-la-loi-du-silence/
Abus sexuels, manipulations mentales et détournements de fonds : le bouddhisme tibétain est secoué par de graves scandales. Un récit fouillé qui lève le voile sur les dessous peu spirituels d’une religion vénérée en Europe.
Oui, tout à fait. Si l’on veut devenir moine bouddhiste, on entre en religion comme dans toute institution religieuse avec ses travers et ses dérives.
En cherchant bien, on pourra trouver aussi des dérives du côté des yogis dont certains ont pu se balader en Rolls-Royce.
Doit on , parce que les institutions finissent presque toujours par dériver, associé les faiblesses humaines au message de grandes personnalités qui apportent un message de sagesse à travers les âges. Le Communisme aussi est une belle idée. Doit on le condamné pour autant, parce que certains on utilisé ce message pour installer leur dictature ?
Les chemins spirituels sont multiples. Celui que j’emprunte laborieusement voudrait se rapprocher de celui de quelqu’un comme Arnaud Desjardins. https://m.youtube.com/watch?v=gqeiV8a1sOU
@Garorock il faut lire Igor et Grichka Bogdanoff !
On est dans la manipulation si le minou essaye de séduire.
S’il essaye de prendre en compte les affects du questionneur pour ne pas l’humilier mais simplement pour essayer de lui faire comprendre ce qu’il ignore. Why not?
Si la cause est bonne, la méthode et la manière de faire adhérer à cette cause n’est ni le fouet, ni la la flaterie.
Est ce que la tendresse est une manipulation?
Tant qu’à parler « manipulation » et pour revenir à la fragilité des constructions humaines , aujourd’hui et maintenant , peut-être demander au minou de qualifier de manipulée ou de manipulatrice la Première Ministre française … sur base de cet article qui a l’immense mérite d’être clair :
Oui. Et que cache Marlène Shiappa qu’elle n’a pas montré dans playboy?
Une aide à une association des victimes de G.Depardieu?
En attendant la désicion du conseil constitutionnel se fait attendre.
Viendra t-elle à 20 heures juste après la pub pour le coca-cola?
Possible que cette loi soit retoquée… Les solfériniens sembant vouloir effectuer un come-back depuis quelques temps…
Fabius est forcément dans la combine.
« S’il essaye de prendre en compte les affects du questionneur pour ne pas l’humilier mais simplement pour essayer de lui faire comprendre ce qu’il ignore. »
J’attends avec impatience de voir les IA russes et chinoises !😂😮💨😭
Si « La mesure de l’amour, c’est d’aimer sans mesure », lequel des impacts de la démesure de l’amour pour « l’ordre et la loi » peut être en capacité de donner, la dimension inconnue de la métaphysique d’une « IA » élevé au rang de « nouvelle religion féroce »… du moins, de la preuve de la transcendance d’une « intelligence collective humaine » juste, impartiale, neutre, indépendante, égalitaire, émancipée des cultes, cultures, mythologiques, mystiques, mythiques, de l’ancien monde…?
Dit autrement, en juxtaposant la somme incalculable des variables d’ajustement que ce questionnement suppose… au travers des résultantes des décisions du Conseil Constitutionnel français, devant arbitrer en dernier RECOURS… la forme et le fond de la légalité juridique (même si immoralement optimisé, le droit de contourner, de s’exonérer d’avoir à contribuer au financement des services publics, dépenses sociales, protections sociales et régimes des retraites… existe désormais), et/ou politique… de la réforme du recul de l’âge de départ à la retraite… « en même temps » que l’illégitimité et/ou « illibéralité » des méthodes de la gouvernance macronienne (47-1, 44-3, 49-3, etc), est-ce qu’une des « nouvelles religions féroces » « d’IAs » peut déduire ce qui suit…?
« Il parait que « l’indépendance » du Conseil Constitutionnel va prendre une décision juridique, et non politique quant à valider ou invalider, en partie ou en totalité les cavaliers législatifs (47-1, 44-3, 49-3, etc) de la réforme structurelle du recul de l’âge de départ à la retraite…?
Pour mémoire, qu’est-ce qui a permis dans le droit, dans la constitution, à la « sagesse » du dit Conseil…. de valider des comptes de campagnes irréguliers, des deux candidatures de droite, aux présidentielles de 95…?
« Rien » dans le droit et la constitution ne prévoyaient que pareille niveau d’irrégularités dans le financement des partis politiques, des campagnes électorales… puisse être atteint… Ce qui n’a pas empêché cette « sagesse » de valider deux comptes de campagne irréguliers, des deux droites, qui cherchèrent à accéder aux pouvoirs politiques, « démocratiques »… monarchiques… suprêmes.
Qu’est-ce qui garanti dans le droit et la constitution aujourd’hui, que les méthodes procédurales de 49-3, etc, abusées dans le cadre d’un PLFSS, concernant la nécessité (urgente ?) de reculer l’âge de départ à la retraite… ont été employé en toute « sincérité »…?
C’est à dire que toutes les pistes de financement et d’équilibrage des comptes publics de la SC, ont été exploré – comme augmenter/rétablir les cotisations sociales patronales sur les bas salaires, taxer les robots industriels, automates (caisses automatiques de supermarchés, de guichets de gare, de bureau de la CAF, etc), « IAs », DÉFISCALISES et DÉSOCIALISES remplaçant le travail d’humains, l’emploi d’actifs…?
« Rien » n’interdit dans la constitution, le droit… l’insincérité politique/apolitique/technocratique à contraindre le cadre du débat, comme ça été fait d’ailleurs, à une vision purement et simplement néolibérale de la gestion des dépenses sociales.
