Mon billet du 15 septembre 2008 :
Vous avez dû être surpris que je ne vous parle pas, le 16 juillet, de la mort de Jo Stafford. Eh bien voilà, cela m’avait échappé, alors que ça s’est passé à deux pas de chez moi [Los Angeles]. Oui : voilà ce qui arrive, on finit par tant se passionner pour la fin du monde qu’on en oublie les choses importantes.
Alors, avec un peu de retard, dont il faut m’excuser, la plus belle voix féminine de la chanson de variétés au XXe siècle (l’opéra, ce sera pour une autre fois).
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