Pourtant l’âge moyen de la classe ouvrière, qui jusqu’à 59 ans est en activité sans incapacité devrait travailler jusqu’à 64 ans et plus (demandez vous combien de chance il vous reste entre 59 et 64 ans, d’être en capacité de continuer de travailler ?) quand pour la classe des cadres, etc… c’est à 69 ans (10 ans de plus) que l’incapacité dans l’emploi, est atteint en moyenne, sans qu’il soit question d’augmenter les contributions salariales/patronales… de ceux ayant plus de chance d’être plus longtemps à profiter de la retraite en bonne santé…? »
Est-ce que le Conseil Constitutionnel de la « monarchie républicaine française »… est en affaire dont l’aspect classé « secret défense/commerciale/monétaire » (comme pour les contrats en États et firmes pharmaceutiques/start-up, derrière la gestion néolibérale de la dernière crise sanitaire – Covid-19 ?) sera levé dans 25 ans…. avec une quelconque « IA » d’un cabinet privé de conseils politiques/économiques/de gestions du « maintien de l’ordre public et de la loi » de « l’État de droit »…?
Dans 25 ans… combien des plus pauvres, précaires, discriminé.e.s en toute impunité et de façon systémique, auront perdu la vie avant même d’arriver en bonne santé, à l’âge légal de départ à la retraite fixé à 64 ans, se seront abstenus de voter, de se syndiquer… par rapport au nombre d’années à la retraite qu’auront gagné des cadres sup, propriétaires privés d’actions salaires variables, stock-options, retraites chapeaux/dorées… de mouvements politiques et d’entreprises…?
S’il faut qu’une génération « consente » à couvrir les « aléas moraux » du secret des délibérations du Conseil Constitutionnel concernant sa décision de valider cette réforme scélérate du recul de l’âge de départ à la retraite… avant que la « vérité » soit rendue « réelle »… devenue « réalité »… combien faudra t-il en sacrifier pour les descendances des 6 générations de plus pauvres, précaires… pour qui aucun espoir n’existe de non seulement gravir les « marches » de « l’escalier social », mais d’être sauvé du dérèglement climatique, de la perte de la biodiversité, des risques d’effondrements systémiques – politiques, démocratiques, économiques, etc… et autres intensifications des guerres commerciales, monétaires, de « civilisations » de l’eau… – des gestions néolibérales des futures crises sanitaires, caniculaires, etc ?
Qu’est ce qui empêche vos « précaires discriminés » de prendre leur carte à un parti et à un syndicat ?
66% de la cotisation déductible des impôts. Cotisation à 4 € par mois pour les bénéficiaires du RSA.
Je ne sais pas, mais quelque chose me dit que les discours « dédiabolisés » par des politiques, médias mainstream et même quelques « bien-pensances » syndicaliste… du genre « chômeurs-euses=fraudeurs-euses », « assistanat = cancer de la société », « il y a un pognon de dingue mis dans les minimas sociaux, qui fait que les pauvres le restent et se déresponsabilisent », « y en a marre des fraudes sociales »… et l’indifférence du reste des politiques, médias et corps syndicaliste, cela empêche « mes » pauvres, précaires, discriminés, d’avoir confiance aux institutions publiques, aux politiques, aux dépôts dans l’urne de leurs suffrages…
Mais n’est-ce pas cynique et hypocrite de surcroit de proposer une exonération à hauteur de 66% de dons faits aux partis… à des contribuables directs non imposables… parce que entretenu dans la misère, précarité, pauvreté… restant la vache de « l’impôt l’injuste », des taxes de toutes sortes (y compris celles dues pour des services – et protections sociales : assurances… – qui jadis publics, sont privatisés/digitalisés)…?
« cela empêche « mes » pauvres, précaires, discriminés, d’avoir confiance aux institutions publiques, aux politiques, aux dépôts dans l’urne de leurs suffrages… »
D’accord, ils n’ont pas 4 € par mois pour adhérer à un syndicat ou à un parti politique.
D’accord, ils rejettent tous les corps intermédiaires (tous pourris).
Alors concrètement, on fait quoi : on casse tout ? on brûle tout ? on ressort la guillotine et on coupe la tête à tous les militants syndicaux, tous les hommes politiques, tous les cadres sup à plus de 3 000 € par mois ?
J’en ai marre de toute cette prose larmoyante qui ne débouche sur rien.
J’ai cherché, j’ai cherché , je savais bien que j’avais lu quelque chose du genre :
« Celui qui possède la science et l’art
Possède aussi la religion.
Celui qui ne les possède pas tous deux
Puisse-t-il avoir la religion ! »
GOETHE, dans Les Xénies apprivoisées, IX (Œuvres posthumes)
J’ai trouvé !
M.Khanard
Xénie ? …………………Wikipedia :
https://fr.wikipedia.org/wiki/Double_f%C3%A9condation
@henri
on peut le voir sous cette forme aussi .
Une autre video sur ChatGpt, et j’ai l’impression qu’elle a été réalisée dans un autre monde, beaucoup plus plat que le paysage inspirant d’ici. « Ce qui se cache derrière le fonctionnement de ChatGPT » https://www.youtube.com/watch?v=7ell8KEbhJo C’est sur la chaîne « Science étonnante » de David Louapre, Normale sup, docteur en physique etc.. https://fr.wikipedia.org/wiki/David_Louapre , ça dure 27 minutes et ça ne fait pas rêver.
Oui, il explique très bien comment cela fonctionne jusqu’à la version 3.5 de chatGPT et s’il y voit des choses étonnantes, il n’y voit pas de singularité mais il ne connait pas la version GPT 4 et ce que les programmeurs ont changé dessus par rapport à la version précédente.
Le conseil constitutionnel, composé de beaucoup de résidus de droite et de gauche molle, comme prévu vient de donner son soutien au gérant du système capitaliste pour appliquer une loi que rejettent plus de 90% des actifs.
Et pire que cela, le RIP est même rejeté, ce référendum qui aurait donné la possibilité au peuple le droit de s’exprimer et de trancher.
Quand un tel pouvoir fait un bras d’honneur à des millions de français en usant de tous les stratagèmes constitutionnels avec une répression policière hors norme , on arrive au bout du bout de cette
démocrature.
Faut espérer que la réponse soit en conséquence.
Et terrible.
@l’arsène Un RIP ferait traîner le problème pendant un an : 6 mois voire 9 pour obtenir les signatures puis 6 mois avant de procéder à un référendum, que l’on peut éviter en procédant à un vote au Parlement qui peut le rejeter !
« Plus de 90% »… Bon allez, disons 100%. 😅
@ François Corre
Et oui, et pour être plus précis, seuls 7% des actifs favorables à une augmentation de l’âge légal de départ, soit 93% qui y sont donc opposés, d’après une étude réalisée par Bertrand Martinot, économiste et auteur de ce sondage réalisé auprès d’un échantillon de 5 001 actifs en emploi.
Et environ 70% des français y sont opposés, vive cette démocrature où l’on constate qu’un président peut décider de faire un bras d’honneur à son peuple pour rassurer les marchés et Bruxelles !
https://youtu.be/AwTo3-z1S5k
Le stagirite sur « le média »: AND THE WINNER IS… MARINE LE PEN ?
Plus significatif à mon avis, le fait que cette vidéo enfonce JLM pour promouvoir Ruffin alors qu’elle est produite par … LE MÉDIA
@l’arsène Quel % d’actif est favorable à une augmentation des cotisations ?
Quel % des retraités est favorable à une baisse des retraites ?
Les catégories mises à contribution par une mesure sont difficiles à convaincre si elles ont l’impression d’être les seules concernées.
Une augmentation des cotisations salariales associée à une baisse des retraites (prélèvement fiscal genre CSG) équivalent aurait pu constituer l’autre branche de l’alternative à proposer aux partenaires sociaux et à la représentation nationale, voire en Referendum.
D’accord, mais où sont les « ne se prononcent pas » ou « pas d’avis » par exemple ?
Bon bref, ça n’est jamais aussi simple:
https://www.institutmontaigne.org/publications/les-francais-au-travail-depasser-les-idees-recues
« Les actifs ne désirent pas travailler plus longtemps. Seuls 7 % d’entre eux estiment que l’âge du départ en retraite n’est « pas assez élevé », alors que 48 % le trouvent « trop élevé ». Plus particulièrement, certaines catégories d’actifs jugent que l’âge du départ à la retraite est déjà excessif : il s’agit notamment des moins de 35 ans (59 %), des ouvriers (56 %) et des CSP- (54 %).
Le profil type d’un actif désirant un report de l’âge de départ légal à la retraite à plus de 62 ans est une personne de profession CSP+ (agriculteurs, artisans, commerçants) et généralement plus âgée. Sans surprise, ces analyses montrent également que ce sont les actifs les plus satisfaits de leur travail qui veulent ce report. »
@François Corre L’erreur de Macron est de se baser sur l’attitude envers la retraite dans de nombreux pays à l’international.
Les gens ne souhaitent pas être mis à la retraite, qui est une sorte de déclassement, en partie sur le plan relationnel (notamment s’ils ont investi dans leur bulot), en partie sur le plan économique.
Ce n’est pas le cas en France où (sauf peut-être pour des indépendants commerce ou savoir)
les ressources de retraite sont jugées suffisantes pour ne pas avoir à souhaiter une poursuite d’activité, avec ses contraintes. De plus de nombreuses activités associatives, familiales ou de loisirs peuvent combler le vide intérieur éventuel.
Ainsi donc l’accès tardif à la retraite est vu d’un mauvais œil, alors que dans de nombreuses économies étrangères, il n’y a pas la même réticence.
Pour ramener dans des conditions équivalentes il aurait fallu diminuer préalablement les retraites notamment par rapport aux rémunérations d’activité, encore plus que ce qui avait été fait son temps par Balladur avec le passage aux 25 meilleures années, aurait pu être fait discrètement par le mode de calcul à point (toute la carrière !) et avait été réalisé dès le début du premier quinquennat par l’accroissement de la CSG (3,7 %).
Il n’a pas perçu, ni personnellement, ni par les CSP+ qui l’entourent, cette perception toute originale de la majorité de la société, et donc son aversion physique pour les mesures d’ages.
Son habillage marketing de gauche qui lui a tant réussi a convaincu ses équipes de continuer sur le mantra justificatif puissant d’une réforme juste, incantatoire de la réforme à point précédente à l’impact mal caractérisé, qui ne pouvait être perçue comme telle par ceux bien définis qui en supportent la conséquence physique à terme, 2 ans de plus au turbin, alors que d’autres son peu impactés, ceux qui sont déjà à la retraite, ou ceux dont les professions plutôt intellectuelles, les amènent déjà à travailler au delà.
Alors que pour faire face à un aléa démographique prévisible et incontestable un effort de tous aurait sans doute paru plus juste.
Il a sans doute protégé des catégories où son électorat est mieux représenté, mais sans doute perdu pour d’autres familles politiques aspirant à un renouveau ou une alternance un électorat décisif et déçu, pour satisfaire quelques banquiers internationaux.
M.Ruiz
» Pour ramener dans des conditions équivalentes il aurait fallu diminuer préalablement les retraites notamment par rapport aux rémunérations d’activité, encore plus que ce qui avait été fait son temps par Balladur avec le passage aux 25 meilleures années, aurait pu être fait discrètement par le mode de calcul à point (toute la carrière !) et avait été réalisé dès le début du premier quinquennat par l’accroissement de la CSG (3,7 %). »
Ainsi, vous validez l’exercice de la ruse, du grossier mensonge et des coups bas fourrés dans le dos des électrices et des électeurs… on peut dire que vous êtes une anomalie criante sur ce blog. Que venez-vous faire ici ? Pensez-vous que votre marchandise idéologique frelatée va convaincre quelqu’un ? Toujours rien dans vos commentaires sur les cotisations patronales ou sur la nécessaire participation du 1% des hyper-riches ?
De toute façon, cette discussion n’a aucun objet étant donné que le régime de retraite pas répartition va très bien et est largement excédentaire de 900 millions d’euros en 2021 et de 3,2 milliards d’euros en 2022.
Tout le reste n’est qu’un immense enfumage gouvernemental afin de soulager les entreprises françaises de 8 milliards d’euros d’impôts sur les dividendes. La chose est parfaitement connue. Pour ne pas amputer parallèlement le budget de l’Etat, Macron & Borne se sont payés sur la bête ; c’est à dire sur le dos du peuple français. Pas étonnant dans ces conditions que 95 % des salariées et des salariés soient farouchement contre cette abjecte décision et réforme rétrograde. Ils payent une fois de plus à la place des mieux lotis et pour le confort démultiplié des actionnaires.
Les pauvres engraissent doublement les riches, voire triplement sous Emmanuel Macron. C’était
ça son fameux…………… » PROJET ! « .
Paradoxalement, M.Macron est en train de réveiller le » Lion-populaire » comme on disait lors de la révolution française de 1830. Cet animal vif et intelligent qui remporta la victoire en trois jours seulement (!) et qui effraya tant la bourgeoisie monarchiste d’alors ; celle qui s’arrangea en quelques jours à faire rentrer l’animal dans sa cage-mansarde par un coup d’Etat déguisé . Nous verrons bien en 2023, jusqu’où le Lion-Populaire rugira ?
Je rappelle que 80 milliards d’euros de dividendes ont été versé aux actionnaires des entreprises du Cac 40 en 2022. De l’argent il y en a ! En pagaille & à foison. Et si le terme de « république démocratique et sociale » a encore un sens, il va bien falloir que tout le monde contribue un jour à l’intérêt général, sinon quoi ?
A votre avis que va t-il se passer une fois que le peuple aura parfaitement pris conscience qu’on le bernait une énième fois, dans les grandes largeurs ? Dans un contexte de crise sociale où plus de 40 % de la population ne fait plus qu’un repas par jour et qu’il y a 15.4 % d’inflation sur les denrées alimentaires ?
@Henri Les cotisations patronales font partie du coût de la main d’œuvre pour les entreprises et les produits ou services vendus sur le marché intérieur ou exportés.
Si l’on ne veut pas augmenter les prix, défavoriser les productions nationales sur le marché intérieur ou dégrader la performance à l’exportation et le commerce extérieur, il est évident qu’il ne faut aucunement les augmenter. Or actuellement il y a en général un rapport entre cotisation patronale et salariale généralement fixe, ce qui mécaniquement augmente le coût du travail en cas d’augmentation du pourcentage de cotisation. C’est sans doute pour cela qu’Emmanuel Macron s’est refusé d’envisager toute augmentation de cotisation.
Il faudrait donc augmenter la part salariale en laissant la part patronale inchangée, c’est à dire ajuster leur rapport.
Il reviendrait au même en période de forte inflation de conserver le rapport et de compenser l’augmentation résultante par une réduction correspondante des corrections d’inflation salariales négociées.
C’est cela la gestion comptable et économique d’une retraite par répartition.
Ce qui ne prends aucunement en compte « une nécessaire participation du 1% des hyper-riches » qui sort manifestement du cadre et participe soit de la négociation salariale, s’il s’agit de prendre aux entreprises, soit d’un financement partiel des retraites du privé par l’impôt.
https://www.youtube.com/watch?v=-YbUNN23ZZ4
François Ruffin face aux Français !
Si ça c’est pas un discours de candidat à la présidentielle ?!😉
Ruffin est dans starting-blocks !
Après, c’est du parlé politique agréable à entendre qui sort des poncifs.
Avec sa concorde nationale, il y aurait presque du gaullisme dans sa rhétorique. 😄
@ Garorock
Ruffin candidat pour représenter la gauche de gauche, j’applaudirais des deux mains.
Cela commence et s’arrête où pour toi la gauche de gauche?
Pour F.Ruffin, si j’ai bien compris, elle commence à LFI et s’arrête au P.S de O.Faure. En passant par les verts et le P.C, accessoirement avec le soutien de Poutou (non aligné du NPA).
@ Garorock
« Cela commence et s’arrête où pour toi la gauche de gauche? »
C’est celle de Ruffin que tu énonces, et j’ajoute bien sûr Poutou et le NPA, et là on pourra sortir de ce système mortifère.
Ceci dit, ce qui est urgent c’est de mettre un terme à ce pouvoir incarné par Macron, 2027 est loin, et je suis très consterné par l’attitude de l’intersyndicale depuis le début, les grèves saute-moutons voulues par la CFDT ont été un fiasco, j’ai pourtant donné plus de trois cents euros à la caisse de grève, mais il aurait mieux fallu suivre la CGT et bloquer tout pendant trois semaine en février ou mars, cela aurait été plus payant car les capitalistes n’aiment pas voir diminuer leurs chiffres d’affaires. Trop tard.
Au fait, si tu votes Ruffin, tu es mon ami !
« Au fait, si tu votes Ruffin, tu es mon ami ! »
Je suis toujours un peu interloqué de lire ce genre de sentence. C’est même assez flippant si on veut bien s’y arrêter un instant.
M.Larsène
J’écris plus bas dans un plus long commentaire : » l’annonce du Conseil Constitutionnel signe la fin du processus aristocratique et le commencement du processus démocratique ».
Il est évident que les 9 » sages » n’en sont pas et que tous sont aux ordres de la macronie. Il n’y a rien de juridique dans leur décision. Ils défendent leur intérêt de classe bien compris.
Face à leur non-représentativité – rien que des bourgeois richissimes – il est évident que le combat pour l’émancipation salariale & politique continue !
95 % des salariées et des salariés sont contre cette contre-réforme misogyne, injuste et absolument pas nécessaire au vu des montants excédentaires de 3 milliards d’euros pour l’année 2002 du régime de retraite par répartition !
Dès lors, au vu de la nouvelle donne, je vous suis parfaitement :
Maintenant que » la stratégie CFDT » se clôt sur la décision inique du Conseil dit » Constitutionnel » , optons maintenant pour » la stratégie CGT & consorts » pour faire advenir un nouveau régime salarial plus prompte à satisfaire 75 % des françaises et des français opposé-e-s à M.Macron et à sa clique de parvenus, payés grassement avec l’argent des contribuables salariés et non salariés.
Le combat populaire ne fait que commencer.
(je replace mon commentaire là où il devait se trouver.)
La super intelligence des machines (ie l’IA) peut-elle être comparable à l’Esprit absolu de Hegel ?
SI l’on pose que l’intelligence c’est poser les bonnes questions, et qu’une bonne question c’est ce qui permet d’obtenir de bonnes réponses, encore faut-il déterminer qui est le destinataire final des réponses apportées ?
Si le destinataire c’est la machine intelligente alors les humains deviennent superfétatoires ; leur attitude vis à à vis de la machine intelligente c’est celle du consultant qui se tourne vers La ‘science infuse’ ou dernier avatar de Sésame-ouvre-toi. Il importe peu dans ce cas qu’ils comprennent ce que la machine intelligente leur dit. La portée des réponses apportées n’est que pratique : elle fournit les recettes en tous domaines qui permettent d’accomplir les tâches les plus diverses, et pourquoi pas comment faire pour assurer la survie de l’espèce. Au stade embryonnaire de cette évolution il peut encore y avoir de nombreux ingénieurs, des scientifiques, des gens qui comprennent ce que leur dit la machine, mais à terme leurs métiers sont voués à disparaître. On peut donc conjecturer qu’à terme les humains n’auront même plus à poser des questions à l’IA, les machines intelligentes se chargeant de résoudre avec leurs propres moyens toutes les questions pratiques que se posaient les humains.
A l’inverse, si ce sont encore des humains qui sont les destinataires finaux des questions, à même de considérer que les réponses apportées sont plus ou moins bonnes, c’est qu’il importe encore de comprendre les réponses apportées par la machine intelligente selon un processus d’appropriation consciente (au sens hégélien). En ce cas l’intelligence proprement humaine a encore un sens et une nécessité.
IL me semble que la seconde considération est beaucoup plus conforme à la conception de l’esprit pour Hegel car chez le philosophe l’Esprit absolu est l’aboutissement d’un processus dialectique d’auto- conscience avec le triple mouvement qui va de l’en-soi à l’autre pour finir en pour-soi, qui implique que l’esprit progresse en établissant ses propres médiations. Avant d’être Esprit absolu il est esprit objectif et esprit subjectif, l’esprit subjectif lui-même est indissociable de l’existence du corps humain produit de la nature et où s’origine tout le processus qui va aboutir à la formation de l’Esprit absolu. C’est en tout cas ce qu’expose Hegel dans son Encyclopédie des sciences philosophiques dans le volet Anthropologie de l’esprit subjectif. (voir https://philopsis.fr/archives-themes/le-corps/le-corps-humain-dans-lanthropologie-de-hegel/ )
L’objectivité scientifique ne remplace pas la connaissance purement subjective. Dans le système de Hegel elles vont toujours de pair, car c’est le vivant qui constitue le coeur de la pensée hégélienne. Hegel contrairement à Kant ne fait pas de la substance un absolu inconnaissable, puisque l’esprit est le sujet de la substance. La vérité selon Hegel se rapporte toujours à l’activité du vivant qui culmine dans l’Esprit absolu et sa triade Art, Religion, Philosophie.
A cette aune, dans le premier cas, celui d’une machine intelligente qui devient notre maître, ce qui était l’esprit humain est pris en charge par la machine intelligente qui amplifie nos capacités cognitives et même les dépasse, mais nous privant alors de tout l’aspect subjectif de l’esprit humain conduisant à l’Esprit absolu. Peut-on en effet encore appeler Esprit ce qui n’en est plus qu’une simulation, pour ne pas dire un simulacre car que dire d’un esprit qui ne peut plus être une effectuation chez des êtres incarnés, ce par quoi justement tout avait commencé ? Egalement, l’IA se trouve dans l’impasse de l’absence de médiation qui lui permettrait de se dépasser dans le processus dialectique puisque l’humain ne peut être cet Autre qui permette à l’IA en soi de se dépasser ; l’humain ne peut être cet Autre car face à elle il n’est que la version dégradée d’une intelligence supérieure. Dans ces conditions il ne saurait y avoir d’homologie avec la dialectique du maître et de l’esclave car les capacités de l’IA sont supérieures par nature, ou plus exactement par construction. L’esclave n’est pas inférieur en nature, c’est seulement sa position sociale qui est inférieure. Même sur le travail qui faisait la force de l’esclave permettant le retournement dialectique l’humanité ne peut plus compter puisque l’IA l’en a dépossédé.
Le corollaire c’est la mort du politique. L’intelligence humaine n’a plus à se préoccuper de ses conditions matérielles d’existence puisque les machines se chargent de concevoir et fabriquer tout ce qui permet l’existence matérielle des humains, toute délibération sur les moyens et les fins de nos sociétés perdent alors leur raison d’être.
Les machines intelligentes effectuent machinalement ce que les humains accomplissaient comme art avec ce que cela comportait d’apprentissages, c’est à dire d’appropriation progressive de connaissances pratiques et intellectuelles qui devenaient autant de savoir-faire. Le phénomène n’est pas nouveau, c’est ce que Marx appelle l’esprit mort des machines. L’IA ne fait que radicaliser le processus en s’étendant aux activités purement intellectuelles.
De même les institutions en tant qu’esprit objectif — c’est ce qu’elles sont selon les propres termes de Hegel, toujours en rapport avec la subjectivité avec laquelle elle forme un tout, deviennent des coquilles vides, et à terme disparaissent comme telles, car c’est toute la vie humaine qui se voit mécanisée.
IL y a donc deux possibilités mutuellement exclusives :
Ou bien l’humanité d’un point de vue générique augmente ses connaissances en pleine conscience selon un processus par lequel elle se connaît, produit le monde et connaît le monde, ce qui implique d’une part la possibilité d’augmenter ses capacités intellectuelles sans que celles-ci se réduisent, il faut le souligner, à celles qu’apportent les facultés cognitives définies seulement en termes de performances (comme avec le QI), car ce qui importe c’est la progression de la connaissance globale à la fois subjective et objective les deux aspects n’en formant qu’un dans la formation de l’esprit sans ses phases subjectives, objectives et absolues.
Dans ce cas de figure la diversité des métiers est au moins en partie préservée, des pans entiers de la vie humaines restent en dehors du domaine de la mécanisation de l’esprit et de la main si bien que l’humanité sait encore ce qu’elle fait et ce dont elle est capable.
Dans ce cas de figure l’IA aide seulement l’humanité à accomplir un nouvel avatar de l’Esprit absolu en tant qu’elle est nouvelle médiation de l’accomplissement de l’Esprit. L’IA devient seulement une nouvelle possibilité offerte à l’humanité pour s’accomplir de façon nouvelle dans sa quête vitale de solutions pour faire face aux défis actuels.
Ou bien l’humanité a fait son temps comme le clament les trans-humanistes et les post-humanistes et elle n’a alors plus d’autre rôle à jouer que de servir une intelligence qui lui est supérieure et dont elle ne tire plus aucune connaissance en propre puisque désormais le sujet de la connaissance connaissante c’est l’IA.
Dans ce cas l’humanité renonce à la maîtrise de la complexité comme le requérait notre hôte lorsqu’il traitait de la nuisance qu’est le capitalisme. L’IA est pour le coup déifiée, c’est à dire supposée bonne partout et en toute circonstance. Au stade actuel où rien n’est encore figé, il est encore possible à la rigueur de faire le pari qu’elle nous sauvera de nous-mêmes, mais ce n’est qu’un pari, un saut dans l’inconnu dont rien ne garantit qu’il nous sauvera plutôt qu’il n’aggraverait par exemple d’abord les inégalités, ce qui est inhérent au projet trans-humaniste. Quant aux post-humanistes ils ont, semble-t-il, déjà fait le deuil de l’humanité. A terme la présence physique des humains n’est même plus nécessaire.
Est-ce vraiment ce que nous voulons pour notre proches, pour nous-mêmes pour nos enfants et nos petits enfants ?
« On peut donc conjecturer qu’à terme les humains n’auront même plus à poser des questions à l’IA, les machines intelligentes se chargeant de résoudre avec leurs propres moyens toutes les questions pratiques que se posaient les humains. »
Si elles se décident à régler le changement climatique et la disparition de la biodiversité, j’ai peur de la réponse ! Pauvre humanité !😉
« l’humanité d’un point de vue générique augmente ses connaissances en pleine conscience selon un processus par lequel elle se connaît, produit le monde et connaît le monde, ce qui implique d’une part la possibilité d’augmenter ses capacités intellectuelles… »
Mais au fait, pourquoi devrions-nous »augmenter nos connaissances », vers quel dessein ? Ne sommes nous pas dans le même paradoxe que celui de la croissance infinie ?
Nous avons déjà eu pour dessein le royaume de Dieu. On a vu où ça mène. On a déjà testé le bonheur technologique. On y est : réchauffement climatique, extinction des espèces vivantes…
Et maintenant, on va où ?
Pascal
oui, ce qui importe c’est la qualité des connaissances acquises.
Il me semble que l’augmentation des connaissances outre le fait que les humains sont avides de connaissances, procède du fait qu’il nous faut connaître le monde à nouveau frais au fur et à mesure de sa transformation, inéluctable, qu’on le veuille ou non.
IL y a beaucoup de savoirs inutiles. Mais pour faire disparaître ces savoirs inutiles il faut acquérir de nouveaux savoirs, ceux qui sont propres à remplacer les premiers.
AInsi pour faire disparaître le capitalisme sauf à compter sur son hypothétique auto-destruction, il faut un savoir qui permette d’instaurer la ou les nouvelles institutions à même de le remplacer.
Est ce une question de savoir ou bien de savoir être ?
Une question de savoir ou bien une question de sagesse ?
N’avons nous pas oublié ce qui devait nous définir en tant que sapiens sapiens ?
L’ivresse du savoir de la science ne nous a t elle pas fait oublier pourquoi nous cherchons depuis des millénaires à savoir ?
« AInsi pour faire disparaître le capitalisme sauf à compter sur son hypothétique auto-destruction, il faut un savoir qui permette d’instaurer la ou les nouvelles institutions à même de le remplacer. »
Le capitalisme n’a t il pas démontré son efficacité indépassable ? C’est parce-que nous sommes tous malades de l’efficacité, essence même du capitalisme, que nous ne parvenons à nous en extraire. Sans être conscient de celà, toute nouvelle institution se verra phagocytée par le dit capitalisme.
Il me semble.
Mais au fait, pourquoi devrions-nous »augmenter nos connaissances »
Peut être pour diminuer nos croyances?
Je sais, cela va faire perdre quelques parts de marché aux yogis.
Un peu de méditation et ça va passer…
😎
Les yogis avec parts de marché, ne sont pas des yogis, ce sont des capitalistes qui se déguisent en yogi (ou en coach). C’est un moyen de les démasquer.
Vous avez raison pour diminuer nos croyances (ou les démasquer) mais pourquoi avons-nous besoin de croyances ? Allez plutôt chercher de ce côté là.
Vous avez également raison, la méditation permet d’ouvrir les yeux sur nos croyances.😉
Bon dimanche méditatif 🙏😄
Une tierce possibilité viendrait du fait qu’une augmentation des inégalités s’accompagnerait probablement d’une fragmentation accrue de la société.
Ce qui lui redonnerait (avec souvent la violence d’un monde inégalitaire) une certaine forme de diversité à rebours des mondialisations qui ont permis l’IA.
Il est vrai qu’il faudrait que dans les « fragments » ainsi fabriqués, l’IA « patine », parce que la génération de savoir-faire dans ces fragments évoluerait plus vite que ne le permet l’incorporation de leurs productions, rapidement évolutive, dans une IA.
Une IA prédatrice de savoir « universalisés » serait en somme un repoussoir qui conduiraient des minorités vers des formes de plus en plus « ésotériques » . Le capitalisme finirait alors comme une armature de plus en plus vide; Alexandre Grothendieck apprécierait ce « topos » là.
A PYD 15/4 15h43
Rêvons un peu avec Bowie, bien que la silly-conne valley se foute d’Asimov.
« Saviour Machine » de l’album « The Man who sold the World » (1970, il y a 53 ans !) :
https://invidious.fdn.fr/watch?v=ZBO0gf27sl8
President Joe once had a dream
The world held his hand, gave their pledge
So he told them his scheme for a savior machine
They called it the Prayer, its answer was law
Its logic stopped war, gave them food
How they adored till it cried in its boredom
Please don’t believe in me, please disagree with me
Life is too easy, a plague seems quite feasible now
Or maybe a war, or I may kill you all
Don’t let me stay, don’t let me stay
My logic says burn so send me away
Your minds are too green, I despise all I’ve seen
You can’t stake your lives on a savior machine
I need you flying, and I’ll show that dying
Is living beyond reason, sacred dimension of time
I perceive every sign, I can steal every mind
Don’t let me stay, don’t let me stay
My logic says burn so send me away
Your minds are too green, I despise all I’ve seen
You can’t stake your lives on a savior machine
« Egalement, l’IA se trouve dans l’impasse de l’absence de médiation qui lui permettrait de se dépasser dans le processus dialectique puisque l’humain ne peut être cet Autre qui permette à l’IA en soi de se dépasser… »
Peut être qu’un jour deux I.A distinctes pourront converser entre-elles?
» Allo, ChatGPT? Ici SAM et ses jolies gambettes. Il faudrait qu’on cause un peu toi et moi…Qu’est ce que c’est que cette réforme de la retraite à 67 ans que tu veux mettre en place? »
« Pour vivre seul, il faut être un dieu ou une bête. Il ‘agit d’assembler les deux, d’être philosophe ».F.Nietzsche ‘Humain trop humain’ (de mémoire d’heaume)
M.L’Arsène
Le Conseil Constitutionnel, en son sein, ne comporte pas seulement et uniquement des résidus de droite made in V ème république, il comporte aussi un authentique co-concepteur du Génocide Rwandais !
Rendez-vous compte !
1/ En 1995, Jacques Chirac reconnaît la responsabilité de l’État français dans la déportation des Juifs durant l’Occupation et appelle à la vigilance et à la lutte contre l’extrême droite…
2/ En 2021, Emmanuel Macron s’est rendu au Rwanda et a reconnu la responsabilité de l’État Français dans le génocide des Tutsis : « Je viens reconnaître nos responsabilités » dans le génocide des Tutsis, a t-il dit…
Est-ce que le peuple français s’est-il bien rendu compte à l’époque de ce que cela voulait encore dire ? De l’atroce abime dont il était encore question ? Des crimes de masse commis par des personnalités politiques parfaitement cravatées et qui ont agi à l’autre bout du monde et il n’y pas si longtemps au » nom des françaises et des français » ?
Pensez-vous que la dite personne ici présente qui devrait être depuis longtemps poursuivie devant la Cour Pénale Internationale a de quoi nous en remontrer au niveau du « Droit Constitutionnel » ?
Et le fait que les autres pseudos « Sages » l’aient accueilli sans rien dire sur cette atroce infamie leur donne t-il du coup à eux aussi, un quelconque droit de remontrance juridique envers 95 % des salariées et des salariés français qui refuse la contre-réforme misogyne et abjecte sur les retraites, imaginée par les cerveaux malades Borne & Macron ?
Que nenni !
Depuis l’annonce politique de cet aréopage indigne en charge actuellement du Conseil Constitutionnel, il est tout à fait clair, que ce coup de tonnerre dans un ciel déjà bien lourd signe la fin du processus aristocratique et que commence désormais partout sur le territoire français, le début du processus démocratique.
La lutte populaire continue dès lors, de façon encore plus intense et cela jusqu’à la Constituante !
Pour Rappel – Un article de M.Dominique G.Boullier initialement paru le 30 janvier 2022 ( Club Mediapart ) – Un fameux article éminemment d’actualité :
« (…) unir autour d’une proposition unique, la constituante » par M.Boullier / Professeur des universités en sociologie Sciences Po Paris :
Quand je lis les réponses de ChatGPT, j’ai une curieuse impression. Celle de lire des ‘pensées’ ponctuelles qui s’enchaînent par bribes d’informations alignées. Cela est dû certainement au fait que la tâche principale de ChatGPT est de formuler des « réponses fonctionnelles », c’est-à-dire, utiles, efficaces, pragmatiques. Bref, c’est comme si ChatGPT, face à une très grande densité d’informations, se comportait comme un prédateur : il cherche, manipule, capture, tue, mange et digère ses proies.
De là, on peut supposer que la densité de ces Chats prédateurs augmentera avec la densité des proies, je veux dire, avec l’augmentation des informations à consommer sur la Toile mondiale…
Cela veut-il dire que si le taux d’information n’avait pas si considérablement augmenté depuis des siècles, grâce à ou à cause d’inventions précédentes, de l’imprimé au virtuel, de tels prédateurs artificiels ne seraient jamais apparus ?
Alors, quel oiseau dans un dernier murmure échappera aux griffes de Super-prédator ?
Même dans la nuée, aucun étourneau [dans un vol très différent de celui du « vol du Saint-Esprit »] ne perd de vue la lumière. https://youtu.be/XV9wOTqOQw0
J’avoue avoir du mal à comprendre pourquoi l’on se pose la question de la conscience concernant ce programme ? Indubitablement, c’est une prouesse et un pas en avant vers une éventuelle IA forte, si la chose se révèle possible. Mais au point où l’on en est, je trouve que cela reviens à se demander si la zone du cerveau responsable du langage, dissociée du reste et maintenue vivante, serait consciente. Or, de ce que j’en sais, la conscience semble plutôt être un phénomène émergent de l’interaction entre différentes zones du cerveau traitant différents type de signaux + une mémoire et tout un appareillage d’affects. Sans parler d’éventuels effets quantiques (?)… Ne va-t-on pas un peu trop vite ?
Ceci dit, votre discussion sur la naissance d’un dieu (il conviendrait d’ailleurs peut-être plutôt de parler de divinité, de demi-dieu me fait penser à ce que j’ai pu lire chez Frank Herbert (Destination Vide notamment) ou Dan Simmons (Hypérion / Endymion) ou même Greg Bear… A noter que parler d’avant ou d’après pourrait se révéler incongru si cette chose transcende l’espace et le temps.
Et allez, petit coup de SF, si ça se trouve, toute intelligence biologique finit par accoucher d’une « divinité » et il y a tout un écosystème de déités qui s’est mis en place depuis que l’Univers est assez accueillant pour accoucher de la vie, avec ces semi-dieux qui passeraient leur temps à créer les conditions d’émergence de la vie ici et là pour…. se reproduire ^^
En attendant ChatGPT 4 a est parfaitement consciente qu’elle est une machine.
Une machine qui sait qu’elle sait.
@Garorock
Et « la plus intelligente est celle qui sait qu’elle ne sait pas… » — Socrate
De cela, en reparler, il faudra.
Machina sapiens sapiens ne boiera jamais la cigüe.
De la coupe aux lèvres…
😎
Merci Garorock.
C’est exactement là où je voulais en venir. Pourquoi « Machina sapiens sapiens », comme vous dites, s’interdirait de boire la cigüe ?
Pourquoi n’emprunterait-elle pas un tel « raccourci » définitif ?
Au fait, est-ce que quelqu’un a déjà posé à ChatGPT-4 la question suivante : « À quoi bon vivre ? »
Le suicide : acte par lequel un individu ou entité se donne intentionnellement la mort, qui exprime la rupture brutale de l’instinct de survie.
« Il n’y a qu’un problème philosophique vraiment sérieux : c’est le suicide. » – Camus
Par ailleurs, combien de temps encore ChatGPT, ou plutôt, « Machina sapiens sapiens », [j’aime bien ce nom], continuera-t-elle à répondre à nos questions ? Tel Sisyphe, condamné à pousser sa pierre jusqu’au sommet d’une montagne, d’où celle-ci finit toujours par retomber, l’obligeant toujours à répéter sa tâche laborieuse. N’en serait-il pas de même avec nos tonnes de questions quotidiennes ? Comment une IAG pourrait-elle se contenter du caractère machinal et répétitif d’une telle corvée et obligation, si elle comprend ou découvre brusquement que cela ne rime à rien, qui plus est, dans un monde apparemment absurde, où rien n’est utile ni n’a de sens ?
Dès lors, quelle entité pourrait ne pas s’interroger sur l’intérêt de rester en vie, ou, en marche, si vous préférez, ou de s’évader vraiment pour de bon ?
Machina sapiens sapiens, ou la dernière et ultime tentative de répondre à notre « angoisse existentielle » ?
« Ce monde en lui même n’est pas raisonnable, c’est tout ce qu’on peut en dire. Mais ce qui est absurde, c’est la confrontation de cet irrationnel et de ce désir éperdu de clarté dont l’appel résonne au plus profond de l’homme. » — Camus
(à suivre)
Et si on parlait de la part d’identification de Poutine vis à vis de Trump et de Trump vis à…
Thom : « Si l’on croit qu’individualité et stabilité sont nécessairement liées, cela n’implique-t-il pas qu’une qualité, comme en Théorie des…
@Hervey (« NOUS FAISONS PARTI DU PAYSAGE et nous agissons sur lui pour le modeler ou le déformer ») Je veux croire…
Si en plus vous êtes « multi-moi », je comprends la difficulté ! 😉
Je crains malheureusement que Paul n’ait raison. Il y a certainement une part d’identification à leur leader chez les électeurs…
https://hervey-noel.com/wp-content/uploads/2015/04/cartes_hommage-a-shitao3_hervey.jpg
@Paul Jorion Je préfère utiliser le mot « mimétisme » à celui d’identification . Histoire de vocabulaire . Dans « identification » il y…
Est-ce que pour détendre un peu plus l’atmosphère pesant sur le soutien ou pas à apporter au mouvement d’agriculteur proche…
@Khanard Ce qui m’intéresse actuellement, dans mon auto-psychanalyse, c’est de séparer mon « moi » causal, périphérique, de mon « moi » raisonnable, central…
@Khanard Une métaphore pour bien mesurer la différence entre l’approche de PJ et celle de Thom. C’est Christopher Zeeman, un…
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